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Rocky II : Le Retour de l’Étalon Bionique
Trois ans après son duel mythique avec Apollo Creed, voilà que notre bon vieux Rocky remet les gants. Rocky II, c’est comme si Gandalf revenait en mode “Vous ne passerez pas !” après la Balrog party. L’histoire reprend direct après le premier film, on a même droit à un replay pour ceux qui auraient dormi pendant le générique de fin. Zéro surprise, c’est du réchauffé, mais qu’est-ce que c’est bon quand même !
Cette fois-ci, c’est Stallone qui passe derrière la caméra. Résultat ? Une réalisation qui fait le job mais qui ne casse pas trois pattes à un canard mutant de Star Wars. Le gars assure, mais c’est pas du Scorsese, hein. Les persos, on les connaît par cœur, pas de nouveau boss à affronter, pas de sidekick surprise. C’est comme si on rejouait à Zelda sans nouvelles quêtes secondaires. Mais bon, retrouver la bande, c’est toujours un kiff.
Ah, la bande-son ! Elle est là, elle assure, elle déchire. Encore plus culte que la trilogie originale de Star Wars. Chaque note te file des frissons, même si t’as un cœur de Sith. C’est la B.O. qui te donne envie de monter des escaliers en courant et de crier “Adrian!” depuis le sommet de la galaxie.
Parlons du combat final. Ouais, c’est un peu too much, ça frôle le Super-Saiyan contre Freezer sur Namek. Les coups pleuvent comme dans un Mortal Kombat sous acide. Moins réaliste que les bastons de la WWE, mais bon, faut bien en mettre plein les yeux. Et malgré tout, ça marche. On est à fond, on y croit, on veut voir Rocky botter le cul d’Apollo encore une fois.
Ce volet, c’est aussi une plongée dans la vie de couple Rocky-Adrian. C’est du romantisme sauce Marvel, avec des moments de tendresse à la Hulk et Black Widow. Trop de banalités ? Peut-être. Mais ça rend Rocky tellement humain qu’on a envie de lui faire un hug, même si ça pue la sueur de boxeur.
Rocky II, c’est une bonne suite. Ça met les gants dans l’intimité de Rocky, montre son amour pour Adrian et balance des uppercuts de drame bien placés. Un film à voir absolument, surtout si t’as kiffé le premier. Alors, enfile tes gants, fais chauffer la B.O. et prépare-toi pour le round deux, ça va secouer sévère !
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Trois ans après son duel mythique avec Apollo Creed, voilà que notre bon vieux Rocky remet les gants. Rocky II, c’est comme si Gandalf revenait en mode “Vous ne passerez pas !” après la Balrog party. L’histoire reprend direct après le premier film, on a même droit à un replay pour ceux qui auraient dormi pendant le générique de fin. Zéro surprise, c’est du réchauffé, mais qu’est-ce que c’est bon quand même !
Cette fois-ci, c’est Stallone qui passe derrière la caméra. Résultat ? Une réalisation qui fait le job mais qui ne casse pas trois pattes à un canard mutant de Star Wars. Le gars assure, mais c’est pas du Scorsese, hein. Les persos, on les connaît par cœur, pas de nouveau boss à affronter, pas de sidekick surprise. C’est comme si on rejouait à Zelda sans nouvelles quêtes secondaires. Mais bon, retrouver la bande, c’est toujours un kiff.
Ah, la bande-son ! Elle est là, elle assure, elle déchire. Encore plus culte que la trilogie originale de Star Wars. Chaque note te file des frissons, même si t’as un cœur de Sith. C’est la B.O. qui te donne envie de monter des escaliers en courant et de crier “Adrian!” depuis le sommet de la galaxie.
Parlons du combat final. Ouais, c’est un peu too much, ça frôle le Super-Saiyan contre Freezer sur Namek. Les coups pleuvent comme dans un Mortal Kombat sous acide. Moins réaliste que les bastons de la WWE, mais bon, faut bien en mettre plein les yeux. Et malgré tout, ça marche. On est à fond, on y croit, on veut voir Rocky botter le cul d’Apollo encore une fois.
Ce volet, c’est aussi une plongée dans la vie de couple Rocky-Adrian. C’est du romantisme sauce Marvel, avec des moments de tendresse à la Hulk et Black Widow. Trop de banalités ? Peut-être. Mais ça rend Rocky tellement humain qu’on a envie de lui faire un hug, même si ça pue la sueur de boxeur.
Rocky II, c’est une bonne suite. Ça met les gants dans l’intimité de Rocky, montre son amour pour Adrian et balance des uppercuts de drame bien placés. Un film à voir absolument, surtout si t’as kiffé le premier. Alors, enfile tes gants, fais chauffer la B.O. et prépare-toi pour le round deux, ça va secouer sévère !
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Dans la parfaite lignée du 1er, Rocky 2 reprend les mêmes bases et propose une suite tout aussi bonne. La suite d'une saga mémorable.
La revanche tient ses promesses, le film est monté de la même façon que le premier, niveau rythme. l'histoire suit logiquement son cours et Stallone confirme que le rôle lui est taillé sur mesure. Le côté mafia est peu exploité ce qui est dommage. Vu le potentiel financier de Rocky on peut facilement imaginer la mafia vouloir tout contrôler et ainsi s'immiscer de force dans sa vie... Très bien dans l'ensemble.
Une très bonne suite (bien qu’un peu en deçà du premier film) qui se termine par un combat d’une violence inouïe. Le personnage du manager Mickey excellemment tenu par Burgess Meredith gagne en importance.
Deuxième volet de la saga Rocky, très bien réalisé, toujours le même casting incroyable, une fin très bonne même si on s'y attend.
Rocky II est un film qui voit Rocky devenir le champion du monde de boxe. Mais avant ce titre, on voit surtout l'Amour qui le lie à sa femme Adrian et que sans elle il e serait pas capable de réaliser ses exploits. L'ADN du film reste conservé et l'Amour entre Rocky et Adrian amène un plus à la saga qui prend une dimension plus profonde et toujours humaine. C'est ce qui fait le succès de la saga Rocky c'est sa proximité et son humanité qui le rend si proche et si touchant envers le spectateur. Film à voir.
Aujourd’hui, retour sur la mythique saga des Rocky (vu dans ma jeunesse mais dont il ne me reste que des souvenirs assez vagues et épars) avec Rocky II. J’ai trouvé le film intéressant car il approfondit la psychologie des personnages et principalement celle de Rocky. Alors évidemment, ça ne va pas chercher très loin mais on découvre l’Homme (et sa vie d’après boxe) plus que le boxeur, ce dernier ne faisant sa réapparition que dans l’ultime partie du film. Même si ce n’est pas du cinéma d’auteur, j’ai apprécié la sincérité avec laquelle Stallone approfondit son personnage et ne le résume pas uniquement à la boxe. Vient ensuite le combat final tant attendu. S’il s’avère spectaculaire, même encore aujourd’hui, il n’est toutefois absolument pas réaliste. Je ne suis pas spécialiste mais je ne pense pas qu’il faille l’être pour savoir qu’il est impossible de rester debout après avoir pris plus de 30 uppercuts en pleine tronche. Bref, passons, c’est du cinéma, c’est Hollywood et cela n’empêche pas le spectateur d’être happé par ce combat tant attendu. Ce Rocky II s’en sort donc plutôt bien et plus de 40 ans après sa sortie, il reste un bon divertissement. Beau travail Sly.
3,8 - dans la continuité du premier … Une leçon de courage et d’abnégation.
Le personnage fait face à des questions comme tout un chacun…
Le personnage fait face à des questions comme tout un chacun…
Tous simple une saga que j adore et le mot est faible vive rocky vive mr stallone 🥂🥂♥️♥️♥️🥳🥳🥳🥳🥳
Quel exploit ! La suite de Rocky réussit de faire un aussi bon film que le 1er. Un grand Sylvester Stallone qui est exceptionnel bien évidemment. Superbe réalisation aussi ! Bluffant ! Autre exploit du film qui reussit de nous rendre un combat plus intense que le 1er ! Tres bon film !
« Gagne Rocky, gagne ! »
"Rocky” (1976) et "Rocky II” (1979) forment ensemble une seule œuvre. Un fait qui devient d'autant plus évident lorsque l'on revoit l'intégralité de la saga plusieurs décennies après la sortie des films.
Sly met tout son cœur et son âme à écrire et à réaliser, lui-même, la suite des aventures de Rocky Balboa. Stallone n'interprète pas Rocky, il l'incarne ! Au point que cela devient une seconde nature. De plus, Sly a affirmé que Rocky était son "côté clair", tandis que Rambo était son "côté obscur".
En ajoutant la réalisation à l'écriture et à l’interprétation, Sylvester Stallone consolide son statut d'auteur oscarisé complet. Il développe l'histoire et les personnages avec toujours autant de sensibilité et de brio, multipliant les scènes et les répliques qui appartiennent désormais à l'histoire du septième art.
Le monde de la boxe, implicitement, est aussi métaphorique pour les luttes de la vie. Ici, les spoiler: difficultés économiques qui frappent les gens de bonne volonté, qui malgré tout, ne dévient jamais de leur éducation et de leurs valeurs de cœur et d'esprit
.
Ainsi, Adrian (Talia Shire) devient spoiler: l'exemple même de l'épouse aimante et attentionnée, car derrière chaque homme qui réussit, il y a une femme forte
.
Rejeté par spoiler: le monde du travail qui ne respecte pas les valeurs d'abnégation et de cœur de M. Balboa, Rocky n'a d'autre choix que de céder finalement aux pressions d'Apollon (Carl Weathers) pour le match de la revanche
.
C’est à ce moment que, suite au spoiler: stress provoqué par Paulie (Burt Young) et à un travail devenu trop dur pour une mère enceinte de plusieurs mois, Adrian est hospitalisée en urgence. Le bébé né prématurément est en bonne sante. Mais Adrian est tombée dans le coma
.
Rocky est sur le point de spoiler: tout abandonner pour ne plus être qu'avec sa femme à l'hôpital. Mais quand Adrienne se réveille de son coma, elle n'a qu'une chose à dire à son mari, devenu l'une des répliques les plus célèbres de la saga et de l'histoire du cinéma : « Gagne Rocky, gagne !
»
Après avoir spoiler: de nouveau résisté au tonnerre et aux éclairs d'Apollo jusqu'au bout, c'est en apprenant à boxer droitier et en réservant cette astuce pour le dernier round que Rocky devient champion du monde. Il dédie sa victoire à son adversaire, à son entraîneur Mickey (Burgess Meredith) et, surtout, à l'amour de sa femme qu'il aime plus que tout au monde et qui est sa source d'inspiration et de réussite dans la vie
.
5/5
"Rocky” (1976) et "Rocky II” (1979) forment ensemble une seule œuvre. Un fait qui devient d'autant plus évident lorsque l'on revoit l'intégralité de la saga plusieurs décennies après la sortie des films.
Sly met tout son cœur et son âme à écrire et à réaliser, lui-même, la suite des aventures de Rocky Balboa. Stallone n'interprète pas Rocky, il l'incarne ! Au point que cela devient une seconde nature. De plus, Sly a affirmé que Rocky était son "côté clair", tandis que Rambo était son "côté obscur".
En ajoutant la réalisation à l'écriture et à l’interprétation, Sylvester Stallone consolide son statut d'auteur oscarisé complet. Il développe l'histoire et les personnages avec toujours autant de sensibilité et de brio, multipliant les scènes et les répliques qui appartiennent désormais à l'histoire du septième art.
Le monde de la boxe, implicitement, est aussi métaphorique pour les luttes de la vie. Ici, les spoiler: difficultés économiques qui frappent les gens de bonne volonté, qui malgré tout, ne dévient jamais de leur éducation et de leurs valeurs de cœur et d'esprit
.
Ainsi, Adrian (Talia Shire) devient spoiler: l'exemple même de l'épouse aimante et attentionnée, car derrière chaque homme qui réussit, il y a une femme forte
.
Rejeté par spoiler: le monde du travail qui ne respecte pas les valeurs d'abnégation et de cœur de M. Balboa, Rocky n'a d'autre choix que de céder finalement aux pressions d'Apollon (Carl Weathers) pour le match de la revanche
.
C’est à ce moment que, suite au spoiler: stress provoqué par Paulie (Burt Young) et à un travail devenu trop dur pour une mère enceinte de plusieurs mois, Adrian est hospitalisée en urgence. Le bébé né prématurément est en bonne sante. Mais Adrian est tombée dans le coma
.
Rocky est sur le point de spoiler: tout abandonner pour ne plus être qu'avec sa femme à l'hôpital. Mais quand Adrienne se réveille de son coma, elle n'a qu'une chose à dire à son mari, devenu l'une des répliques les plus célèbres de la saga et de l'histoire du cinéma : « Gagne Rocky, gagne !
»
Après avoir spoiler: de nouveau résisté au tonnerre et aux éclairs d'Apollo jusqu'au bout, c'est en apprenant à boxer droitier et en réservant cette astuce pour le dernier round que Rocky devient champion du monde. Il dédie sa victoire à son adversaire, à son entraîneur Mickey (Burgess Meredith) et, surtout, à l'amour de sa femme qu'il aime plus que tout au monde et qui est sa source d'inspiration et de réussite dans la vie
.
5/5
Après l'excellent premier volet il était difficile de venir derrière pour faire une suite. Et pourtant ce Rocky II est une perle ! Le parcours de Rocky et d'Apollo Creed sont (en plus d'être réalistes) passionnants à suivre entre d'un côté le riche champion avec sa soif de revanche et de l'autre le vaincu merveilleux et pieux Rocky Balboa. Comme pour le premier volet j'ai fortement apprécié le message véhiculé par le film (culte de l'effort, victoire de la modestie sur l'arrogance, mise en valeur de la simplicité sur le luxe). Ce Rocky II arrive bien à se démarquer de son prédécesseur en filmant davantage le combat final et en donnant plus de place à l'adversaire de Rocky, ce qui permet de mieux comprendre ses motivations. Je recommande chaudement !
mon rocky préféré perso j'adore j'ai vraiment kiffé le scénario est vraiment bien et la musique ! juste un chef d'œuvre ce film
Stallone passe cette fois à la réalisation de ce deuxième opus de la saga Rocky. Il est encore un bon film, divertissant et intéressant sur ces thématiques (difficile réinsertion professionnelle des sportifs de haut niveau, séquelles physiques et soucis économiques, la médiatisation...). Le combat final est quasiment aussi stimulant que le premier et la BO vraiment intéressante.
Le problème c'est que Stallone le réalisateur n'est pas hyper original et Stallone le scénariste se répète déjà dans ce deuxième film sur bien des aspects. Méfiance pour le troisième.
Le problème c'est que Stallone le réalisateur n'est pas hyper original et Stallone le scénariste se répète déjà dans ce deuxième film sur bien des aspects. Méfiance pour le troisième.
"Il n'y aura pas de revanche" disait-il
Une très bonne suite où Rocky reste lui même, un homme dont la vie a complètement changée et pour qui les priorités sont toujours de l'ordre familial et affectif plutôt que la recherche de la gloire en décalage avec ses principes.
C'est super de voir le dilemme qui perturbe Rocky à l'idée d'offrir à Apollo Creed une revanche contre l'avis de sa femme.
Ce 2ème opus est une excellente leçon de vie et un super divertissement.
Une très bonne suite où Rocky reste lui même, un homme dont la vie a complètement changée et pour qui les priorités sont toujours de l'ordre familial et affectif plutôt que la recherche de la gloire en décalage avec ses principes.
C'est super de voir le dilemme qui perturbe Rocky à l'idée d'offrir à Apollo Creed une revanche contre l'avis de sa femme.
Ce 2ème opus est une excellente leçon de vie et un super divertissement.
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