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Contrairement aux apparences, la grandeur du cinéma des Farrelly s'impose de film en film, non au prix de la rupture ou du passage en force, mais d'une épure, d'une sensibilité et d'une douceur désormais parfaitement sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) ce qui sera déploré par certains (les Farrelly, mous de la gâchette et leur coeur de pierre tourné en guimauve) n'est que leur dessein originel, et Deux en un, film dans lequel les "infirmes" sont les humains les plus convaincants, représente leur plus bel accomplissement.
Moins scato mais plus drôle et touchant que d'habitude, Deux en un est de loin le meilleur film du duo car débarrassé des problèmes de rythme et d'unité dont souffraient les précédents.
La critique complète est disponible sur le site Première
Gags en série, filles accortes, et Cher en monstre (sacré) des studios : le regard noir des frères Farrelly dans toute son efficacité, mais transcendé par un Matt Damon (l'un des deux frères) qui donne aux cinéastes ce qui leur manquait jusqu'ici : la justesse.
De cette situation invraisemblable, les Farelly ont tiré une superbe histoire d'amour fraternel, pleine de gags toujours un peu limite, mais également " déchirante " (...)
Bobby et Peter Farrelly sont des experts es comédies (...) ils explorent avec drôlerie un thème cher à leur coeur : celui de la fratrie. C'est plein d'humour, de tendresse. Sans vulgarité.
En tant que figures cinématographiques, les siamois offrent un nouveau levier à ces deux joyeux réalisateurs iconoclastes pour tordre une fois de plus le cou aux idées reçues d'une société qui relègue à la marge tout ce qui excède les normes qu'elle a fixées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Deux en un s'étire parfois un peu lourdement. Mais comment en vouloir aux réalisateurs ? Les deux frères fous ont une idée à la seconde et Deux en un est, avec sa tendresse et son amertume qui courent tout au long de l'histoire, globalement irrésistible.
(...) les cinéastes sont en train de réussir leur passage à l'âge de raison. A leurs premiers faits d'armes, méchamment potaches (...) succèdent des comédies plus consensuelles en surface, mais toujours profondément insolites et identifiables avec, en plus, une tendresse dénuée de mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) le film ne sombre jamais dans la facilité de l'humour outrageant, voire méchant, un piège difficile à éviter compte tenu du sujet (...) Deux en un est loin d'être une succession de gags ininterrompus, il se révèle surtout une surprenante leçon sur la persévérance et la difficulté à vaincre les préjugés.
Avec Deux en un, les Farrelly se convertissent à la social-démocratie de la différence, au régressif sympa, continuant de proposer leurs anomalies à la sphère conventionnelle, mais n'insistant pas devant un refus.
Chronic'art.com
Contrairement aux apparences, la grandeur du cinéma des Farrelly s'impose de film en film, non au prix de la rupture ou du passage en force, mais d'une épure, d'une sensibilité et d'une douceur désormais parfaitement sublimes.
Les Inrockuptibles
De façon jubilatoire, les frères Farrelly réinventent le fantasme universel du double parfait.
Libération
(...) ce qui sera déploré par certains (les Farrelly, mous de la gâchette et leur coeur de pierre tourné en guimauve) n'est que leur dessein originel, et Deux en un, film dans lequel les "infirmes" sont les humains les plus convaincants, représente leur plus bel accomplissement.
Première
Moins scato mais plus drôle et touchant que d'habitude, Deux en un est de loin le meilleur film du duo car débarrassé des problèmes de rythme et d'unité dont souffraient les précédents.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Gags en série, filles accortes, et Cher en monstre (sacré) des studios : le regard noir des frères Farrelly dans toute son efficacité, mais transcendé par un Matt Damon (l'un des deux frères) qui donne aux cinéastes ce qui leur manquait jusqu'ici : la justesse.
L'Humanité
De cette situation invraisemblable, les Farelly ont tiré une superbe histoire d'amour fraternel, pleine de gags toujours un peu limite, mais également " déchirante " (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Bobby et Peter Farrelly sont des experts es comédies (...) ils explorent avec drôlerie un thème cher à leur coeur : celui de la fratrie. C'est plein d'humour, de tendresse. Sans vulgarité.
Le Monde
En tant que figures cinématographiques, les siamois offrent un nouveau levier à ces deux joyeux réalisateurs iconoclastes pour tordre une fois de plus le cou aux idées reçues d'une société qui relègue à la marge tout ce qui excède les normes qu'elle a fixées.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Deux en un s'étire parfois un peu lourdement. Mais comment en vouloir aux réalisateurs ? Les deux frères fous ont une idée à la seconde et Deux en un est, avec sa tendresse et son amertume qui courent tout au long de l'histoire, globalement irrésistible.
Télérama
(...) les cinéastes sont en train de réussir leur passage à l'âge de raison. A leurs premiers faits d'armes, méchamment potaches (...) succèdent des comédies plus consensuelles en surface, mais toujours profondément insolites et identifiables avec, en plus, une tendresse dénuée de mièvrerie.
aVoir-aLire.com
(...) le film ne sombre jamais dans la facilité de l'humour outrageant, voire méchant, un piège difficile à éviter compte tenu du sujet (...) Deux en un est loin d'être une succession de gags ininterrompus, il se révèle surtout une surprenante leçon sur la persévérance et la difficulté à vaincre les préjugés.
Cahiers du Cinéma
Avec Deux en un, les Farrelly se convertissent à la social-démocratie de la différence, au régressif sympa, continuant de proposer leurs anomalies à la sphère conventionnelle, mais n'insistant pas devant un refus.
Positif
Le message du film est le suivant : "C'est cool, d'être siamois ! "