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    Le Justicier de New York
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    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2024
    « spoiler: Je n'aime pas les dégénérés plus que toi. Mais je ne peux rien faire contre eux. Tu vois, je suis flic. Mais toi, tu leur tires dessus.
    »

    Après avoir tout perdu, M. Paul Kersey revient voir un vieil ami à New York.

    Dès son arrivée, spoiler: Paul assiste aux derniers instants de vie de son ami, qui vient d'être assassiné par le gang maléfique qui impose son règne de terreur sur le quartier
    .

    Le spoiler: racket, le viol, le trafic d'armes, de drogue et d'êtres humains et les meurtres en toute impunité sont les crimes quotidiens de ces viles créatures nihilistes sans foi ni loi, pour qui l'éducation, l'effort, l'honneur, le respect, la santé et la vie n'existent pas
    .

    Leurs spoiler: cibles préférées sont bien sûr les personnes les plus faibles, qui ne sont pas capables de se défendre contre leur bassesse, leur vulgarité et leur violence chroniques. Ainsi, ils s'attaquent principalement aux personnes âgées, aux femmes et aux enfants de toutes origines
    .

    Le Justicier devra spoiler: améliorer sa puissance de feu pour vaincre ces terroristes, avec l'aide d'une rébellion populaire contre la dictature du crime, et de la police qui finira par faire son travail le plus efficacement possible étant données les circonstances
    .

    La bonne façon de lutter contre le terrorisme !

    4.2/5
    pierrre s.
    pierrre s.

    430 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 janvier 2024
    Un troisième volet affligeant avec des méchants très méchants qui ont la mauvaise idée t'embêter papi Bronson. Monumentale erreur !
    Nicothrash
    Nicothrash

    371 abonnés 3 031 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Bien loin de l'original (Un Justicier dans la Ville), cette deuxième suite bien bourrine tend dangereusement du côté du nanar avec des interprétations plus que douteuses et des fusillades nombreuses certes mais bien peu maîtrisées. Charles Bronson malgré son âge est toujours bourré de charisme et constitue bien le quasi unique intérêt du film. Malgré tout, ce vigilante est sans aucune concession, particulièrement violent et amoral et l'idée de voir Charlie botter des culs de délinquants durant 1h30 est assez jubilatoire, lorsque l'on ne sourit pas devant le ridicule de certaines scènes.
    Ptitden's
    Ptitden's

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2023
    J'aime toujours revoir ce film que j'avais vu à sa sortie en salle. Pour moi le meilleur est le numéro 2. Dans celui-ci ci il y a quelque chose qui ne passe pas pourtant il y a de la vraie violence avec de vrais morts mais ça fait trop artificiel, peut-être l'image aussi y est pour quelque chose. Les loubards n'ont pas l'air bien méchants, pas assez cruels et répugnants à mon goût. Ils s'attaquent aux sacs des grands mères, ça fait sourire et pourtant ils peuvent tuer c'est paradoxal. On passe quand même un bon moment sans prise de tête avec le plaisir de retrouver Bronson dans son célèbre rôle de justicier.
    Martin E.
    Martin E.

    67 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2023
    Le thème de la vengeance est assez jouissif. Il est ici transcendé car il dépasse le cas personnel. L'inefficacité de l'Etat dans ses tâches régaliennes dépasse les frontières et voyage le temps. spoiler: La racaille s'organise et on assiste à une guerilla, matée grâce au Vigilante en coopération avec les forces de l'ordre.
    Fifou7
    Fifou7

    2 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2022
    Le début du film est pas mal, on retrouve notre personnage de Paul Kersey, de retour à New York (bon dans une banlieue digne de Ken le Suvivant), il nous fait un peu du Mc Gyver, et puis à mi-film un grand n'importe quoi...
    John Rambo n'aurait pas fait mieux...Notre Paulo sort une mitrailleuse et canarde à tout va; son pote nous sort une pompe a vélo-Fusil à Pompe, aucun des 2 ne rate un seul tire, alors que les vilains méchants arrosent à tout va...ça explose de partout, les méchants meurent de partout, et la fin est torché en 3 minutes...
    Un film qui n'apporte rien à la série, et qui à juste du servir a faire gagner un peu de pépette à un Charles Branson vieillissant. Film a oublié (d'ailleurs je l'avais vu dans ma jeunesse et je l'avais oublié (sauf la pompe à vélo-fusil à pompe!! ça c'est mythique!!)...
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    6 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2022
    L spoiler: e film est impressionnant. Par son énormité, car il s'agit ici de guerre de tranchées au sens propre entre de vieux habitants d'un quartier délabré avec les voyous locaux. Michael Winner a construit encore des décors impressionnants d'une ville abandonnée où tout se finit dans la guerre, avec explosions et combats aux bazookas et mitrailleuse (reliques de la Seconde Guerre mondiale). L'argument est simple et démultiplié par rapport à Death Wish 1 et 2: ici c'est une centaine de loubards qu'il faut affronter. Vu comme un film de guerre, le film fonctionne. Les acteurs sont bons. Les décors sont impressionnants. Les articulations dramatiques sont efficaces. Les séquences d'actions sont sèches, sans parlotte inutile, spectaculaires en pyrotechnie (bien avant le CGI porn). Nous sourions souvent devant l’énormité des situations. Pas de séquence de viol ici, mais des tentatives. Et aussi beaucoup d'armes, dont une arme de main impressionnante pour Charles Bronson, pour ensuite aller chercher une mitrailleuse. Charles Bronson, sans être grimaçant, arrive à faire passer de simples émotions, la joie, la tristesse, la colère. Et il ne se ménage pas physiquement avec quelques courses à pied qui n'ont pas l'air doublées quand il poursuit des loubards. Il assure le job. Les seconds rôles le secondent bien avec des têtes familières: Ed Lauter, Martin Balsam.
    Ricco92
    Ricco92

    226 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2021
    On entend souvent que c’est la politique de Rudolph Giuliani en tant que maire qui a permis à la ville de New York d’enrayer sa criminalité. Visiblement, cela est faux car c’est Paul Kersey, alias Charles Bronson, qui a bel et bien fait le ménage à New York. Du moins, c‘est ce que semble vouloir nous faire croire Le Justicier de New York. Si on avait pu penser que les deux premiers volets d’Un justicier dans la ville possédaient une violence exacerbée et problématique, ce n’est rien comparé à ce troisième épisode. Michael Winner, une fois encore aux commandes, oublie complètement le semblant de réflexion qu’il pouvait y avoir jusque-là. Désormais, nous sommes face à une espèce de nanar totalement décomplexé où tout est bon pour enchaîner les fusillades. Il faut dire que papy Bronson est carrément embauché par la Police au mépris de toutes les lois pour s’occuper de méchants complètement caricaturaux (ils ont dû être une inspiration pour Sylvester Stallone et George P. Cosmatos pour Cobra) qui font régner la terreur dans un quartier pauvre de New York. Paul Kersey n’a vraiment pas de chance car après avoir perdu sa femme à New York et sa fille à Los Angeles, c’est un de ses vieux amis qui est massacré juste avant qu’il vienne lui rendre visite alors qu’il est de retour à Big Apple. L’idiotie de son scénario continue pendant ce film où le héros fait passer Rambo pour un petit joueur, sans sembler se rendre compte que ses agissements ont provoqué au passage la mort de plusieurs de ses nouveaux amis, avant qu’il soit carrément accompagné par tous les paisibles citoyens du quartier pour se débarrasser de la racaille. On se demande même pourquoi le scénariste Don Jakoby a choisi d’insérer une histoire d’amour qui n’a rien à faire là spoiler: (heureusement de courte durée vue que l’amoureuse de Kersey sera une fois de plus tuée, ce qui lui donne encore plus envie de massacrer tout ce qui bouge au cas où il y en avait encore besoin)
    . Le Justicier de New York est donc un vrai nanar comme seule la Cannon pouvait en produire dans les années 80 mais, paradoxalement, la débilité de son scénario, l’excessivité de sa violence spoiler: (Bronson passe carrément au fusil-mitrailleur et au lance-roquette !)
    et le manichéisme de son discours peuvent rendre l’ensemble jouissif pour tout amateur de séries B d’action totalement décérébrées. Il faut dire qu’on n’a peut-être jamais fait plus excessif depuis !
    Roub E.
    Roub E.

    958 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juillet 2021
    Troisième épisode de la saga du justicier qui a marqué la fin de carrière de Charles Bronson, ce justicier de New-York est un Vigilant outrancier ou l’acteur déjà bien fatigué à 64 ans va littéralement décimer par douzaine des voyous sous les hourras des vieux du quartier. C’est tellement n’importe quoi et exagéré que le discours reac sur l’autodéfense et le spot de pub pour la Nra qu’il semble être se liquéfient d’eux même. Car pour remettre de l’ordre dans le quartier alors que la police ne fait rien Paul Kersey va utiliser un flingue qui aurait fait peur à l’inspecteur Harry lui même, un fusil mitrailleur de la guerre de Corée (car c’est à la guerre qu’on forme les bons citoyens) et pour finir un lance missile anti char (et oui ma petite dame il faut ce qu’il faut pour éliminer la vermine). Tout est exagéré et caricatural à l’extrême, le pauvre Charles Bronson fait peine semblant coincé dans un projet dont il n’a visiblement rien à faire et obliger de trottiner d’un point de massacre à un autre avec son arsenal. C’est nul mais au point où ça en devient amusant.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2021
    Toujours mené par Michael Winner pour la 3ème fois ce "death wish 3" voit le justicier Charles Bronson revenir dans sa bonne ville de New York et c'est pas pour faire du tricot. Flirtant parfois avec une ambiance digne d'un Mad Max urbain, ce troisieme volet est en tous points conforme aux deux films précédents : d'un coté les méchants (qui meurent), de l'autre le bon (qui tire). Si vous avez aimé les 2 premiers opus cette suite ne vous décevra pas. 3.5 / 5
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 235 abonnés 7 516 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 mars 2021
    Paul Kersey avait dû quitter précipitamment New York à la fin du premier opus pour trouver refuge à Los Angeles (dans le second volet). Cette fois-ci, il est de retour et va rapidement constater que c’est toujours autant la zone, voir pire dans certains quartiers, comme c’est le cas à Belmont où il assiste à l’assassinat de l’un de ses frères d’armes (ils ont fait la guerre de Coréen). Le chef de la police va le pousser officieusement à reprendre du service (passer au Kärcher la cité en échange de sa libération) car il a bien conscience qu’un type comme lui est bien plus efficace que la police et la justice réunies.

    On retrouve une fois de plus Charles Bronson aux côtés d’Ed Lauter & Martin Balsam au cœur d’un polar qui détonne complètement des précédents opus, comme s’il avait été réalisé par un tout autre réalisateur (alors que Michael Winner a justement réalisé les trois premiers opus de la saga).

    Si vous pensiez avoir tout vu avec les précédents opus, détrompez-vous, Michael Winner ne cesse de nous surprendre. Alors certes, le film est moins « violent » dans le sens où on échappe aux scènes de viols qui étaient légion dans les précédents opus (excepté un viol qui sera seulement suggéré, bien loin des précédentes atrocités). Ici, c’est l’apologie de la violence, comme si le Chuck Norris d’Invasion U.S.A. (1986) avait pris la relève de Charles Bronson. D’ailleurs, c’est à se demander si le film n’aurait pas été financé par la NRA (le lobby des armes aux États-Unis) tant ces dernières sont sur-représentées (entre le Wildey 475 Magnum, la mitrailleuse Browning ou encore le lance-roquette).

    On sent rapidement que le film n’est pas là pour enfiler des perles et que ça va défourailler sévère. Si le pitch de départ est improbable, on finit rapidement par y faire abstraction tant le degré de violence est un cran au-dessus. Tout ce joyeux bordel devient rapidement jubilatoire, voir Charles Bronson (la soixantaine tout de même) faire des sprints pour tenter de rattraper des loubards (il n’y arrive jamais) ou dégainer la sulfateuse, c’est tout bonnement jouissif, et ce, malgré un certain côté nanar qui colle au film (les différents pièges imaginés par le héros pour nuire aux assaillants, le trop plein de séquences surréalistes, les mannequins en mousse qui tombent des toits d’immeubles et des loubards grimés en punk qui frisent le ridicule, mention spéciale à Gavan O'Herlihy complètement hideux en badguy avec sa coiffure chelou).

    Le Justicier de New York (1985) est racoleur et prône la violence, mais il s’avère être aussi un vrai moment d’entertainment généreux (notamment lors de la dernière partie, quand c’est tout le quartier qui part en vrille, se transformant en guérilla urbaine). D’ailleurs, il faut souligner l’excellent travail au niveau des décors pour représenter le quartier Belmont (tourné en réalité à Brixton et au Lambeth hospital, un gigantesque complexe hospitalier désaffecté à Londres).

    Une suite badass où l’on en a pour notre argent, une suite décomplexée qu’il faut prendre au second degré, pour ce qu’elle est, à savoir une Série B à l’ultra violence où notre héros dézingue à tout va, tire dans le dos arme au poing, avant de se faire acclamer par la foule tel le messie.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2021
    Death Wish 3 ne cherche jamais à rendre crédibles son intrigue ou ses personnages, à la fois manichéens et uniformes, pions posés sur un vaste échiquier qu’il s’agit de dézinguer à coup de Magnum ou de mitraillette. Cette ode à l’autodéfense, bien moins intelligente et provocatrice que la version signée Eli Roth (2018), a néanmoins le mérite de transformer la ville en un parcours de cibles mouvantes, les entrées et sorties de Paul Kersey ayant pour unique but de sauver les braves gens des griffes des méchants. Méchants vraiment très méchants, spécialisés en sévices gratuits et cruels, à ce point violents avec les habitants que nous nous demandons comment ces derniers ont fait pour rester en vie aussi longtemps. La démarche de Michael Winner, brut de décoffrage quoique plutôt efficace lors des séquences de traque, s’apparente à celle d’un jeu vidéo composé de niveaux successifs : l’action est livrée en kit, papy la bricole arrange tout ça avec un marteau et beaucoup d’ingéniosité – il invente d’ailleurs la tapette à souris pour voleurs, à breveter ! Tapette à souris qui récolte deux dents à sa victime, exécution de la petite souris échangeant les chicots perdus contre de l’argent. Voici donc un Mad Max aux couleurs de l’Oncle Sam, un appel à l’armement individuel idiot qui a l’heureuse idée de ne pas se prendre au sérieux : il ne cesse de se scruter dans le miroir de la fiction réduite au divertissement pur, vidée de sa substance humaine en ce que les femmes ne servent qu’à attiser le désir de vengeance des hommes, en ce que les crimes et les larcins se succèdent dans une vaste mascarade. Au milieu de tout cela, pourtant, une facilité à éliminer la vermine et à purger un quartier de ses maux qui suscite moins le débat qu’elle ne joue avec le feu, au risque de causer des incendies.
    Objectivons
    Objectivons

    315 abonnés 2 938 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2020
    Le concept est toujours le même mais je dois bien reconnaître que celui-ci est plus réussi que le précédent, étant beaucoup plus spectaculaire vu que cela finit par tourner à la scène de guerre...
    On notera que la logique disparaît parfois - mais c'est une donnée récurrente dans le cinéma américain - lorsqu'à un moment, une voiture en heurte une autre à vitesse réduite, et... je vous le donne en mille, l'autre explose...
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    178 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2020
    Charles Bronson alias Paul Kersey incarne une troisième fois le justicier en lutte avec les voyous américains.
    Le premier décryptait une situation sociale dans la ville de New-York , le deuxième était plus action dans la ville de Los Angeles , ce troisième opus revient du côté de la ville cosmopolite .

    Le réalisateur est toujours le même que les deux premiers (Michael Winner) et les producteurs golam / globus (cannon) remettent ça.

    Ils arrivent que des misères aux proches du héros ... vraiment pas de chance :-).

    Cannon avait déjà bien entamé le crédit du justicier avec le deuxième et il continue à pousser Paul Kersey bien loin de l’inspecteur Callahan , dans le monde des nanars.
    J ai peur pour le 4 et 5 ....

    Mais pour l’instant on reste sur le 3. Le justicier a affaire aux gangs des punks dans un New-York toujours proche du chaos.Et là papy justicier va sortir la grosse artillerie : bazooka , mitraillette , .... tout y passe, on est plus proche de commando ou de Chuck Norris que du thème « societal » du premier (arme à feu et insécurité).

    Les derniers films du grand Bronson sont des nanars dans le justicier à New York est le chef de file pas totalement dénué d intérêt . Les dernières quinze minutes sont limites parodiques faisant plus penser à un police academy qu un policier .
    vivaBFG
    vivaBFG

    13 abonnés 1 295 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2020
    Voilà une ode à l'autodéfense à l'américaine. Ici, les truands n'ont pas besoin d'être jugé, ils sont coupables, ils doivent mourir. Cela peut paraitre extrémiste, expéditif, et pourtant c'est le leitmotiv de ce film. Bon, pour un européen moyen, tel que moi, cela peut paraitre trop fort; mais si on parvient à mettre de côté toute notre culture républicaine, qu'on laisse tomber le tabou de la peine de mort, alors ce film est carrément jouissif. Ça castagne à mort, les méchants sont hyper méchants, le gentil a beaucoup souffert, et il est aidé par plein de gentils, qui souffrent également des méchants.
    Attention, les scènes de cascades ont mal vieillies et les fusillades encore pire. De plus tirer avec une mitrailleuse en la tenant par le canon parait complètement absurde. Mis à part cela, ce film reste regardable...en ne laissant que quelques neurones actifs. Les autres peuvent aller dormir.
    A voir par les amateurs de films d'action bien bourrin, des années 80.
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