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Infidèle certes, mais bondissante en même temps que chargée d'émotion, la version d'Alex Proyas se révèle l'une des meilleures productions de SF récentes.
La rationalisation commerciale semble avoir pris le dessus sur l'expression d'un univers qui dépasserait le spectateur pour le plonger dans un effroi temporel ou planétaire. Restent le plaisir de la narration (...) et la création de situations, d'images, parfois impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Des scènes d'action étourdissantes pour la représentation d'un futur à la fois crédible et fantasmagorique : du pop-corn servi dans un grand restaurant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Au fond, I, Robot est un divertissement sans lendemain, plutôt enlevé et loin de toute boursouflure, dont personne, pas plus cinéaste que spectateur, ne ressortira honteux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Parfois doué pour les ambiances néo-expressionnistes (Dark City), Proyas perd de sa singularité avec cette énième fable de SF sur les effets pervers de la technologie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Infidèle certes, mais bondissante en même temps que chargée d'émotion, la version d'Alex Proyas se révèle l'une des meilleures productions de SF récentes.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un film de science-fiction efficace, parfois traversé de moments poétiques.
Positif
La rationalisation commerciale semble avoir pris le dessus sur l'expression d'un univers qui dépasserait le spectateur pour le plonger dans un effroi temporel ou planétaire. Restent le plaisir de la narration (...) et la création de situations, d'images, parfois impressionnantes.
Première
Des scènes d'action étourdissantes pour la représentation d'un futur à la fois crédible et fantasmagorique : du pop-corn servi dans un grand restaurant.
aVoir-aLire.com
Une fiction hybride, certes imparfaite, mais qui se regarde avec un plaisir non dissimulé : on sort de la salle satisfait.
Chronic'art.com
Au fond, I, Robot est un divertissement sans lendemain, plutôt enlevé et loin de toute boursouflure, dont personne, pas plus cinéaste que spectateur, ne ressortira honteux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Parfois doué pour les ambiances néo-expressionnistes (Dark City), Proyas perd de sa singularité avec cette énième fable de SF sur les effets pervers de la technologie.
TéléCinéObs
Du roman d'Asimov, il ne subsiste qu'une trame épurée, servant de base à un blockbuster classique et efficace.
Télérama
L'adaptation d'Asimov ne tient pas toutes ses promesses. Dommage
Le Monde
Une parodie de science-fiction aseptisée et peu éloquente.
Le Parisien
Loin de Blade Runner, le film de Proyas adapté des nouvelles d'Asimov reste mou du genou voire culcul la praline par moments...Dommage
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com