Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Humanité
par Michel Guilloux
Si Rochefort-Manesquier semble au début " faire " du Rochefort, en habitué des films de Leconte, le tournage dans l'ordre chronologique finit par faire oublier ce léger agacement, tant les deux acteurs trouvent leurs marques. (...) Film d'"acteurs" de prime abord, "L'Homme du train" traîne aussi comme la nostalgie d'un cinéma hier populaire, aujourd'hui impossible et, en cela et de par ce parfum délétère qui l'imprègne, semble chez Leconte plus personnel qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) une de ces fantaisies poétiques délicieuses dont Patrice Leconte a le secret. (...) Leconte, Hallyday, Rochefort : un trio parfaitement accordé pour une petite musique de chambre mélancolique et drôle. On s'y laisse aller avec bonheur.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Certaines situations sont impayables : Rochefort qui s'entraîne au tir, Johnny qui essaie des pantoufles... Au final, L'Homme du train séduit aussi par cette capacité à déplacer le centre de gravité des idées reçues sur les truands et les honnêtes gens. Malgré une fin plus molle, c'est sans conteste l'un des meilleurs films de Leconte.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Dommage que le réalisateur n'ait pas su éviter une fin trop flamboyante, trop appuyée. Mais ce n'est que péché véniel : avec ses dialogues aussi ciselés qu'économes, aux aphorismes discrètement ironiques, et, surtout, avec ses deux interprètes miraculeux, Rochefort le suave, délicieux de distinction ironique et d'attendrissante nostalgie, et Hallyday, d'abord sauvage, muré en lui-même, puis s'ouvrant peu à peu comme un gosse à des bonheurs tout simples jusqu'alors ignorés, et crevant l'écran d'une lassitude humaine presque bouleversante, cet " Homme du train " est un petit bijou.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Ajoutez à toutes ces excellentes raisons de courir voir cet HOMME DU TRAIN une mise en scène en adéquation parfaite avec son sujet, un traitement de l'image, du son et de la musique extrêmement original, et vous obtenez une des plus belles surprises de cet automne. Un film en état de grâce. A recommander à ses meilleurs amis.
Télérama
par Marine Landrot
Patrice Leconte offre un simple messieurs épatant, tout en piques verbales et transmissions de pensées rieuses. Le voyage vaut le coup. Gaillardement confortable, délicieusement démodé, L'Homme du train est un film-charentaise dans lequel on traîne volontiers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
Reste à dire que Johnny Hallyday tient fort bien la distance de son rôle et que Jean Rochefort est tout à fait savoureux.
Cine Libre
par François Doisnel
En trois jours, tout semble pouvoir arriver. Le pire comme le meilleur. Leconte choisit de ne pas trancher, laisse place aux deux. La conclusion s'estompe au profit d'une rencontre. Inattendue, simple, mais qui change tout.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Face à cette débauche de moyens, de techniques d'acteur, Johnny Hallyday n'a plus qu'à se taire, ce qu'il fait avec superbe. Impassible, laconique, il envahit l'écran de sa présence, parvient à faire croire qu'il a des univers entiers à cacher. Et face à ce mystère, ses partenaires (...) trouvent une vie que le scénario bien ficelé et les dialogues bien envoyés ne suffisaient pas à garantir. Une heure durant, ce système fonctionne à merveille, jusqu'à ce qu'un interminable épilogue vienne dissiper ce charme ténu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles Renault
Patrice Leconte tient là un beau sujet (d'après un scénario de Claude Klotz). Très proche, dans l'esprit, de Tandem (avec Rochefort et Jugnot), l'Homme du train procède du récit intimiste, tour à tour saugrenu et pathétique, qui fouit des existences foirées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Schaller
L'Homme du train, c'est un peu "L'Homme sans nom à Maubeuge" ou "Le retraité, le village et le truand". Le concept fournit les meilleures idées du film. (...) Seulement voilà. Certaines scènes laissent l'impression que le réalisateur, confiant dans l'efficacité de son script et dans la rencontre Johnny-Rochefort, s'est contenté de les mettre en images sans vraiment parvenir à leur donner vie. En clair, ça sent un peu trop le procédé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Hors du temps, "L'homme du train" se termine sur une fin à l'onirisme surprenant et vaut surtout par son casting. Rochefort et Hallyday forment un tandem chic et choc, efficace et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
On prend plaisir à voir deux personnages aussi antinomiques s'apprivoiser peu à peu, pour renaître à la vie sous l'influence de l'autre... Maginifiquement servi par son interprétation, le Leconte nouveau est un bon cru.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Exit l'effet de surprise inhérent à l'effarante bêtise des précédents films, place à une fluidité, un roucoulement paisible des images lecontiennes -ici chichiteuses, là empaillées, toujours un peu creuses. Ce qu'on retiendra du film, c'est justement cette nouvelle manière de faire passer la vacuité de son cinéma : non plus par l'esbroufe bariolée, plutôt par une espèce d'harmonie molle et sans enjeu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Sans aller jusqu'au bout de sa démonstration et en pirouettant hélas dans son final, Patrice Leconte limite un peu la portée de son film et diminue un peu notre bonheur de spectateur, mais bon, ne boudons pas trop le reste de notre plaisir...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On va finir par se répéter, mais par son physique, son port, sa gueule parcheminée, ses silences, sa minéralité, Johnny Hallyday est à la fois un grand acteur américain et et un grand acteur moderne (pléonasme ?). Il est le seul qui intrigue et accroche l'attention dans ce film aussi vivant et animé que le musée Grévin.
Première
par Nicolas Schaller
En clair, ça sent un peu trop le procédé (...) et l'on vient à se demander si la boulimie de travail dont Leconte fait preuve depuis quelques années ne serait pas préjudiciable à la qualité de ses films.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Ne cherchez pas pourquoi ils vont passer quelques jours ensemble. Leur lassitude, leur solitude doivent nous suffire pour croire qu'ils sont bien l'un avec l'autre. Ainsi en a décidé la production, qui fournit au public et à la critique, clefs en mains, un nouveau produit estampillé "qualité française".
L'Humanité
Si Rochefort-Manesquier semble au début " faire " du Rochefort, en habitué des films de Leconte, le tournage dans l'ordre chronologique finit par faire oublier ce léger agacement, tant les deux acteurs trouvent leurs marques. (...) Film d'"acteurs" de prime abord, "L'Homme du train" traîne aussi comme la nostalgie d'un cinéma hier populaire, aujourd'hui impossible et, en cela et de par ce parfum délétère qui l'imprègne, semble chez Leconte plus personnel qu'il n'y paraît.
Le Figaroscope
(...) une de ces fantaisies poétiques délicieuses dont Patrice Leconte a le secret. (...) Leconte, Hallyday, Rochefort : un trio parfaitement accordé pour une petite musique de chambre mélancolique et drôle. On s'y laisse aller avec bonheur.
Le Parisien
Certaines situations sont impayables : Rochefort qui s'entraîne au tir, Johnny qui essaie des pantoufles... Au final, L'Homme du train séduit aussi par cette capacité à déplacer le centre de gravité des idées reçues sur les truands et les honnêtes gens. Malgré une fin plus molle, c'est sans conteste l'un des meilleurs films de Leconte.
Les Echos
Dommage que le réalisateur n'ait pas su éviter une fin trop flamboyante, trop appuyée. Mais ce n'est que péché véniel : avec ses dialogues aussi ciselés qu'économes, aux aphorismes discrètement ironiques, et, surtout, avec ses deux interprètes miraculeux, Rochefort le suave, délicieux de distinction ironique et d'attendrissante nostalgie, et Hallyday, d'abord sauvage, muré en lui-même, puis s'ouvrant peu à peu comme un gosse à des bonheurs tout simples jusqu'alors ignorés, et crevant l'écran d'une lassitude humaine presque bouleversante, cet " Homme du train " est un petit bijou.
MCinéma.com
Ajoutez à toutes ces excellentes raisons de courir voir cet HOMME DU TRAIN une mise en scène en adéquation parfaite avec son sujet, un traitement de l'image, du son et de la musique extrêmement original, et vous obtenez une des plus belles surprises de cet automne. Un film en état de grâce. A recommander à ses meilleurs amis.
Télérama
Patrice Leconte offre un simple messieurs épatant, tout en piques verbales et transmissions de pensées rieuses. Le voyage vaut le coup. Gaillardement confortable, délicieusement démodé, L'Homme du train est un film-charentaise dans lequel on traîne volontiers.
Cahiers du Cinéma
Reste à dire que Johnny Hallyday tient fort bien la distance de son rôle et que Jean Rochefort est tout à fait savoureux.
Cine Libre
En trois jours, tout semble pouvoir arriver. Le pire comme le meilleur. Leconte choisit de ne pas trancher, laisse place aux deux. La conclusion s'estompe au profit d'une rencontre. Inattendue, simple, mais qui change tout.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Face à cette débauche de moyens, de techniques d'acteur, Johnny Hallyday n'a plus qu'à se taire, ce qu'il fait avec superbe. Impassible, laconique, il envahit l'écran de sa présence, parvient à faire croire qu'il a des univers entiers à cacher. Et face à ce mystère, ses partenaires (...) trouvent une vie que le scénario bien ficelé et les dialogues bien envoyés ne suffisaient pas à garantir. Une heure durant, ce système fonctionne à merveille, jusqu'à ce qu'un interminable épilogue vienne dissiper ce charme ténu.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Patrice Leconte tient là un beau sujet (d'après un scénario de Claude Klotz). Très proche, dans l'esprit, de Tandem (avec Rochefort et Jugnot), l'Homme du train procède du récit intimiste, tour à tour saugrenu et pathétique, qui fouit des existences foirées.
Première
L'Homme du train, c'est un peu "L'Homme sans nom à Maubeuge" ou "Le retraité, le village et le truand". Le concept fournit les meilleures idées du film. (...) Seulement voilà. Certaines scènes laissent l'impression que le réalisateur, confiant dans l'efficacité de son script et dans la rencontre Johnny-Rochefort, s'est contenté de les mettre en images sans vraiment parvenir à leur donner vie. En clair, ça sent un peu trop le procédé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Hors du temps, "L'homme du train" se termine sur une fin à l'onirisme surprenant et vaut surtout par son casting. Rochefort et Hallyday forment un tandem chic et choc, efficace et émouvant.
Zurban
On prend plaisir à voir deux personnages aussi antinomiques s'apprivoiser peu à peu, pour renaître à la vie sous l'influence de l'autre... Maginifiquement servi par son interprétation, le Leconte nouveau est un bon cru.
Chronic'art.com
Exit l'effet de surprise inhérent à l'effarante bêtise des précédents films, place à une fluidité, un roucoulement paisible des images lecontiennes -ici chichiteuses, là empaillées, toujours un peu creuses. Ce qu'on retiendra du film, c'est justement cette nouvelle manière de faire passer la vacuité de son cinéma : non plus par l'esbroufe bariolée, plutôt par une espèce d'harmonie molle et sans enjeu.
Cinopsis.com
Sans aller jusqu'au bout de sa démonstration et en pirouettant hélas dans son final, Patrice Leconte limite un peu la portée de son film et diminue un peu notre bonheur de spectateur, mais bon, ne boudons pas trop le reste de notre plaisir...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
On va finir par se répéter, mais par son physique, son port, sa gueule parcheminée, ses silences, sa minéralité, Johnny Hallyday est à la fois un grand acteur américain et et un grand acteur moderne (pléonasme ?). Il est le seul qui intrigue et accroche l'attention dans ce film aussi vivant et animé que le musée Grévin.
Première
En clair, ça sent un peu trop le procédé (...) et l'on vient à se demander si la boulimie de travail dont Leconte fait preuve depuis quelques années ne serait pas préjudiciable à la qualité de ses films.
Aden
Ne cherchez pas pourquoi ils vont passer quelques jours ensemble. Leur lassitude, leur solitude doivent nous suffire pour croire qu'ils sont bien l'un avec l'autre. Ainsi en a décidé la production, qui fournit au public et à la critique, clefs en mains, un nouveau produit estampillé "qualité française".