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Fred E
10 abonnés
310 critiques
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1,0
Publiée le 5 août 2024
Jack Lee Thompson passe à la réalisation. Plus d'exposition racoleuses de filles aux seins nues, mais une réalisation désastreuse. Des dialogues ridicules. C'est de pire en pire plus on avance dans la franchise.
Paul Kersey continue de porter la poisse à son entourage dans ce quatrième épisode c est sa nouvelle belle fille qui fait une overdose. Alors notre brave architecte va reprendre les flingues pour envoyer en enfer les différents intervenants du trafic de drogue à Los Angeles. Death Wish 4 est donc une succession de meurtres exécutés par un Charles Bronson fatigué. Le film n est pas aussi drôle que le trois qui était complètement dégénéré et n est pas non plus un Vigilente interessant tant le personnage de Paul Kersey parait en pilote automatique et ne présente aucune évolution du début à la fin du film. Le film est de surcroît mal construit, lançant un arc secondaire avec la femme de l architecte qui commence une enquête sur le trafic de drogue avant d être complètement oubliée par le scénario. Un film juste mauvais qui n apporte même pas un plaisir nanardeu comme le précédent.
Le thème de la vengeance est assez jouissif. Il est ici transcendé car il dépasse le cas personnel. L'inefficacité de l'Etat dans ses tâches régaliennes dépasse les frontières et voyage le temps. Face à cet état de fait, le vigilante prend les choses en main spoiler: mais se fait manipuler par les trafiquants de drogue .
Ce Death Wish là, quatrième de franchise, est très efficace et relativement sobre par rapport aux précédents. Le lieu diégétique est la Californie et notre pauvre architecte est encore confronté à des méchants, ici des marchands et trafiquants de drogue, qui provoquent des dégâts autour de lui. L'originalité légère du film est qu'ici il a une aide, un mécène, pour l'encourager à faire la justice lui-même.
Charles Bronson est toujours à fond dans son personnage, il y a croit. Si l'on considère le film comme un polar, un film policier, il répond au cahier des charges: histoire sombre avec meurtres, intrigue policière avec l'enquête de notre justicier, les coupables, l'argent comme motivation de nos méchants.
Les séquences d'action, de fusillades, sont sèches, rapides, et vont immédiatement à l'essentiel (un coup de pistolet dans la poitrine). Le film ne perd pas de temps en dialogues inutiles, explication psychologique trop longue. Tout est schématique et cela fonctionne. Jack Lee Thomson est un vieux routier qui sait gérer un plateau et diriger ses acteurs. Cet ensemble est efficace. En particulier parce que le scénario contient des circonvolutions qui permettent de relancer la curiosité du spectateur.
Ce quatrième de franchise évite l'exagération du troisième de franchise réalisé par Michael Winner (même si celui-ci clame son réalisme).
baisse de forme pour Charles Bronson qui commence à accuser le poids des ans. Dans ce 4eme volet de "death wish" fini de se battre avec les voyous de la jungle urbaine qui faisaient une partie du charme de la franchise, cette fois la cible est une banale bande de trafiquants de drogues, moins fun. Le réalisateur a également changé. Moins bon donc mais atteint la moyenne quand meme. 2.5 / 5
Paul Kersey a la bougeotte et il ne s’en cache pas. Dans le premier opus, il était à New York, puis forcé de quitter précipitamment la ville, il avait échoué à Los Angeles dans le second volet, avant de finalement revenir à N.Y. dans le troisième… Bref, pour ce quatrième et avant-dernier opus de la franchise, je vous le donne en mille, il le retrouve à… L.A. ! Tout semblait bien repartir pour lui, il avait monté son cabinet d’architecture et vivait au grand jour une nouvelle histoire d’amour avec Karen, une journaliste. Enfin, tout ça c’était jusqu’à ce que la fille de Karen ne succombe à une overdose. Il n’en fallait pas plus pour réveiller le démon qui sommeillait en lui, Paul Kersey reprend les armes et va mettre fin au business de la drogue qui gangrène la ville, à grands coups de chevrotine !
A la réalisation, Michael Winner cède sa place à J. Lee Thompson, capable du pire (La Bataille de la planète des singes - 1973) comme du meilleur (Les nerfs à vif - 1962), un cinéaste habitué de Charles Bronson pour l’avoir dirigé au préalablement à six reprises.
En toute légitimité, on aurait pu s’attendre au pire, après un 3ème opus à regarder au second degré, très badass et décomplexé, ce quatrième opus n’en reste pas moins satisfaisant. Le film a le mérite de nous tenir en haleine durant toute sa durée, avec cette vendetta entre deux cartels la drogue et Paul Kersey entre les deux, dézinguant avec toujours autant de mépris et d’absence d’empathie, tous ces salauds de dealers.
Oubliez le côté dark et nihiliste des deux premiers opus, le film reste assez classique dans son traitement, avec ces barons de la drogue d’un côté, les flics de l’autre et Kersey qui sert de prétexte à cette énième suite. Cependant, il est intéressant de souligner que pour la première fois, les méchants ne sont pas représentés par de jeunes adultes (après les voyous des rues dans les deux premiers opus et les punks dans le troisième), cette fois fois-ci, ce sont des adultes que Paul Kersey doit combattre.
Reste au final, cet insatiable plaisir coupable d’y retrouver ce bon vieux Charles Bronson (66ans), la moustache fringante et toujours cette absence d’expression dans le regard. Un justicier impassible et inexpressif (pourtant rudement bien payé pour ce rôle, il a empoché 4 millions $ sur les 5 millions que comptait le budget du film !), en train de dessouder des dealers avec toujours cette même facilité déconcertante. C’est relativement bête, toujours aussi politiquement incorrect et l’ensemble n’en reste pas moins jubilatoire, bref le plaisir reste intact après ces nombreuses suites.
En-dessous de son prédécesseur, clairement moins spectaculaire mais aussi moins prenant dans son intrigue, puisqu'il ne s'agit plus de s'en prendre à des petites frappes de la rue mais au trafic de drogue, ce n'est pas le même type d'adversaires, c'est plus un film d'action standard j'ai envie de dire.
Jusqu'au bout du ridicule, Charles Bronson incarne à nouveau ce justicier afin de combattre la drogue présente partout. Se foutant de tout et de tout le monde, n'ayant aucune considération pour personne, totalement inexpressif, il ne se contentera pas de braquer des dealers. Mais de les traquer méthodiquement, de les liguer les uns contre les autres, et continuer son œuvre de mort même sur les miettes qu'il reste. A la même époque, les films de Stallone et Schwarzenegger étaient drôles volontairement ou involontairement avec le recul et reflétaient leur époque. Des supers-héros bodybuildés qui avaient tous un idéal, un but, une quête à accomplir : devenir champion du monde de boxe pour Rocky, sauver leur épouse, leur fille, tuer un type. Chez Chuck Norris aussi même si ses films sont critiquables sur bien des points. Bronson n'a rien. Il est tout seul. Il se contente de tuer. Comme un robot sans âme. Au lieu de partir à la retraite et d'arrêter le massacre. Il préfère se ridiculiser à sortir avec une femme qui pourrait être sa fille ou sa petite-fille, à terrasser à l'arme de guerre des armées entières de toxicos ayant l'âge d'être ses petits-enfants et sans jamais se faire toucher. Ridicule. Consternant.
Alors que la fille de sa nouvelle compagne meurt d'une overdose, Paul Kersey reprend les armes, et part dans une croisade contre les cartels de la drogue. Si "Death Wish 3" était un nanar amusant, ce quatrième volet a malheureusement tout du nanar mou du genou, façon téléfilm d'action au rabais. La réalisation est fade à souhait, les dialogues pauvrissimes, et les acteurs souvent à côté de la plaque. Charles Bronson semble à peine concerné par ce qu'on lui fait jouer, tandis que l'on retrouve l’immanquable message propagandiste en faveur des armes à feu et de l'auto-justice, typique de cette franchise sécuritaire. A noter que le scénario du film contient pas mal de crétineries : outre l'idée qu'exterminer les dealers résout forcément le problème de la drogue (aucune remise en question des consommateurs !), on a le droit à quelques scènes d'action assez débiles. Mais l'ensemble demeure mauvais et ennuyeux.
Et on repart pour un tour avec notre cher justicier pour aller casser de la vilaine racaille ! Le résultat est similaire aux autres: c'est bête, c'est méchant, c'est réac et c'est mauvais au point d'être drôle. Paul Kersey (Charles Bronson) vit maintenant avec Karen (Kay Lenz) et Erika. Cette dernière va succomber à une overdose de cocaïne. Après avoir tué le dealer responsable de sa mort, Paul est contacté par Nathan White (John P. Ryan), un homme puissant qui propose à Kersey de débarrasser la ville de deux puissants barons de la drogue... La réalisation n'est pas mauvaise mais pas grandiose non plus. Les prises de vues restent très simples, la mise en scène est pas mal, la profondeur de champ n'est pas toujours exquise, le cadrage majoritairement bon et les mouvements assez réussis. Le scénario n'est pas lent mais très répétitif: Bronson va passer son temps à éliminer les grosses huiles de la drogue pendant une heure de film jusqu'à un climax aussi farfelu que stupide. Le rythme est là mais cela n’empêche pas un certain ennui. Les rebondissements ne sont guère impressionnants et les scènes d'action manquent de punch. Les acteurs sont assez mauvais, ils surjouent beaucoup. Les personnages sont des coquilles vides très stéréotypées. Les dialogues fonctionnent (un peu) la plupart du temps. La photographie est pas trop mal, la lumière est bien travaillée et les lumières passables. Le montage est très anarchique, il semble avoir été fait au hasard. Les costumes ne sont pas très bons, les décors sont vides et la musique est moins insupportable que dans les films précédents mais c'est pas toujours très subtil. "Le Justicier braque les dealers" (Oscar du titre le plus ridicule ?) est un concentré de stupidité et de ringardise qui est amusant à voir au moins une fois.
On frôle la nullité la, franchement: déjà, le titre "Le justicier braque les dealers" c est le titre le plus con que j'ai jamais entendu! Réalisé par Jack Lee Thompson ( L or de MacKenna, Les canons de Navaronne)et qui dans les années 80 faisait vraiment n importe quoi! 4eme collaboration entre lui et Bronson , c'est vraiment la pire ( quoique "Kinjite, sujets tabous" 1989 n'est pas mieux....) Pourquoi ne laisse t on pas le personnage de Paul Jersey la ou il aurait du rester, c'est a dire dans le premier opus au lieu de le promener dans 4 autres films aussi peu original les uns que les autres! Des ficelles usées et de la violence gratuite que Bronson n'arrive pas a sauver. Le justicier dans son avant dernier opus J osé pas parler du film suivant" le justicier: l ultime combat" . Je préfère largement " Le bison blanc"(1977) et " Le justicier de Minuit"(1983) qui sont des collaborations precedentés du duo Bronson/Lee Thompson qui aurait pu faire autre chose que de malmener ce pauvre justicier et de le faire tourner en rond...
Décidément, Paul Kersey porte la poisse à ses proches! Dans ce quatrième épisode, c’est l’overdose de sa belle-fille qui pousse papy Bronson à partir en guerre contre le cartel de la drogue. Le film est moins invraisemblable que l’opus précédent mais également beaucoup moins drôle. Et puis, on a beaucoup de mal à comprendre comment le héros reste en vie jusqu’au bout du film avec sa vivacité de tortue anémique et ses plans foireux. Heureusement que les méchants visent comme des pieds…
"C'est pas ta faute si ta fille est morte... C'est la faute de cette drogue de merde!" Ça s'annonce assez fort, mais il n'en est rien... On quitte le (bon) nanar pour la (mauvaise) série B. Fini les bonnes vieilles exécutions sommaires, on entre dans le petit film à soi-disant suspense. Papi Bronson se balade tranquillement dans l'histoire, en exécutant tous les méchants, du petit dealer au gros bonnet, en passant par le flic ripou. On attend notre lot de viande froide comme dans les premiers opus, malheureusement Charles se contente de passer d'un méchant à l'autre, au gré d'un scénario basique qui nous réserve quand même une fin inattendue... Mais avait-on besoin d'un twist-ending dans ce genre de film? On veut voir notre vigilante préféré dessouder du dealer, pas une vieille histoire de qui a tué qui! Dommage, le vigilante avait de quoi nous faire rêver, il nous propose ici une (trop) simple histoire de série B sans originalité...
On frôle la nullité avec ce 4ème opus. Papy Bronson sort les gros calibres pour se débarrasser des dealers qui ont tué sa belle-fille et franchement ça en devient lassant. Dès le début du film on sait ce qui va se passer et franchement l'intérêt de le regarder réside par le charisme de Bronson.
pas le meilleur bronson certes mais beaucoup d action,les mechants sont excellents notemment perry lopez qui faisait l indien au coté de bronson dans l aigle solitaire.on retrouve souvent dans ce film la b.o du justicier de minuit