Note moyenne
2,2
17 titres de presse
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Fluctuat.net
Succédant au claustro, mais pas complètement réussi Cube de Vincenzo Natali, Cube 2: Hypercube conserve le décors unique et le concept initial de son modèle, mais hisse l'angoisse un cran au-dessus, grâce à des acteurs autrement plus convaincants et un final original.
Télérama
Ce second opus réalisé par une équipe totalement différente (...) est nettement plus déroutant, car il superpose cette fois à la logique basique du thriller (comment sortir du dédale high-tech ?) tout un pan conceptuel et plastique, mariage heureux de la physique et du design.
Aden
Cette suite (en fait, remake inavoué et bas de gamme) ne fait qu'y ajouter des effets spéciaux grotesques et une tentative d'explication finale foireuse. Pour ne rien arranger, les acteurs sont (hyper)mauvais. Raté2.
Cahiers du Cinéma
La pluie de question anecdotiques qu'un tel film ne manque pas de faire tomber (où les personnages vont-ils satisfaire leurs besoins?) (...) vire au mauvais trip.
Chronic'art.com
Hilarant et pathétique, le film multiplie les aberrations surréalistes, chevauchant une multitude de théories métaphysico-nébuleuses traversées par des épanchements cheap et gore à peine plus impressionnants qu'une tête à toto en pâte à modeler.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Au-delà du dispositif, certes insolite, (...) la partie narrative est à la traîne, assimilant le compagnonnage entre ces inconnus à une relation carcérale, génératrice de psychodrames attendus.
Le Figaroscope
Un cauchemar géométrique.
Le Monde
Entre longues scènes dialoguées et trucages gore, cette suite d'un petit film d'horreur "à concept" (Cube, de Vincenzo Natali) semble concilier les méditations d'une caricature d'un antique théâtre de l'absurde et les conventions d'une série Z de science-fiction.
Les Inrockuptibles
Bête psychodrame dans la quatrième dimension
MCinéma.com
Sans l'originalité, ni le charme artisanal de ce premier volet, Cube2 Hypercube manque cruellement de rythme et d'idées.
Mad Movies
Cube 2 se voudrait intelligent à étaler sa science ; il n'est que fumeux, incompréhensible et pédant.
Novaplanet.com
Cube 2 permet de comprendre la nécessité d'un bon réalisateur.
Obejctif-Cinema.com
Pour tenter de nous faire passer la pilule, les acteurs se débrouillent comme ils peuvent avec des dialogues ineptes, au jargon abscons.
Première
Un cas d'école de la suite inutile, qui ne se contente pas d'exploiter le concept de l'original mais le décline de manière parfaitement grotesque.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) Cette suite devient une espèce de Loft spatial où des comédiens atroces de crêpent le chignon sur fond d'hystérie collective et d'effets spéciaux qu'on jurerait arrachés au disque dur d'un très vieil ordinateur.