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Luuuuuuuuc
11 abonnés
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2,0
Publiée le 11 octobre 2023
Quatrième volet d’une série dont le premier oscille entre nanar et comédie culte des années ‘80, ce film voit s’ajouter une nouvelle venue au casting général : Sharon Stone, pas encore complètement starisée, pas complètement inconnue non plus après sa double prestation dans la franchise Alan Quaterman (1985 et 1986), mais déjà insignifiante.
Cet épisode est, en outre, le dernier avec Steve Guttenberg et ça se voit : il n’apparaît plus que de manière épisodique, comme déjà en transition. Pendant ce temps, d’autres personnages s’affirment.
On ne peut pas dire que les gags se renouvellent ni ne s’affinent et, hélas, la qualité décroît inexorablement, jusqu’à proposer des plans mal cadrés révélant des éléments de la réalisation (le pilote dans la scène des avions).
Mêmes idées que pour le 3, le film a une thématique et ses personnages qui ne manque pas de jouer une comédie assez délirante. Dans ce style cela a un peu vieilli mais tel que c'est ne mérite pas une note trop basse car c'est inventif et bien fait.
Je ne me souvenais pas qu’il était si mauvais ! Revu ce soir et l’humour est réellement raté. On à quand même un petit plaisir de retrouver toute la clic et oh surprise un petit rôle pour Sharon Stone encore très peu connue à l’époque.
Quand on regarde ce genre de film on ne s'attend pas à un film art et essai. Le résultat est connu, humour loufoque, potache, pas bien fin, personnages caricaturaux et atypiques, et situations burlesques proches des caricatures outrancières de certains film muets noir et blanc. Police academy comme y a t-il un pilote dans l'avion est une marque qui en donne pour son argent avec des scénarios où il ne faut surtout pas chercher de cohérence, le tout étant prétexte à un enchaînement de gags burlesques plus ou moins réussis. Visionné avec mon petit fils de 7 ans j'ai pu mesurer l'effet de cet humour lourd de cours de recré, en fait ça fonctionne comme en son temps les films des charlots que j'allais voir avec mon père au cinéma. A noter la présence de la alors très jeune Sharon Stone, toujours aussi belle, dans un rôle cependant insignifiant et décoratif. On a exactement ce que la promesse de ce genre de film propose. Correct donc
Police academy 4 : Aux armes citoyens marque la dernière apparition de Steve Guttenberg dans la série. On peut penser qu’il prit cette décision car il comprit que la série perdait en qualité. En effet, si le film est toujours aussi débile, la réalisation de Jim Drake est très molle notamment en ce qui concerne les scènes d’action et l’humour est moins efficace et plus lourd (même si les premiers épisodes ne faisaient déjà pas dans la finesse). Outre le plaisir de retrouver les personnages farfelus de la série, le seul petit intérêt est de découvrir une Sharon Stone encore inconnue (malgré son personnage d’héroïne dans la série Allan Quatermain) dans un rôle de journalistespoiler: qui tombe sous le charme de Mahoney et qui se situe à mille lieux de celui de Catherine Tramell. Ce Police academy 4 : Aux armes citoyens prouve donc que la série commence à vraiment trop tirer sur la corde. Et pourtant, trois autres volets verront le jour dans les années suivantes.
Ce quatrième opus de la saga "Police Academy", réalisé cette fois par Jim Drake et sorti en 1987 n'est vraiment pas terrible. Et ce n'est franchement pas surprenant car mis à part le deuxième opus qui était plutôt sympa, le reste de la saga est très moyen, voir mauvais (enfin en tout cas, en ce qui me concerne). Nous retrouvons donc la même troupe qui doit cette fois mettre au point le programme C.O.P. Bon, comme d'habitude, ce n'est pas ici le scénario le plus important, il sert une fois de plus de prétexte pour faire des gags en tout genre. Mais le problème, c'est qu'au bout du quatrième film avec toujours à peu près le même fond et la même forme, les bons gags se font de plus en plus pauvres et de plus en plus rares. Il faut dire que l'humour "Police Academy" est déjà assez spécial et assez lourd dans l'ensemble mais si en plus on nous remet ce même genre de gags pendant quatre films d'affilé, au bout d'un moment, on sature. Nous avons malgré tout quelques bons gags et quelques scènes réussies (notamment la dernière avec les avions) mais le film reste dans l'ensemble assez lourd et surtout assez long. Effectivement, du fait qu'il ne se passe pas grand chose, l'heure et demie passe alors très lentement et on commence à trouver le temps long. Le film n'en profite pas non plus pour travailler ses personnages, en quatre films, aucun n'a réellement évolué, ce qui est très dommage. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc la même bande qui joue toujours relativement bien et puis nous avons cette fois en plus Sharon Stone qui passe d'ailleurs plutôt inaperçue. "Police Academy 4 : Aux armes citoyens" n'est donc pas le plus mauvais de la saga mais il est loin d'être bon.
Les fous-fous de flic académie entament leur quatrième année cinéphile et ne sont pas sortis de l’auberge. Une question de rééquilibrage hiérarchique à mettre au point, le match retraité se la coule douce versus ambitieux carriériste sans scrupule arrive à ses fins pour plomber l’ambiance anxiogène. Les blagues sont pas mauvaises ni nulles, c’est tiède, il n’y a pas de point fort à trouver, des références pop après “ la psychose�, voilà “Halloween�, chaque apparition de personnages à son lot de panier clowns, volontiers pour distribuer farce et attrape, aucune sanction disciplinaire à l’horizon pour ce moment détente. La continuité des gags qui font tourner le moteur de cette longue saga à la durée abordable, ex-voyou policier au cœur sensible, retour d’effectif présente des premiers films. Les nouvelles recrues s’élargissent pour répondre aux attentes de la demande évolutive du bureau de recrutement, plus de limite d’âge pendant cette journée porte ouverte. Des missions préventives, l’interpellation de chenapans infligés de travaux d’intérêts généraux, une population rassurée et sécurisée par la patrouille citoyenne. Les infractions au code de la route sont respectés, ligne continue et feu rouge infranchissable, sans contravention pour éviter au mieux la répression, les délits ne sont que des formalités, tous volontaires dans la participation à l’humeur décalée. Une égérie blondasse comme distraction et qui ne peut démotiver le plus ardent des équipiers, son allergie à la discipline lui vaut la fière allure de l’uniforme. Être la loi soit au dessus du civil, des airs d’avion et montgolfières en conclusion épisodique, le juke-box humain anime la vibe musicale.
Dernier Police Academy avec le sergent mahoney Ce film de la saga et au même niveau que le précédent,c’est à dire que la saga continue à s’essouffler. Notons que la charmante Sharon Stone apparaît dans cet épisode.
Critique de "Police Academy 4". Hahaha !!! Alors là on a trouvé le champion de la daube de chez daube. J'ai vraiment pas les mots pour décrire ce que je viens de voir. Il y a quelques scènes drôles mais dans l'ensemble c'est un gros bazar. Scénario peu crédible qui ne tient pas la route, dialogues nuls. Il n'y a tellement plus d'idées qu'ils recyclent les gags des films précédents (la scène de la douche par exemple) Le deuxième film était déjà mauvais là ils ont réussi à faire pire. Je m'arrête là parce que c'est vraiment affligeant. 1,5/5
Dans la lignée des précédents : Mauvais, mal joué, pas drôle ! A noter tout de même la présence Sharon Stone. Incroyable que la série ait eu autant de suite, certains gags sont même repris des volets précédents ! On sent tout de même qu'il y a plus de moyens.
ils sont de retour entre èlèves potaches ou instructeurs de choc, les flics gaffeurs dèvastent tout et rivalisent de loufoquerie pour ce quatrième èpisode de la sèrie à succès! Le scènario est l'oeuvre de Gene Quintano, dèja auteur du prècèdent volet! Entre-temps, celui-ci a rencontrè la belle Sharon Stone qui pènètre donc pour la première fois de plain-pied dans l'univers de la Police Academy! En journaliste de charme, elle rèsiste avec beaucoup d'humour et d'aplomb aux avances du lieutenant Mahoney, toujours incarnè par le dèbonnaire Steve Guttenberg! On prend les mêmes (Hightower, Larvelle Jones, Proctor, Sweetchuck, Zed...) et on recommence avec des pèripèties qui abondent jusqu'à une poursuite mèmorable en montgolfière et vieux couscous...
Gags toujours trop 'lourding", par contre, on s'envole un peu, ça change ! Je crois que la pauvre Sharon Stone s'était perdu à ce moment là sur le plateau du tournage !