Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Elle
par Elisabeth Quin
Avec Mademoiselle, Philippe Lioret (...) avait donné un aperçu de son immense délicatesse. L'Equipier est plus ambitieux, plus sauvage, plus choral, et encore plus réussi. C'est simple : l'émotion provoquée par cette histoire d'amour impossible racontée à quarante ans de distance fait penser à Sur la route de Madison.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Son film trouve le balancement juste entre la chronique quotidienne d'une île bretonne et le romanesque apporté par l'intrusion d'un bel étranger au passé tragique, qui éveille la méfiance des hommes et le trouble des femmes. Les acteurs rejoignent le metteur en scène dans la retenue et la grâce bourrue. Car, si la mer est cruelle, les coeurs sont tendres.
MCinéma.com
par Camille Brun
Si les grincheux trouveront les chemins de l'île d'Ouessant un peu trop balisés, les autres ne se poseront pas de questions et se laisseront embarquer vers ce bout du monde cinégénique et bouleversant. (...) Car ce qui est à l'oeuvre ici et nous amène régulièrement au bord des larmes, c'est une irrésistible nostalgie.
Positif
par Franck Garbarz
Le retour à la maison familiale, comme la sublimation de l'histoire d'amour par l'écriture, portent le romanesque à un degré d'incandescence émotionnelle peu fréquent dans le cinéma français contemporain (...) la précision de la mise en scène de Lioret ne s'exprime jamais aussi bien que lorsqu'il s'agit d'isoler deux regards qui se croisent au milieu d'une assemblée nourrie.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
Grands sentiments et grands acteurs (Sandrine Bonnaire retrouve le réalisateur de Mademoiselle) pour une belle histoire qui renoue sans complexe avec le plaisir du romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
par Gérard Delorme
Avec un sens très aigu de l'observation, Lioret décrit la complexité des interactions entre individus (...). Les silences, les gestes et les regards y sont aussi importants que les dialogues. (...) Cette dimension nouvelle fait faire à Lioret un saut qualitatif (...) qui le situe, dans le registre subtil des drames intimistes (...), aux côtés de cinéastes comme Patrice Leconte.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Nicolas Journet
Il est certain que L'équipier ne va pas révolutionner le septième art, mais il peut nous réconcilier avec une production française d'une tenue actuelle souvent médiocre, en restant l'un des meilleurs films français de cette année 2004 finissante.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
On attendait beaucoup du nouveau film de Philippe Lioret depuis le magnifique Mademoiselle (...). L'Equipier, s'il confirme par à-coups ce talent, est une semi-déception. La faute à une intrigue très épaisse, loin du fil extrêmement limpide de son précédent film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
par Leno
L'Equipier n'a pas l'ambition du cinéma, et se rapproche plutôt du téléfilm. (...) Mais il y a de bons téléfilms, et l'Equipier en est un.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
L'Equipier mêle le romanesque et l'humour avec assez de talent pour rendre attachante cette histoire au parfum de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Malgré la sensibilité des comédiens, et quelques jolis moments d'humour mélancolique, on ne trouve guère ici qu'un vaste et habile recyclage du catalogue des amours contrariées à la française, dont Remorques reste l'indépassable fleuron.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Sauf injection de fiction, l'inerte seul règne dans l'Equipier. Il ne faut pas s'étonner que les côtes bretonnes soient le bout du monde, les Bretons des poivrots envieux ou délateurs, et le phare rien d'autre qu'un studio de cinéma. Parce qu'ici tout est ressentiment et reflux, fiction piquée au Viagra sur les terres en carton-pâte d'un cinéma infertile.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mélo régionaliste d'une fadeur assez uniforme, sorte de Bête humaine allégée, dont l'atout est essentiellement visuel (...). Le reste est conventionnel à souhait, avec une scène de tempête paroxystique, métaphore attendue des différents conflits psychologiques. Bateau.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il arrive encore qu'on fasse des films tout neufs avec de vieilles histoires. Mais la mise en scène, le rythme de L'Equipier sont aussi désuets que son scénario, ponctué de scènes spectaculaires tournées par gros temps sur un phare breton, équivalent cinématographique de ces photographies de déferlantes qui font de si jolies cartes postales.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Avec Mademoiselle, Philippe Lioret (...) avait donné un aperçu de son immense délicatesse. L'Equipier est plus ambitieux, plus sauvage, plus choral, et encore plus réussi. C'est simple : l'émotion provoquée par cette histoire d'amour impossible racontée à quarante ans de distance fait penser à Sur la route de Madison.
Le Figaroscope
Son film trouve le balancement juste entre la chronique quotidienne d'une île bretonne et le romanesque apporté par l'intrusion d'un bel étranger au passé tragique, qui éveille la méfiance des hommes et le trouble des femmes. Les acteurs rejoignent le metteur en scène dans la retenue et la grâce bourrue. Car, si la mer est cruelle, les coeurs sont tendres.
MCinéma.com
Si les grincheux trouveront les chemins de l'île d'Ouessant un peu trop balisés, les autres ne se poseront pas de questions et se laisseront embarquer vers ce bout du monde cinégénique et bouleversant. (...) Car ce qui est à l'oeuvre ici et nous amène régulièrement au bord des larmes, c'est une irrésistible nostalgie.
Positif
Le retour à la maison familiale, comme la sublimation de l'histoire d'amour par l'écriture, portent le romanesque à un degré d'incandescence émotionnelle peu fréquent dans le cinéma français contemporain (...) la précision de la mise en scène de Lioret ne s'exprime jamais aussi bien que lorsqu'il s'agit d'isoler deux regards qui se croisent au milieu d'une assemblée nourrie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Grands sentiments et grands acteurs (Sandrine Bonnaire retrouve le réalisateur de Mademoiselle) pour une belle histoire qui renoue sans complexe avec le plaisir du romanesque.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Avec un sens très aigu de l'observation, Lioret décrit la complexité des interactions entre individus (...). Les silences, les gestes et les regards y sont aussi importants que les dialogues. (...) Cette dimension nouvelle fait faire à Lioret un saut qualitatif (...) qui le situe, dans le registre subtil des drames intimistes (...), aux côtés de cinéastes comme Patrice Leconte.
aVoir-aLire.com
Il est certain que L'équipier ne va pas révolutionner le septième art, mais il peut nous réconcilier avec une production française d'une tenue actuelle souvent médiocre, en restant l'un des meilleurs films français de cette année 2004 finissante.
Chronic'art.com
On attendait beaucoup du nouveau film de Philippe Lioret depuis le magnifique Mademoiselle (...). L'Equipier, s'il confirme par à-coups ce talent, est une semi-déception. La faute à une intrigue très épaisse, loin du fil extrêmement limpide de son précédent film.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Score
L'Equipier n'a pas l'ambition du cinéma, et se rapproche plutôt du téléfilm. (...) Mais il y a de bons téléfilms, et l'Equipier en est un.
TéléCinéObs
L'Equipier mêle le romanesque et l'humour avec assez de talent pour rendre attachante cette histoire au parfum de déjà-vu.
Télérama
Malgré la sensibilité des comédiens, et quelques jolis moments d'humour mélancolique, on ne trouve guère ici qu'un vaste et habile recyclage du catalogue des amours contrariées à la française, dont Remorques reste l'indépassable fleuron.
Cahiers du Cinéma
Sauf injection de fiction, l'inerte seul règne dans l'Equipier. Il ne faut pas s'étonner que les côtes bretonnes soient le bout du monde, les Bretons des poivrots envieux ou délateurs, et le phare rien d'autre qu'un studio de cinéma. Parce qu'ici tout est ressentiment et reflux, fiction piquée au Viagra sur les terres en carton-pâte d'un cinéma infertile.
L'Humanité
Mélo régionaliste d'une fadeur assez uniforme, sorte de Bête humaine allégée, dont l'atout est essentiellement visuel (...). Le reste est conventionnel à souhait, avec une scène de tempête paroxystique, métaphore attendue des différents conflits psychologiques. Bateau.
Le Monde
Il arrive encore qu'on fasse des films tout neufs avec de vieilles histoires. Mais la mise en scène, le rythme de L'Equipier sont aussi désuets que son scénario, ponctué de scènes spectaculaires tournées par gros temps sur un phare breton, équivalent cinématographique de ces photographies de déferlantes qui font de si jolies cartes postales.