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    Elephant
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    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    244 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2012
    Un film coup de poing, au sujet délicat, mais traité avec originalité, dans le plus pur style du génial Gus Van Sant. Filmé au plus près des sentiments des protagonistes, le film maintient une intensité et une tension du début à la fin, le réalisateur présentant le déroulement de la journée complète du massacre de Columbine. Le génie de la réalisation est complété par de jeunes acteurs convaincants. Une démonstration totale.
    SebD31
    SebD31

    78 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2008
    Un film déconcertant qui laisse perplexe. Incontournable!
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    59 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2011
    20 Avril 1999 : au « Columbine High School », une fusillade éclate. Deux lycéens, lourdement équipés se livrent à une série d'exécutions sommaires sur leurs camarades et sur le personnel de l'établissement … sans raison apparente. La violence et la gratuité de l'évènement choque le monde entier.
    Cependant, dans les temps qui suivent l'évènement, l'émotion laisse place aux questions : pourquoi ? A qui la faute ? On s'interroge, on cherche un (des) coupable(s), on critique (cf. le « Bowling for Columbine » de Micheal Moore, qui offre de - trop ? - nombreuses pistes de réflexion) … Bref, on veut comprendre, et peut être aussi se rassurer …
    Avec « Elephant », Gus Van Sant prend toute cette tendance à contrepied, survolant, effleurant, captant (comment trouver un terme exact ?) la vie des véritables protagonistes de l'histoire, les lycéens. Et le choc est bien là, aussi bien émotionnellement que cinématographiquement.

    Pourtant, dans un premier temps, le réalisateur semble nous diriger vers quelques explications des « causes » (quel mot affreusement réducteur !) de la catastrophe : mais il ne fait que les frôler, passer un lent mais furtif coup d'oeil dessus, sans jamais les confirmer.
    Les deux assassins jouent à des jeux violents et regardent un documentaire sur Hitler : mais ces premiers ne sont pas la « répétition » d'un plan mûrement réfléchi plutôt qu'une source d'inspiration ? Quant à leur réaction face au documentaire, elle est la même que pour tout individu normal ; pour se procurer un uniforme nazi, « il faut être cinglé ».
    Éric, l'un des deux garçons, est le souffre-douleur de ses camarades. Mais est-ce bien pour ça qu'il finit par s'en prendre aussi violemment à eux ? Michèle, jeune fille renfermée dans la même situation, n'en est pas arrivée à de telle chose, elle …
    En ne privilégiant aucune piste à une autre, Gus Van Sant en arrive à grandement diminué leur importance, si ce n'est de carrément les effacer. Il semble poser un constat terrifiant, mais à la fois terriblement humain : et si ces deux adolescents étaient « normaux » ? Et si … chaque lycée pouvait être victime de ce dysfonctionnement, de ce « bug » qui vient rompre cette morne et mélancolique routine ?

    Toute la continuité de cette routine se retrouve dans la sonate « Clair de Lune » de Beethoven, qui vient accompagner le long cheminement d'un étudiant dans les couloirs de l'établissement … ou plutôt la longue errance.
    Le cinéaste réussit (encore) un tour de force : dans un lieu de vie (le lycée, pullulement d'âmes heureuses et chagrines et de leurs sentiments), il crée un réel désert humain. Chaque adolescent qui erre dans les couloirs se retrouve confronté à l'absence de contact. Deux ralentis esthétiques et poétiques viennent souligner leur rareté (la fille se tournant vers le jeune homme pour dire qu'il est « trop mignon » et le chien s'élançant vers John) et la cassure qu'ils apportent à un rythme voué à la lenteur de l'errance.
    Le film, dans sa construction et sa cohésion temporelle, a une certaine logique mathématique ; les différents personnages et leurs déplacements sont renvoyés au rang de vecteurs, dont les positions respectives et les différentes rencontres se retrouvent dans chaque point de vue. Ces dernières se font par hasard, à l'image d'un modèle pour une photo rencontré aux alentours d'un parc où d'une victime trouvée au détour d'un couloir …
    Si l'univers dépeint semble assez vide au niveau des enjeux sentimentaux (impression renforcée par quelques exceptions telles que les deux ralentis cités précédemment ou comme la scène qui donne au film son affiche), il n'en demeure pas moins profondément hanté par les tourments des personnages, visibles dans une expression, dans un regard (Michèle sur le terrain de sport, le visage tourné vers le ciel …) …

    « Elephant » ne cherche pas à expliquer le massacre, ni même à trouver une cohérence entre la vie quotidienne du lycée qu'il dépeint et le désastre final. Au-delà même de la simple notion de « ressenti », il veut capter toute une partie de la vie, tout un malaise, des visages humains, avec une pudeur faisant abstraction de toute valeur morale. Filmant les lycéens comme des âmes tourmentées et perdues dans le néant, Gus Van Sant parvient à aller plus loin que la simple prise de conscience ; il transcende. Nous, spectateurs, bouleversés au plus haut point, quittons alors l'incompréhension pour une dimension à la fois morne, belle et instable où la relation « cause/conséquence » n'existe plus. On a l'impression d'avoir vu la vérité sans avoir la moindre idée de comment la décrire.

    « Elephant », ou le plus beau film de ce début de siècle.
    kevinnic41
    kevinnic41

    19 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2011
    Comment reprendre un drame qui a secoué l'Amérique entière, et le transformer en un acte tout à faite banal, dans un lycée (et un monde) tout aussi banal? C'est ce qu'est parvenu à réaliser le talentueux Gus Van Sant dans ce film bouleversant. Pas question de diaboliser les deux lycéens, et tout aussi hors de propos de les transformer en souffre douleur martyrisés par leurs camarades... non, ce ne sont que deux adolescents qui ont prévu de jouer à leur jeux vidéo préféré version grandeur nature.

    A travers une succession de vignettes, dans lesquelles on découvre peu à peu les personnages et la vie du lycée (et ses mœurs) ; nous nous approchons inévitablement vers le drame final, annoncé dès les premières minutes par l'arrivé version commando des deux jeunes garçons. Ainsi, on suit l'avancée inéluctable du temps, dans une atmosphère plus que pesante, où la seule réponse qu'on attend : est de connaitre la vignette du départ de cette explosion. Car c'est bien ici, que réside le talent et la particularité du film : créer une angoisse, et la fortifié par une attente interminable, malgré qu'on connaisse le résultat morbide du scénario, ce dernier orchestré avec minutie.

    Il est difficile de décrire ce film, qui, dans sa construction et son évolution semble se contredire, tout en respectant la ligne centrale menant tout droit au carnage. En effet, l’atmosphère se veut pesante, et au lieu de jouer sur des sons inquiétants et un montage laissant transparaître le malaise… il n’en n’est rien. Tout ce passe dans le meilleur des mondes comme si rien n’allait arriver. L’effet produit est fantastique : tel des être omniscients, seuls nous, avons la résolution ; ce qui procure un déchirement incontrôlable, où intérieurement, on ne peut s’empêcher de vouloir se précipiter sur tous les fronts pour les prévenir du danger. Malheureusement, on ne peut rien faire, hormis constater le sang froid dans laquelle la tragédie se déroule, sous les réactions des élèves diverses et variées.

    Un grand moment de cinéma, où le réalisateur nous apprend à créer du suspens ; là où à première vue il n’y en a plus. Eblouissant.


    D'autres articles sur http://lepetitcritiqueculturel.over-blog.fr/
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    214 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2007
    Inspiré de la fusillade au lycée de Columbine, «Elephant» (USA, 2003) est le premier épisode de la trilogie de Gus Van Sant sur l’adolescence. La relative courte durée du film s’engage à préparer le massacre, à en exposer le terrain. Van Sant s’attèle à créer un espace en encastrant les scènes les unes aux autres par une narration chapitrée qui prend le soin de présenter tous les personnages, archétypes d’un genre de lycéen, mêlant les caractères entre eux, quitte à représenter trois fois la même scène (cf. scène où Alex est pris en photo par John). Erigeant un labyrinthe par l’utilisation contrôlée des plans séquences, le cinéaste figure par ce biais la complexité de la communication entre les adolescents. Nul choc ne vient perturber le déroulement du lycée, les personnages se croisent mais ne se heurtent jamais, y compris lors du massacre où les distances entre les tueurs et les tués accentuent et figent l’incommunicabilité des ados. Et c’est en cela que Gus Van Sant est un génie, car il semble retranscrire parfaitement le mal-être adolescent par le truchement de la technique du cinéma. L’utilisation de l’espace dépasse la projection spatiale, elle va jusqu’à l’intérieur même du cadre où les personnages apparaissent nettement et leur environnement flous. Scindement de l’être filmé et de son monde environnant et renforcement de la trouble existence de l’ado dans un monde mouvant. Tout cela est d’autant plus vibrant que le film beigne dans un calme paradoxale entre la violence et le chaos du massacre et les mouvements sûrs de la caméra. Aidé par un travail hallucinant de maîtrise de l’espace et du temps, l’aspect chronique de l’évènement ne dépasse pas cette considération mais se trouve chargé d’une illustration pertinente de la jeunesse et de son rapport au monde. Van Sant saisie là le cinéma comme il doit l’être, en offrant une immersion efficace du spectateur dans l’ambiance des personnages.
    Backpacker
    Backpacker

    59 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mai 2007
    Adoré ou abhorré, "Elephant" ne laissera en tout cas personne indifférent... Même si on apprécie la manière originale de mettre en scène ce drame dans un lycée, on ne peut s'empêcher de regretter le peu d'informations que nous délivre le réalisateur pendant les 90 minutes de son film... De fait, on aurait notamment aimé connaître les motivations des meurtriers ainsi que leur passé... Eh bien non, Gus Van Sant ne nous en dira rien... Il préférera instaurer une ambiance mystérieuse en multipliant les plans des couloirs de ce lycée, comme pour augmenter le suspense. Sauf que cela s'apparente plus à des longueurs qu'à une tension grimpant crescendo... Certes, l'esthétique se révèle remarquable. Mais n'est-ce pas un peu trop léger pour un sujet aussi grave?...
    Degrace
    Degrace

    28 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2007
    Un film d'auteur inutile sur un fait divers. L'oeuvre est d'une beauté éthérée, servie par une mise en scène élégante, mais parvient presque à ne rien dégager d'un évènement pourtant poignant. Trop d'esthétique et pas assez du reste. Le genre de film excentrique que le jury de Cannes apprécie, quoi. Le spectateur, lui, n'est pas emballé.
    Viggo90
    Viggo90

    43 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2012
    C’est une journée comme les autres qui débute, mettent impeccablement en scène la vie simultané de plusieurs lycéen. Pour ce faire, Van Sant y met tout son savoir faire et nous livre une œuvre cinématique magistral.

    Un (deux ? car à l’arrivé on sait rien du second) jeune étudiant rejeté va chambouler la vie et l’histoire de ce lycée à jamais ! Pourquoi ? Tout simplement par ce que c’est un « rejeté de la vie ». C’est en quelques sorte un souffre douleur. A la fois passionnant et bouleversant, Elephant dénonce les jeunes psychopathes et ce à quoi ils sont capables. Pour ce faire, le réalisateur n’hésite pas à employer une violence cru et difficile.

    Une mise en scène du tonnerre comme on en voit que trop rarement, alignant des mouvement de caméra renversant. Il met tout en scène : un copain et sa copine, un ado, un photographe, un groupe de fille, un rejeté, et… une rejetée ! Ok, c’est dure pour elle, mais est-ce pour cela qu’elle « pète un câble » et dégome tout le monde ???

    Elephant démontre aussi comment il est facile aux US de se procurer une arme à feu ! C’est inadmissible mais surtout inquiétant ; on livre une arme comme ça à domicile… Ni vu ni connu ! (Vive les lois aux US !)

    Le jeu vidéo à vraiment trop d’influence négative sur certains… car avant tout, n’est t’il pas seulement destiné à divertir ? Car à la fin, en fait le jeune se croit dans un jeu vidéo où le but et de dégomer tout le monde, d’ailleurs on le voit s’entraîner, et la manière dont c’est filmé confirme. Pourtant le jeune avait l’air sensible : Il joue du piano, et pas n’importe quoi ! Comme quoi, les apparences sont trompeuses…

    Et dire que c’est une histoire vraie…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Elephant est un film absolument excellent au niveau de la mise en scène, de la qualité du scénario et de la structure en point de vue. Van Sant s'empare d'un fait réel, la tuerie de Columbine en 1999 et en fait un film d'une extrême virtuosité. Il fait évolué ses personnages de manière à ce que nous connaissions leur activité précédents immédiatement la tuerie. Tout cela a d'ailleurs un caractère inéluctable comme si le sort de tous avait été fixé avant même que les événements ne débutent. Le troisième acte est d'ailleurs un sommet d'intensité. Ce film est formidable, excellent, admirable et remporta une palme d'or plus que méritée.
    Armand N.
    Armand N.

    17 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2015
    Gus van Sant réalise un film minimaliste au premier abord bercé par des plans séquences incroyables nous racontant les destins croisés et tragiques de jeunes lycéens qui subiront la folie meurtrière de deux d'entre eux. Gus Van Sant montre toute sa maîtrise en faisant la part belle à l'image et ses cadrages lents créant une atmosphère unique quasi familière car c'est belle et bien la vie dans son plus simple appareil que Gus Van Sant s'attache à nous montrer. Cette même vie qui sera détruite en un rien de temps par ces deux forcenés à la violence brute. Envoûtant, ce film mérite d'entrer dans les annales ne serait-ce-que pour son authenticité qui donne à son propos une force inégalable. Puissant.
    teofoot29
    teofoot29

    69 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Mais qu'elle belle oeuvre qu'est Elephant ! Gus Van Sant transpose ce drame horrible et réel dans un film d'une tranquilité absolue, composé presque uniquement de formidables et longs plans séquences, le tout plongé sous la très connue et belle Sonate au Clair de Lune de Beethoven. On est vraiment dans une ambiance identique à la réalité d'un lycée, si bien qu'on a l'impression d'y être nous même et d'être un personnage à part entière, c'est ce qui fait la magie de la plupart des flms du réalisateur comme Paranoïd Park. Tourné avec des acteurs non professionels, d'ailleurs, cela est fort possible que ce soit les rescapés du drame réel, ce film finit vraiment par choquer au moment fatidique, cette éxécution vraiment très violente ne laisse pas indemne. Pour moi, la Palme est méritée. Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 février 2013
    Un peu comme Kokuhaku, Elephant traite des lycéens américains. Et le fait sans idéalisé le propos. Quand on voit à côté des films comme High School Musical ou autres Pettry little Liars, on ne peut que s'insurger des lycées américains vus comme cool, populaire sans aucun problème. Alors que ce film démontre toute la réalité de l'adolescence (ce n'est pas avec Gossip Girl qu'on apprend), on ne peut qu'admirer le travail du réalisateur. Avec une caméra semi-subjective, on suit une journée d'école apparemment banale d'une dizaine de personne. On y trouve un couple populaire, deux adolescents martyrisés, une jeune Michelle (que j'adore) mal dans sa peau, un John qui fait l'affiche, enfin tout ce dont un lycée possède. Un rêve américain détruit pour les européens voulant habiter sur ce continent. Pas besoin de musique, les plans tournants, en font bien plus et mettent mal à l'aises. On peut ressentir une pression constante, assez agaçante, mais réel jusqu'au pétage de plomb. Excellent film, réaliste qui a mérité son prix.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2013
    Envoûtant, Captivant et Magnifique. ce film est une sorte d'hommage a cette horrible fusillade. Gus Van Sant réalise ici un de ces meilleurs films. Juste magnifique !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 janvier 2008
    Le génie d’Elephant est de ne jamais être une reconstitution stricte des tragiques évènements dont ils s’inspirent. Ce qu’il essaie de reconstituer, c’est un espace, un environnement, une ambiance, la vie d’un lieu dont il détaille chaque recoin. Cette vie, il la capte dans chaque regards échangés, chaque murmure, chaque pas de ces être errant de couloir en couloir. Ces couloirs qui semblent ne les mener nulle part, si ce n’est à un terme que l’on sait mortel. Gus Van Sant filme ce calme avant la tempête pour en souligner toute la brutalité et toute l’horreur lorsqu’elle survient. Cette volonté de ne pas couper, de suivre ces déambulations sans fins, cette monotonie du moment, ces images parfaites aux couleurs automnales, ces moments et ces personnages qui se croisent et se superposent à travers un montage constamment inventif, cette ambiance sonore ultra-travaillée, tout cela fait d’Elephant une expérience unique, bouleversante et troublante, inoubliable.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    187 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2010
    Une palme d'or bien méritée pour ce film incroyablement intense ... Constitué essentiellement de plans-séquence silencieux, rendant le film incroyablement calme, mais aussi incroyablement prenant. Des la première seconde on rentre complètement dans le film, on sent très proches des personnages (incarnés avec beaucoup de justesse et de sincérité par des acteurs non-professionnels), et on ne lâche rien jusqu'au dernier instant de ce magnifique chef d'oeuvre ! Avec une fin tres dure, violente moralement et verbalement, mais pourtant toujours aussi calme .. c'est fascinant ! Et un scenario décousu comme aime les faire Gus Van Sant... passionnant ! Absolument génial. Et cette sublime Sonate au clair de lune de Beethoven qui augmente encore plus la puissance de cet œuvre magistrale ... c'est beau ...
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