Avis : Gang de requins - Page 4

c' est franchement sympatique, ça va à 100 à l' heure, et on a pas le temps de s' ennuyer comme c' est souvent le cas avec les animatons de Dreamworks.

Super, j'adore quel détente de regarder un dessin animé comme ça !!

Alors que Pixar avait sorti ''Le Monde de Nemo'' l'année d'avant, voilà que son concurrent Dreamworks sort son film d'animation sous-marin. Si il faut reconnaître que le studio est toujours à la traîne au niveau de l'animation (les images sont d'un très bon niveau mais loin d'être époustouflantes, elles ont déjà vieilli), il s'en sort plutôt bien avec cette histoire délirante de poisson qui prétend être un tueur de requins et ce requin qui refuse de manger des êtres vivants alors que son père est le boss de la pègre des requins. Le scénario dispense bien évidemment sa petite morale (il ne sert à rien de mentir pour devenir quelqu'un aux yeux de tous, il suffit juste d'être quelqu'un aux yeux d'une seule personne) mais est riche en références (Robert De Niro doublant le chef de la pègre en VO, Martin Scorsese étant présent au générique également) et réserve quelques bonnes surprises, emmené par des personnages attachants et une rythme qui tient la route.

Gang de requins : Un dessin animé fort plaisant et amusant dans la ligne de l’humour made in Dreamwork (par les créateurs de Shrek). Non vraiment, ce titre m’a bien fait rire, l’humour est efficace, distrayant, plein des références (le parrain…) et des clin d’œil, les dialogues sont sympas, bon, il y en a quelque un qui sont un peu kitch car c’est Eric Junio qui fait la voix du héros et il reprend des réplique de ses films : mouais… c’est téléphoné mais je chipote. Ensuite, c’est assez différent du Monde de Némo pour ne cité que lui car il est plus basé sur l’humour même si a la fin, il y a une bonne morale assez classique malgré tout. Car, l’histoire et surtout le schéma est classique : le héros qui se sent inutile, il va devenir une vedette, il va avoir a un moment une remise en question… Mais, j’ai beaucoup aimée l’univers et surtout les personnages qui sont très amusants a suivent. Car, on est sous la mer et on va suivent un poison un peu mégalo, son amie qui est amoureuse, un requin qui aimée pas manger les poisons… Non vraiment, l’univers est bien et l’animation est très soignée ainsi que la mise en scène qui est certes kitch mais efficace. Et les music très rap colle bien aux personnages. Donc voila, un dessin animé qui déborde d’énergie et d’idée, dans la pure tradition des Dreamwork : une perle du divertissement.

Décevant c'est le mot qui me vient en premier. Bien sur les graphismes sont quasi irréprochables, mais l'histoire est tellement simple, scénario tellement vide...
J'ai surtout mis la moyenne pour les grands efforts techniques, mais je suis mécontent du reste...

Ce film d’animation en images de synthèse des studios Dreamworks marche un peu sur les plates-bandes du « Monde de Nemo » des studios Pixar. Sans atteindre le niveau de ce dernier, « Gang de requins » n’a pourtant pas à rougir de la concurrence avec son monde sous-marin cohérent et drôle. Les similitudes avec le monde des humains, les références cinématographiques et les personnages tous plus cool les uns que les autres en font un spectacle idéal pour petits et grands. Bien que simpliste, la morale de ce film ne fait pas de mal (le mensonge est un vilain défaut qui peut se retourner contre soi). Dans le genre, ce n’est pas le film le plus émouvant ni le plus profond. Mais j’ai passé un agréable moment en le regardant.

Sympa à regarder mais pas vraiment original. De plus, les doublages français font vraiment bizarre.

Une fois qu'on s'est habitué au graphisme (franchement, Oscar est très laid), on passe un agréable moment en compagnie de ces drôles de poissons! Le doublage, de qualité, y est pour beaucoup, tout comme les références à quelques grands films. Mais ce dessin animé est-il à la portée des plus jeunes? J'en doute..

L’an 1975 vit débouler dans les salles obscures "Les dents de la mer" de Steven Spielberg. 19 ans plus tard, le cinéaste crée les studios Dreamworks, lesquels deviendront un poids lourd du film d’animation, à la poursuite perpétuelle de la reconnaissance atteinte par les studios Disney/Pixar. Nous sommes en 2004, et voilà que déboule "Gang de requins", qui débute sur un gros cliché à propos du premier gros succès de Spielberg, jusque dans la musique. D’ailleurs on notera plusieurs références (cinématographiques ou pas), comme le Titanic, "Le parrain", "Le cercle", ou encore les mégapoles que sont New-York ou Las Vegas, pour ne citer que ces villes. L’esthétique est soignée, l’animation est parfaite, et les couleurs chatoyantes. Dreamworks nous proposent une plongée sous-marine ostensiblement tournée vers l’hilarité. Il me semble certain que les enfants vont adorer, je suis moins sûr pour les adultes. Car "Gang de requins" souffre de la comparaison avec "Le monde de Nemo" (sorti tout juste un an auparavant), une réalisation Pixar ayant eu logiquement un immense succès. Bon il est vrai que le scénario peut être discutable et discuté, mais le fil rouge de ce film d’animation est avant tout basé sur la fantaisie. Pensez donc : un requin végétarien, un minuscule poisson promu tueur de squales… Totalement délirant ! Mais c’est justement le côté délirant qui a fait souvent le succès des films d’animations. Souvenez-vous : les Tex Avery, Tom et Jerry, ou encore Bugs Bunny… c’était pas délirant, ça ? Le problème ici est qu’on en fait des tonnes, et quand je dis des tonnes, je dis beaucoup trop. En plus de prêter aux personnages le faciès de leurs voix américaines (Oscar en Will Smith, la grosse bouche d’Angelina Jolie sur Lola, la douceur du visage de Renée Zellweger prêtée à Angie, et Sykes muni des sourcils hyperactifs de Martin Scorsese), cela tombe souvent dans la caricature, notamment en ce qui concerne Oscar. Il bouge tellement, qu’il est parvenu à m’en donner le tournis et franchement, ça m’a un peu saoulé. J’ai parlé un peu plus haut des qualités techniques de ce film d’animation. Je dois préciser que les requins blancs sont bien faits, dans lesquels on reconnaitra aisément Robert De Niro et son grain de beauté, même sous la version française puisque c’est son doubleur attitré qui s’y est collé. Mes personnages préférés restent les méduses, à qui ont été attribuées plusieurs étiquettes, dont celle de la Jamaïque par l’association de reggae dans la bande originale signée Hans Zimmer, mais aussi celle de disc-jockeys. J’avoue qu’au vu de leur apparence, ça leur va à merveille. "Gang de requins" n’est donc pas une catastrophe, un raz de marée menant à la désolation comme certains se plaisent à le dire, mais n’est pas non plus une pure merveille pour les raisons que j’ai indiquées plus haut, mais aussi pour la bande originale résolument R’n’B qui, malgré le fait qu’elle colle bien au personnage d’Oscar, qui a fini par me noyer d’agacement.

Un superbe film d'annimation, avec une belle famille de requins mafieux, beaucoup d'humour et une très belle qualité d'images... Un délice pour les yeux ;)

En tout premier lieu, Gang de requins possède un doublage français tout simplement désastreux, enlevant toute la subtilité du phrasé original ainsi que bon nombre de références cinématographiques (dont celle de Scarface notamment), ce qui en fait une grosse déception lorsqu'il n'est pas vu en version originale. Cette parenthèse passée, ce nouveau long-métrage signé DreamWorks Animation reste une excellente comédie pastichant les films sur la mafia où l'on découvre, sous l'océan, un monde terriblement humain où portables, sonos et journalistes font bon ménage avec le reste du récif. Et c'est dans cet univers sous-marin contrôlé par les requins que l'impétueux mythomane loser Oscar (Will Smith, hilarant), simple employé à un lavomatic pour baleines, décide d'inventer le plus gros mensonge des profondeurs : s'autoproclamant tueur de requins, il va s'attiser les foudres de Don Lino (Robert De Niro, parfait), le parrain number one dont le fils vient d'être tué en réalité non pas par Oscar mais accidentellement. Et c'est le début des ennuis pour notre pauvre poisson jaune qui va découvrir à ses dépends que tricher n'amène qu'aux soucis et que la célébrité n'est qu'éphémère... Avec ses références subtiles, ses personnages originaux et une animation exemplaire, le film se regarde avec un profond plaisir. Dommage en revanche que quelques aspects de design soient aussi moches (le chara-design d'Oscar principalement, d'une laideur sans pareille) et que l'intrigue possède deux/trois longueurs... Ceci dit, outre ces légères lacunes, le film reste très agréable et possède des scènes immédiatement cultes (le fameux "What What ?" entre Don Lino et Sykes, irrésistible en VO). Hélas, si concurrence il y a avec Le monde de Nemo de Pixar, le film de DreamWorks ne fait sans aucun doute pas le poids...

C'est bel et bien grâce à Dreamworks, et à son envergure, qui l'on peut continuer à savourer ce genre de film d'animation, qui reste simplement très distrayant et originaux tous autant qu'ils puissent être. Cela état dit, Pixar et Dreamworks visitent malheureusement le même terrain, et cela à travers par exemple les couples Fourmiz, Les 1001 pattes ou encore Gang de requins et Nemo. Il serait plaisant que chacun sorte de cette spirale, et nous livre quelque chose de totalement nouveau ! Cependant il est impossible de renier le travail brillant qui est fait des deux cotés bien entendu.

Un film d'animation déjanté pour petits et grands.

C'est rafraichissant et bourrés de scènes drôles et amusantes avec une ambiance très cool, très "hip-hop".

On y découvre la vie d'un poisson qui rêve de gloire et de notoriété, mais pour l'instant il est dans un sale pétrin il doit de l'argent à son boss, mais les circonstances et grâce à son opportunisme et avec de gros mensonges il va devenir un héros respecté et pleins de gloire!

Mais la ou sa ce gâte c'est quand il oublie ses véritables amies.

Un film d'animation très divertissant ou les personnages sont des hommages aux acteurs qui les doubles comme pour Deniro qui incarne le parrain de la mafia des requins, ou bien Angelina jolie en femelle sulfureuse, Will Smith en poisson cool et le plus surprenant Martin Scoresese qui incarne un poisson qui possède le même volume de sourcils que lui.

Le dessin animé de Dreamworks qui ne sert absolument à rien et qui veut détrôner Némo en donnant aux personnages un language de racaille... Quelques passages sympathiques, mais le reste est à jeter!

Un dreamworks délirant et super bien fait, celui ci rivalise largement avec les Disney, Des bons gags, avec des références bien placer, une histoire assez originale.
Un Dessins animés comme on les aimes !