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Noah N
18 abonnés
126 critiques
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4,5
Publiée le 23 septembre 2024
C’est parti pour l’épisode le plus contreversé de la saga. Pour ma part, j’apprécie le scénario. Situer le film durant la Guerre Froide change des autres films et est cohérent avec les ambitions des Russes, spoiler: à savoir une course à la recherche scientifique contre les USA . Même si c’est de la pure fiction, cette quête du Crâne de Cristal mérite de faire partie de la saga car elle est liée à une culture ancienne ici spoiler: Nazca, dont leurs dessins sont souvent assimilés à une intelligence extraterrestre. Donc, les Aliens méritent une place et en faire des êtres interdimensionnels fait référence à des pensées actuelles . On a même droit à une représentation de la situation en Amérique durant cette année 1957 pour une bonne immersion. Même 29 ans après, Harisson Ford n’a pas oublié de jouer son personnage iconique et a gardé le même charisme. Contrairement à ce que beaucoup pensent, Mutt est loin d’être désagréable : oui il a une certaine arrogance, mais n’en reste pas moins un personnage attachant bien interprété par Shia LaBoeuf. Évidemment on n’atteint jamais le niveau de relation spoiler: père-fils Indy-son père du 3 , mais son alchimie avec Indy reste sympa. Cate Blanchett joue une antagoniste intéressante avec des airs russes bien représentés et des motivations en accord avec l’époque et qui va jusqu’au bout pour atteindre ses intentions. C’est vrai que Mac a l’arc narratif le moins impressionnant du film, mais je l’apprécie encore car il a des motivations légèrement compréhensibles et ne fait pas de mal à Indy. À part cela, ça fait plaisir de revoir spoiler: Marion avec ses interactions marrantes avec Indy et des actions héroïques et John Hurt joue bien le tourmenté d’esprit en devenant le plus intriguant. Avec Spielberg, on a toujours droit à du pur divertissement avec des plans d’ombre iconiques, un dépaysement et des scènes d’action haletantes. En parlant de ça, ce n’est le fait que ça va trop loin qui me dérange, ce sont les effets spéciaux car c’est le plus gros défaut du film : même pour 2008, les visuels manquent beaucoup de finesse, comme si je regardais la Prélogie Star Wars. Heureusement que le travail de John Williams reste agréable à entendre : hormis son thème aventureux toujours réussi, on a plusieurs airs à la flûte de pan correspondant au côté péruvien et sud-américain voire quelques sons russes pour les antagonistes. Bref, ça colle toujours à l’ambiance générale, même quand Williams reprend ses sons de fond de "La Guerre des Mondes", lors de la scène de l’obélisque. Notons aussi que les impressionnants décors sont construits avec soin et que l’humour est bien amené.
J’adore "Le Royaume du Crâne de Cristal", c’est le premier épisode que j’ai regardé et comme avant, je l’apprécie toujours autant, le préférant au premier film (désolé). L’ADN est fidèlement repris, mais je trouve dommage que beaucoup ne le voit pas : on retrouve cette quête à un artefact d’une civilisation ancienne, des antagonistes cohérents avec l’époque et des scènes d’action divertissantes. Les personnages restent bons et la musique top, mais visuellement on perd en authenticité.
Une "impression" (une certitude) de déjà vu, du réchauffé, du gros n'importe quoi en permanence spoiler: survivre à une explosion atomique dans un frigo, de qui se moque t'on ? Il a bon dos le second degré , les russes remplacent les allemands, mais bon, l'histoire n'a ni queue ni tète spoiler: Ils nous refont le coup de "je suis ton père", merci Georges Lucas et la fin est totalement ridicule et bâclée.
19 ans après le dernier opus, Steven Spielberg et Georges Lucas avaient ramené Harrison Ford afin de rendosser le costume d'Indiana Jones, pour le plus grand plaisir des fans. Tous les ingrédients étaient présents pour faire un retour triomphal. Pourtant, le succès critique n'a pas été au rendez-vous, contrairement aux trois premiers épisodes. Je garde tout de même beaucoup d'attentes.
Malgré les années qui ont passées entre Indiana Jones et la dernière croisade et ce film, Harrison Ford est resté en bonne forme. Il a certes un peu perdu de dynamisme, mais il parvient encore à nous en mettre plein les yeux. On s'attache une nouvelle fois à son personnage. Drôle et attachant, Indiana Jones n'a pas changé. Il réussit toujours à se sortir indemne des situations très périlleuses. Parfois, ses exploits en deviennent surhumains et assez irréalistes. Mais on le pardonne toujours, puisqu'il est Indiana Jones. Dans cette aventure, il est en compagnie de Mutt Williams (Shia LaBeouf). Il s'agit du cliché des jeunes américains des années 1950-1960. Il est habillé en veste de cuir, équipé d'un peigne dans sa poche afin de se recoiffer, n'a jamais fini ses études et il n'est pas très aventurier, à l'opposé de l'archéologue. Je ne l'ai pas spécialement apprécié. En 1957, l'année dans laquelle se déroule l'histoire, les nazis n'existent quasiment plus. C'est donc l'URSS qui prend le relais avec Irina Spalka (Cate Blanchett), l'antagoniste. Malheuresement, elle est oubliable selon moi. On retrouve également Marion Ravenhood (Karen Allen), présente dans le tout premier film de la franchise. Dans cette saga, presque tous les personnages n'apparaissent qu'une seule fois. On ne les revoit jamais par la suite, sans savoir la raison. Ici, une petite justification a été mise en place mais elle m'a peu convaincu. Les scènes d'action, éléments principaux de la série, sont parvenues à se renouveler. Elles sont pour la plupart originaux et marquantes. Personnellement, et je pense pour plusieurs téléspectateurs, le long-métrage a un gros défaut et il s'agit de son intrigue, habituellement très efficace. Elle ne colle pas avec l'esprit des films Indiana Jones. Au fur et à mesure, on nous emmène dans une histoire rappelant la science-fiction avec des extraterrestres. Je trouve qu'ils sont allés trop loin.
Pour conclure, comme pour beaucoup, le film est une déception. C'est dommage car il a des qualités. Indiana Jones et les scènes d'action sont toujours autant plaisants à suivre. Mais le scénario gâche globalement le tout.
Un indiana Jones plein d'aventures, plein d'actions mais avec un peu trop de scènes studio avec fond vert trop visibles, une course poursuite en voiture dans la jungle un peu ratée techniquement et un peu trop science fiction.
Avoir attendu aussi longtemps (presque vingt ans) pour un tel résultat, la déception est forcément grande. En 2008, Steven Spielberg propose le quatrième volet de la saga « Indiana Jones ». La pauvreté du scénario, essentiellement prétexte à un enchaînement de courses-poursuites ou de déambulations au milieu de squelettes et de toiles d’araignées, reste le maillon faible de cet opus. L’humour tombe également souvent à plat et, à l’exception d’un Harrison Ford pourtant vieillissant, tous les personnages manquent de consistance. Seuls les petits clins d’œil aux précédents épisodes apportent un peu de nostalgie. Bref, du divertissement à grand spectacle sans envergure.
alors là j'aurais tout vu ! on a tarzan, Witwicky (je sais plus le nom de l'acteur) comme fils d'indiana et putain ! spoiler: DES ALIENS ET LEUR SOUCOUPE EN FORME DE SOUCOUPE !
le film c'est n'importe quoi, jamais bien les 3 premiers, un peu moins le 3 ème mais alors là on sort du contexte, on est dans un autre multivers ! en clair, c'est pas ouf et on peut largement s'en passer...
Dans le panorama cinématographique des aventures archéologiques, "Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" occupe une place à la fois emblématique et controversée. Ce quatrième opus de la saga, réalisé par le vénérable Steven Spielberg, se distingue par son audace narrative et sa capacité à immerger les spectateurs dans une époque marquée par la Guerre Froide et les fascinations pour l'ésotérisme et la science-fiction.
Le film commence avec panache, plongeant directement le spectateur dans l'action avec une séquence introductive mémorable dans la Zone 51, promettant une aventure à la hauteur des précédentes. Harrison Ford, reprenant son rôle iconique, apporte cette touche de charisme et de profondeur qui a toujours caractérisé le personnage d'Indiana Jones. À ses côtés, la présence de Cate Blanchett en antagoniste soviétique, Shia LaBeouf en jeune rebelle, et le retour de Karen Allen en Marion Ravenwood enrichit le casting et offre des moments de réelle complicité à l'écran.
Là où le film excelle, c'est dans sa capacité à mêler habilement l'action trépidante et les énigmes archéologiques, tout en naviguant à travers des décors exotiques et des poursuites haletantes. La musique de John Williams, toujours aussi évocatrice, tisse un lien émotionnel fort, rappelant les jours de gloire de la franchise.
Pourtant, malgré ces points forts indéniables, "Le Royaume du Crâne de Cristal" ne parvient pas à capturer entièrement l'esprit des premiers films. L'intrigue, bien qu'ambitieuse, semble par moments emprisonnée dans son propre désir de surprendre, s'égarant dans des rebondissements qui frôlent parfois l'absurde, notamment avec l'introduction d'éléments extra-terrestres qui divisent profondément les aficionados.
De plus, si l'utilisation des effets spéciaux est une composante inévitable du cinéma moderne, leur excès dans certaines scènes - notamment la fameuse séquence du réfrigérateur - tend à éroder le réalisme et le charme rustique qui avaient fait le succès des premiers épisodes. Cette inclination vers le numérique, au détriment de la simplicité, marque un tournant qui ne fait pas l'unanimité.
En outre, le scénario peine à trouver un équilibre entre l'hommage aux précédents chapitres et la volonté d'innover, se retrouvant par moments dans une sorte de vallée étrange où le nouveau rencontre le familier, mais sans parvenir à une symbiose parfaite. Les fans de la première heure pourraient se sentir désorientés par certaines directions prises, notamment le dénouement qui, bien que spectaculaire, s'éloigne des racines plus terre-à-terre de la saga.
En conclusion, "Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" demeure une œuvre complexe et divisée. Malgré ses ambitions et quelques moments de véritable génie cinématographique, il ne réussit pas tout à fait à atteindre les sommets de ses prédécesseurs. Il reste néanmoins un chapitre significatif dans l'odyssée d'Indiana Jones, offrant aux fans une nouvelle occasion de retrouver leur héros favori, même si le voyage est parfois plus cahoteux que prévu.
"Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" est le volet le moins apprécié de la saga. Avec sa sortie intervenant 20 ans après le dernier opus et avec son scénario s'éloignant un peu de certains codes de la licence, ce long-métrage a forcément interpellé. Mais personnellement, même si je reconnais qu'il n'arrive pas au niveau du premier et du troisième film, j'ai quand même passé un moment assez honnête devant celui-ci. L'un des problèmes que les gens ont eu avec ce projet est certainement son choix de changer de sujet et de s'intéresser à quelque chose qui semble aller trop loin. spoiler: Il est vrai que le fait de traiter des aliens peut paraître un peu bizarre sur le papier pour une série comme celle-ci. Mais dans mon cas, j'ai aimé cette prise de risque, surtout que cela ne sort pas de nulle part. Le rattachement aux croyances d'Amérique du Sud marche bien, et cette idée rejoint le fait que la saga se soit toujours intéressé à ce genre de chose. Par conséquent, le film ne part pas vraiment mal dans le fond. Surtout que dès l'introduction, il nous en met plein la vue ! La scène fait vraiment honneur aux séquences de lancement de la saga, elle est dynamique et bien orchestrée. Malheureusement, sur sa fin, elle montre aussi l'un des autres problèmes que l'on peut avoir avec ce projet, son côté absurde. Personnellement, j'ai toujours pris cette saga pour quelque chose de peu sérieux, et une petite dose d'absurde à toujours parcouru les films après tout, donc cela ne me scandalise pas. Mais je dois bien avouer que ce quatrième opus va bien loin avec cette facette et que certaines décisions auraient pu être bien plus modérées. Par la suite, je trouve que l'ensemble nous fait retrouver ce que l'on apprécie au sein de cette licence. L'histoire est plutôt bien rythmée, certaines scènes d'action sont divertissantes et Steven Spielberg réussi encore à maintenir notre intérêt grâce à sa mise en scène. Cependant, il y a bien un élément où je serai totalement en accord avec les fans, et je parle évidemment des effets spéciaux. Quand on se rappelle des décors naturels des premiers volets, on est assez vite dérangé par cette trop grande présence de fonds verts, surtout que ceux-ci sont assez moches en plus de cela ! Les couleurs sont surexposées dans une lumière bien trop vive, les détails ressortent donc bien trop et donnent une impression de faux assez palpable. Malgré tout, j'ai quand même passé un bon moment devant le film. N'ayant pas un immense attachement à cette saga, je n'ai donc pas forcément été très choqué par certaines décisions. Pour moi, cela reste un bon long-métrage, même s'il n'est pas aussi marquant que les précédents. Pour conclure, un épisode un peu trop boudé à mon sens.
Ce quatrième volet est le plus cartoonesque des Indiana Jones, celui qui a recours au scénario et aux rebondissements les plus aberrants - et cela ne fait qu'aller toujours plus loin à mesure que le film avance. Les précédents n'étaient certes pas des modèles de réalisme, mais on atteint là des sommets dans l'incroyable, de sorte que le film oscille en permanence entre le divertissement léger et le ridicule. Il n'est pas significativement plus mauvais que les précédents (en particulier le deuxième), mais les faux pas sont tout de même nombreux, d'autant plus que les effets spéciaux brillent par leur médiocrité. Enfin, le choix de Shia LaBoeuf pour incarner Henry Jr. est assez douteux, car l'acteur manque largement de charisme.
Quatrième opus de la sage avec moins de rétro et un côté science fiction qui convainc moins que les précédents, même si on est toujours dans le divertissement familial de très bonne facture.
Le 4e film de la saga Indiana Jones, et encore une fois, Steven Spielberg est aux commandes. On sent un net manque d'inspiration de la part du réalisateur, et on le sent d'emporter dans son monde qu'il aime tant (la science-fiction et notamment les extraterrestres), ce qui décrédibilise en partie le film et le rend moins intéressant. Toutefois, les plans sont beaux, les effets spéciaux plutôt aussi, Harisson Ford continue de bien porter le protagoniste, et c'est un plaisir de continuer l'aventure du plus grand aventurier que la Terre est connue !
« Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal » est un film plutôt réussi, bien qu'il ne soit pas à la hauteur des premiers volets de la saga. C'est un divertissement à l'ancienne, qui offre des moments de pur plaisir, à la fois au premier et au second degré. Le film combine habilement l'action, l'humour et un soupçon de nouveauté, tout en restant fidèle à l'esprit de la série. Harrison Ford reste convaincant dans son rôle emblématique, même si on ressent une certaine répétitivité et un manque d'originalité par moments. L'ajout de nouveaux éléments et personnages donne un peu de fraîcheur à l'ensemble, mais le film peine parfois à recapturer la magie des premiers épisodes. Malgré ses défauts, c'est un bon divertissement qui ravira les fans de la saga, même si ceux qui attendent quelque chose de plus profond ou innovant pourraient être déçus. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Et bien Steven devrait aller se reposer, il a ridiculisé notre héros. Passer votre chemin. Le méchant pardon la méchante est ridicule, le gamin caché trop facile. Enfin la fin est franchement une honte.