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Il n'y a pratiquement aucune scène de respiration dans ce film véritablement hystérique. Heureusement, la fin dévoile et rassure : il y avait donc bien un script et une histoire, même s'ils sont dévoilés tardivement.
Un plat assez boursouflé mais plutôt attrayant si l'on s'en tient au décor ruisselant, au cache-cache chorégraphique et à l'héroïne aux cheveux de jais, incarnée par Kate Beckinsale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
On ne peut pas reprocher à Wen Liseman son manque de rigueur, tant se lisent dans chaque scène les suées de labeur et le désir de bien faire. Le malheur du film, au fond, vient beaucoup moins de ses défauts plastiques que de cet indécrottable esprit de sérieux qui le mine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Malgré quelques pistes intéressantes (les humains n'existent pratiquement pas, l'ail et les crucifix sont inopérants), on ne retient du film de Wiseman que ses interminables scènes de canardages confuses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
Il n'y a pratiquement aucune scène de respiration dans ce film véritablement hystérique. Heureusement, la fin dévoile et rassure : il y avait donc bien un script et une histoire, même s'ils sont dévoilés tardivement.
Télérama
Un plat assez boursouflé mais plutôt attrayant si l'on s'en tient au décor ruisselant, au cache-cache chorégraphique et à l'héroïne aux cheveux de jais, incarnée par Kate Beckinsale.
Chronic'art.com
On ne peut pas reprocher à Wen Liseman son manque de rigueur, tant se lisent dans chaque scène les suées de labeur et le désir de bien faire. Le malheur du film, au fond, vient beaucoup moins de ses défauts plastiques que de cet indécrottable esprit de sérieux qui le mine.
Le Parisien
Ce n'était pas une mauvaise idée, mais ce (trop) long métrage se révèle vite décevant.
Libération
Malgré quelques pistes intéressantes (les humains n'existent pratiquement pas, l'ail et les crucifix sont inopérants), on ne retient du film de Wiseman que ses interminables scènes de canardages confuses.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com