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    L'Homme qui tua Liberty Valance
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    4,0
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    187 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 avril 2009
    Inutile de s'étendre sur ce chef-d'oeuvre du grand John Ford, regardez-le, cela ne peut que faire évoluer votre passion du cinéma encore et encore, sans jamais se lasser de ces génies, de ces précurseurs du 7e art... Le grand cinéma est derrière nous et les DVD sont là pour remonter le temps... Vive le "vieux" cinéma Américain!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 juillet 2010
    Le film est bien tourné, l'histoire est bien ficelée, bref, un ensemble très agréable à regarder. Si vous avez une envie pressente de western, regarder le sans hésiter.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    3 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    "L'homme qui tua Liberty Valance" est un western à contre emploi, qui peut s'apparenter à une oeuvre testamentaire de la part de John Ford. Tout y est superbe : l'histoire, la réalisation, les acteurs. Si on aime les westerns et de façon générale le cinéma on ne peut qu'appréçier ce grand film !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mai 2015
    La moralité, le courage, la légende d’un héros, les sociétés de non droit dans le « far west » sont les thèmes qui caractérisent le western, un genre qui a marqué l’histoire du cinéma. Tous ceux qui aiment cette catégorie de films connaissent John Ford et ce film constitue son chef d’œuvre bien connu mais à notre avis méconnu. La possibilité de faire respecter la loi dans un pays qui ignorait ce principe est le thème qui se développe à travers un récit qui contient deux « flash-backs » une originalité de cette œuvre inspirée par une nouvelle homonyme de Dorothy M. Johnson. Il s’agit aussi d’une histoire qui contient certains aspects des chants irlandais, tout en sachant que Ford est originaire de ce pays. Cependant le style et la tonalité et la thématique de cette création sont américains. Ce film a une autre caractéristique qui est rare dans le cinéma. C’est le monologue intérieur : Lorsque le journaliste parle tout seul dans l’imprimerie il ne s’adresse à aucun personnage. Son destinataire est sans aucun doute le spectateur. Le niveau des discours est bien élevé et l’argumentation est progressive et très bien développée et appuyée aussi bien sur les tirades, les dialogues, les soliloques elle est complétée par l’action et les nombreuses images suggestives. La discrétion le caractère humain et les qualités humaines apparaissent dans cette société primitive ce qui constitue la promesse d’un meilleur avenir ce qui devint réalité grâce au personnage central qui croit à la valeur de l’État de droit. Ford, comme dans d’autres films met en évidence le droits des faibles ou des gens qui ne sont ni influent ni puissants. Cette thématique est universelle et nous rappelle même aujourd’hui les principes que l’on doit avoir en vue dans un monde qui est en pleine évolution et que les intérêts des puissants priment parfois les droits. Autres éléments: La prise de vue qui annonce et développe la scène avec un décor parfois sombre. Il s’agit d’un chef d’œuvre que l’on doit voir à la première occasion.
    Bcar
    Bcar

    11 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2010
    Bien plus qu'un simple western "L'homme qui Liberty Valance" est un film profond à l'histoire sublime (je ne peut pas en dire plus). Un casting de rêve, un grand réalisateur cela donne un film superbe avec une fin qui me hante encore.
    "On ne peut rien refuser à l'homme qui a tué Liberty Vlance."
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 décembre 2013
    Mouai bof... Ce n'est pas le meilleur western que j'ai pu voir, et encore moins le meilleur film pour John Wayne. Je préfère de loin "Rio Bravo".
    petithom
    petithom

    9 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 juillet 2007
    Exceptionnel.Voila un film remarquable et véritablement historique.Le scénario est d'une intelligence incroyable et en plus on a Lee Marvin qui crève ici l'écran en fripouille.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    4 étoiles - L'homme qui tua Liberty Valance

    Un grand film ! Un grand western ! J'y ai vu une humanité rude et fragile. J'y ai vu aussi une rage de vie. Mise en scène talentueuse et scénario intelligent. James Stewart superbe. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2021
    Bienvenue chez John Ford : histoire simple, personnages principaux complexes, enjeux multiples, réflexions riches sur l’histoire des États-Unis et sur l’être humain, personnages secondaires truculents, dose d’humour, pincée d’émotion et efficacité totale dans la réalisation. L’Homme qui tua Liberty Valance n’échappe pas à toutes ces qualités. Mieux que cela, il en est le symbole. Porté par un casting éblouissant où chaque acteur incarne ce qu’il a toujours plus ou moins incarné dans les westerns, il permet d’interroger avec amertume, lucidité et intelligence l’histoire des États-Unis et des westerns où la légende a toujours primé sur la réalité.
    Une vieille habitude qui crée forcément les malentendus, les mensonges et les supercheries, lesquelles bercent d’illusions un peuple tout entier. Et John Ford qui a largement contribué à faire l’histoire du western de dire aux spectateurs qu’il leur a peut-être parfois menti, parce qu’il avait placé sa caméra à cet endroit-là plutôt qu’à cet autre. Il leur a menti pour raconter des histoires plus belles, plus fortes, plus justes. James Stewart, qui incarne ici l’homme de loi, l’homme juste, l’homme de la justice, aura gagné ses galons sur une imposture. Grâce à elle, il aura trouvé l’amour, aura participé à l’histoire des États-Unis, à l’entrée dans la civilisation de l’Ouest. John Wayne, l’homme de colt, devra être oublié. C’est le prix de la civilisation. Et la terrible morale de cette histoire où John Ford n’aura jamais, sans vraiment tout à fait la montrer, aussi bien mis en scène la démythification du plus grand des cowboys, lequel montre ici que sa palette d’acteur était bien plus large qu’on pouvait le dire.
    Parfaitement mis en image (le noir et blanc est sublime), souvent tourné de nuit, L’Homme qui tua Liberty Valance est peut-être le premier véritable western crépusculaire. S’il n’en a pas la violence physique (il y a d’ailleurs très peu d’action), son discours est d’une virulence terrible. Il signe la fin de cette Amérique idéalisée à travers son cinéma. Un grand John Ford et, plus simplement, un grand film.
    HibouDesNeiges
    HibouDesNeiges

    6 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2020
    Western étonnant : L'homme qui tua Liberty Valance est autant l'histoire de Ransom Stoddart, sénateur venu de l'Ouest et qui aurait, selon la légende, tué un brigand du nom de Liberty Valance, que celle de la relation difficile et tortueuse entre la violence du règlement de compte, de la vengeance face à la punition légale de la loi. Les acteurs sont tous très bons : John Wayne crève l'écran, James Stewart est excellent dans son rôle de futur avocat épris de justice et caractériel et l'intrigue, en elle-même, est rondement menée. Nous regretterons seulement que Liberty Valance soit un brigand sans cervelle, qui ferait le mal pour le mal, qui tuerait dans l'indifférence générale d'honnêtes journalistes, passants, citoyens... Un portrait moins grossier eut sans doute donné une meilleure coloration au film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 août 2013
    (VIDEO) La mise en scène n'est vraiment pas légère, mais n'offre pas de défauts majeurs. Les décors ne sont pas à la hauteur. Le film manque de vie et de naturel (mais comme tout ce que fait John Ford, non ?) Le scénario, en revanche, est tout à fait à la hauteur. Quant aux comédiens, James Stewart, qui n'a pas du tout l'âge du rôle (dommage, car le film marcherait mieux avec un vrai décalage générationnel), fait du James Stewart (faut aimer). Et John Wayne fait du John Wayne, mais avec une vraie délicatesse et une immense sensibilité : c'est certainement lui qui tient le film en réalité ; franchement, respect.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Revu ce week-end avec mes deux fils de 7 et 14 ans (pour leur montrer qu'il y a un cinéma américain ailleurs que chez Walt Disney et loin des Hobbits), cet antépénultième film de John Ford est vraiment l'une des œuvres majeures d'un réalisateur prolifique, moins au sommet de son art qu'au crépuscule de sa vie. L'Homme qui tua Liberty Valance est donc un vrai et beau western mais aussi un film de transition et de contrastes, loin des grands espaces et des beaux espoirs de la conquête de l'ouest. Significativement, le héros n'est qu'un rôle secondaire, mais qui détermine le destin des principaux protagonistes. Le film est aussi une leçon d'histoire sans concession, une réflexion sur la presse et le journalisme militant, et une étude de mœurs puissante, où une femme, comme souvent chez Ford, cristallise et conditionne l'avenir masculin. Ce film est à la fois un classique et un western précurseur, dans lequel puiseront Sam Peckinpah, Sergio Leone voire Quentin Tarentino. On savait son Django truffait de références, mais L'Homme qui tua Liberty Valance me semble être LA source de l'inspiration tarantinesque. Jeter un œil au rôle de Peabody joué par le génial Edmond O'Brien... Une œuvre philosophique et mélancolique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mai 2009
    Ce film aborde les thèmes de nombreux westerns mais rarement il nous aura été proposé une réflexion aussi simple et intelligente sur la violence et la civilisation, la loi et l'Etat contre le monde sauvage mais aussi sur l'idéal opposé à la réalité, le mythe à la vérité.
    Les images et la photo sont magnifiques, l'humour est également très présent mais ce qui rend ce film encore plus admirable et finalement bouleversant est certainement le "duel" non pas avec Liberty Valance mais entre James Stewart et John Wayne pour la conquête de Vera Miles.
    Une film d'une profonde mélancolie.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 1 047 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Une fois de plus, John Ford nous offre un western humaniste qui transcende le genre western. Trois hommes, trois profils opposés, trois immenses acteurs : John Wayne, le propriétaire terrien droit dans ses bottes, James Stewart, le juriste idéaliste qui cherche à opposer le code au colt et Lee Marvin, la brute épaisse, violente et sanguinaire. Un triangle où chacun est le rival de l’autre. Vera Miles, promise à John Wayne, va tomber amoureuse de James Stewart. John Wayne est le seul à tenir tête à Lee Marvin. James Stewart s’oppose à la brutalité de Lee Marvin qui ne cesse de l’humilier. La séquence du restaurant à elle seule résume toute la problématique. « L’homme qui tua Liberty Valance » est un film complexe magnifié par la mise en scène de John Ford et le jeu talentueux des acteurs. John Wayne en homme blessé suite à sa déconvenue amoureuse est absolument prodigieux, tout dans la sobriété. Et que dire du twist final à l’issue du duel. Ne pas en dire trop… Une œuvre essentielle, profonde et éclairée.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    Obligeance française
    Obligeance française

    3 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 avril 2020
    Surestimé. Des bons acteurs mais un film un peu vain. Des longueurs et un manque de crédibilité notamment sur l'âge des personnages (ex : James Stewart). La fin ne rattrape pas le reste, cela sonne faux. Il y a beaucoup mieux (et heureusement).
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