Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Mods invente ainsi un univers totalement original, hors du temps (ou de tous les temps, ce qui revient au même) mais qui s'inscrit doucement dans le creux immémorial du sentiment.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Emerge alors une forme poétique singulière, une sorte de poétique des rayures, brillante expression de l'incontournable romantisme adolescent, Bozon réussissant à placer ce mal de vivre là où il se doit être: aussi bien à l'intérieur qu'au-delà des modes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Si Mods mêle avec bonheur raideur burlesque et fantaisie mélancolique (la parade loufoque des Mods), il tire sa grandeur de cette vision de la comédie musicale à la fois comme possibilité mouvante, irrégulière, de narration et comme morale du sentiment.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Serge Bozon, sous ses allures réjouissantes de petite comédie morale aux mécanismes antinaturalistes, relève d'une volonté exigeante et légère à la fois. C'est bien pour cela qu'on l'aime beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
C'est l'humour du film et sa dinguerie tapie sous la sagesse qui emportent le morceau. Mods en numéro d'équilibriste : sévère mais juste, loufoque et juste, élégant donc juste.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Drôle de film qui pratique la confusion des genres et séduit précisément par son étrangeté, les mouvements s'y révélant au moins aussi explicites que les mots.
Télérama
par Jacques Morice
Mais ce sont les chorégraphies qui enchantent le plus (...) les garçons et les filles, inconnus ou presque, tous passants attirants, font corps avec l'espace, caressent et épousent les objets qui les entourent, deviennent armoire, lit, mur...
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Alors, on est pris entre deux feux. On admire la réalisation, mais en même temps l'impression d'apathie laissée par le film et ses interprètes agace... et pourtant, MODS ne fait que 60 minutes. Cruel dilemne.
Première
par Olivier De Bruyn
Mods évolue dans un univers clos qui, avouons-le, risque d'impatienter les plus patients. Cela dit, que les amateurs de zizique se rassurent, on entend effectivement avec joie quelques standards certifiés conformes, à l'instar du It's Faded Picture, des Seeds.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par n. c.
Un film énigmatique mais surtout poseur, qui a une fâcheuse tendance à vous faire piquer du nez.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouirock.com
par Pablo Chimienti
Alors voilà, on ne comprend pas grand chose à MODS, on se demande même s'il y a une histoire et surtout si ceci est vraiment important.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Stéphane Brisset
Tout ceci pourrait faire sourire mais l'ampleur du projet s'échoue brutalement sur un cruel manque d'incarnation.
Chronic'art.com
Mods invente ainsi un univers totalement original, hors du temps (ou de tous les temps, ce qui revient au même) mais qui s'inscrit doucement dans le creux immémorial du sentiment.
Les Inrockuptibles
Emerge alors une forme poétique singulière, une sorte de poétique des rayures, brillante expression de l'incontournable romantisme adolescent, Bozon réussissant à placer ce mal de vivre là où il se doit être: aussi bien à l'intérieur qu'au-delà des modes.
Cahiers du Cinéma
Si Mods mêle avec bonheur raideur burlesque et fantaisie mélancolique (la parade loufoque des Mods), il tire sa grandeur de cette vision de la comédie musicale à la fois comme possibilité mouvante, irrégulière, de narration et comme morale du sentiment.
Le Monde
Le film de Serge Bozon, sous ses allures réjouissantes de petite comédie morale aux mécanismes antinaturalistes, relève d'une volonté exigeante et légère à la fois. C'est bien pour cela qu'on l'aime beaucoup.
Libération
C'est l'humour du film et sa dinguerie tapie sous la sagesse qui emportent le morceau. Mods en numéro d'équilibriste : sévère mais juste, loufoque et juste, élégant donc juste.
TéléCinéObs
Drôle de film qui pratique la confusion des genres et séduit précisément par son étrangeté, les mouvements s'y révélant au moins aussi explicites que les mots.
Télérama
Mais ce sont les chorégraphies qui enchantent le plus (...) les garçons et les filles, inconnus ou presque, tous passants attirants, font corps avec l'espace, caressent et épousent les objets qui les entourent, deviennent armoire, lit, mur...
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Alors, on est pris entre deux feux. On admire la réalisation, mais en même temps l'impression d'apathie laissée par le film et ses interprètes agace... et pourtant, MODS ne fait que 60 minutes. Cruel dilemne.
Première
Mods évolue dans un univers clos qui, avouons-le, risque d'impatienter les plus patients. Cela dit, que les amateurs de zizique se rassurent, on entend effectivement avec joie quelques standards certifiés conformes, à l'instar du It's Faded Picture, des Seeds.
Aden
Un film énigmatique mais surtout poseur, qui a une fâcheuse tendance à vous faire piquer du nez.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Ouirock.com
Alors voilà, on ne comprend pas grand chose à MODS, on se demande même s'il y a une histoire et surtout si ceci est vraiment important.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Tout ceci pourrait faire sourire mais l'ampleur du projet s'échoue brutalement sur un cruel manque d'incarnation.