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Le film de Bonitzer est nourri par ses dialogues ; ce qui, d'une manière générale, sort ou est agi par la bouche articule le film et en élabore le réel.
La force du film tient donc avant tout dans le trouble irradiant de Kristin Scott Thomas, qui porte jusque dans son accent toute la part de fascination comprise dans le film. A côté d'elle, Auteuil poursuit assez joliment son parcours de séducteur has-been, en beaucoup mieux que Thierry Lhermitte et dans la droite lignée de Mauvaise passe.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ces ruptures de ton (non soulignées à gros traits) font le prix du film. La surprise aussi car, si l'on connaissait bien la finesse d'agencement des scénarios de Bonitzer entre autres pour Rivette, on n'attendait pas du réalisateur qu'il est devenu ce souci de l'arrière-plan, au vu de ses deux premiers longs métrages sur des personnages de velléitaires observés d'un peu loin, plus comme objets de curiosité que comme humains à écouter.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Mis en coupe réglée par un scénario d'une méticuleuse cruauté, renonçant à tout appel d'air, Petites coupures est la plus noire des chimères enfantées à ce jour par le doux Pascal Bonitzer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Non, vous ne devinez pas la suite. Pascal Bonitzer ne cesse de prendre, machiavéliquement, des chemins de traverse. Trop ? Peut-être... Mais on s'y engage toujours avec plaisir, car les surprises y sont nombreuses, les dialogues toujours spirituels et les interprètes séduisants : outre tous ceux déjà cités, Pascal Bonitzer met sur la route de son Bruno en marche dans le brouillard vers la solitude une fée-sorcière de très grand charme, Kristin Scott-Thomas.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Bruno a l'amour aux trousses, et Bonitzer le perche avec un vrai talent d'équilibriste entre la fuite et la découverte, l'accident et le rétablissement, sur le fil d'un rasoir dont les petites coupures sont aussi tranchantes qu'excitantes.
On notera, en plus du remarquable travail d'écriture, les prestations particulières et étonnantes de Ludivine Sagnier, Emmanuelle Devos, et Kristin Scott-Thomas, amoureuses transies devant cet homme détestable à l'apparence inhumaine...mais vulnérable.
Entre La Divine Comédie de Dante et les zones sombres du fantastique, Pascal Bonitzer signe un vaudeville lacanien - ce qui peut dérouter - où plane l'ombre du After Hours de Martin Scorsese.
La critique complète est disponible sur le site Première
Il y a de l'artificier, du truqueur chez Bonitzer. Et un je-ne-sais-quoi d'asphyxiant dans ce festival programmé de cruautés, de dérobades, de frustrations. Mais le film ne se laisse pas réduire pour autant à une brillante et cynique construction. Bruno étant le double probable de Bonitzer, on mesure à la dureté des répliques que le personnage encaisse le masochisme de l'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les acteurs ne sont pourtant pas non plus à remettre en cause. K. Scott Thomas, mystérieuse et vénéneuse, est excellente et Auteuil égal à lui-même... Cependant, c'est peut-être la somme de ces "grands" (acteurs, décors, multiplicité des pistes), en contradiction avec un traitement minimaliste et une absence d'orientation affirmée, qui amène ce sentiment de déséquilibre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
La scène d'ouverture du troisième film de Pascal Bonitzer distille une ironie digne de ses maîtres Lubitsch et Wilder. La suite est malheureusement plus conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les désarrois de ce grand tout mou tournent en rond et le film avec eux. Par manque de rythme, et de fond, cette histoire toujours recommencée d'un quinquagénaire indécis lasse. C'est fatigant, l'amour flou.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ajoutons à cela des figures secondaires tout juste esquissées comme les personnages joués par des acteurs pourtant formidables, Catherine Mouchet, Pascale Bussières ou Jean Yanne. Au final, ces PETITES COUPURES, superficielles et bavardes ne laisseront pas des traces très profondes. Dommage !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Cahiers du Cinéma
Le film de Bonitzer est nourri par ses dialogues ; ce qui, d'une manière générale, sort ou est agi par la bouche articule le film et en élabore le réel.
Chronic'art.com
La force du film tient donc avant tout dans le trouble irradiant de Kristin Scott Thomas, qui porte jusque dans son accent toute la part de fascination comprise dans le film. A côté d'elle, Auteuil poursuit assez joliment son parcours de séducteur has-been, en beaucoup mieux que Thierry Lhermitte et dans la droite lignée de Mauvaise passe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ces ruptures de ton (non soulignées à gros traits) font le prix du film. La surprise aussi car, si l'on connaissait bien la finesse d'agencement des scénarios de Bonitzer entre autres pour Rivette, on n'attendait pas du réalisateur qu'il est devenu ce souci de l'arrière-plan, au vu de ses deux premiers longs métrages sur des personnages de velléitaires observés d'un peu loin, plus comme objets de curiosité que comme humains à écouter.
Le Figaroscope
Des dialogues très écrits, qui rebondissent, percutants, parfois cruels.
Le Monde
Mis en coupe réglée par un scénario d'une méticuleuse cruauté, renonçant à tout appel d'air, Petites coupures est la plus noire des chimères enfantées à ce jour par le doux Pascal Bonitzer.
Le Parisien
Si c'était une partition, ce serait du clavecin. Les interprètes y font preuve d'une délicatesse parfois coupantes.
Les Echos
Non, vous ne devinez pas la suite. Pascal Bonitzer ne cesse de prendre, machiavéliquement, des chemins de traverse. Trop ? Peut-être... Mais on s'y engage toujours avec plaisir, car les surprises y sont nombreuses, les dialogues toujours spirituels et les interprètes séduisants : outre tous ceux déjà cités, Pascal Bonitzer met sur la route de son Bruno en marche dans le brouillard vers la solitude une fée-sorcière de très grand charme, Kristin Scott-Thomas.
Les Inrockuptibles
Bruno a l'amour aux trousses, et Bonitzer le perche avec un vrai talent d'équilibriste entre la fuite et la découverte, l'accident et le rétablissement, sur le fil d'un rasoir dont les petites coupures sont aussi tranchantes qu'excitantes.
MCinéma.com
On notera, en plus du remarquable travail d'écriture, les prestations particulières et étonnantes de Ludivine Sagnier, Emmanuelle Devos, et Kristin Scott-Thomas, amoureuses transies devant cet homme détestable à l'apparence inhumaine...mais vulnérable.
Première
Entre La Divine Comédie de Dante et les zones sombres du fantastique, Pascal Bonitzer signe un vaudeville lacanien - ce qui peut dérouter - où plane l'ombre du After Hours de Martin Scorsese.
Télérama
Il y a de l'artificier, du truqueur chez Bonitzer. Et un je-ne-sais-quoi d'asphyxiant dans ce festival programmé de cruautés, de dérobades, de frustrations. Mais le film ne se laisse pas réduire pour autant à une brillante et cynique construction. Bruno étant le double probable de Bonitzer, on mesure à la dureté des répliques que le personnage encaisse le masochisme de l'auteur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Les acteurs ne sont pourtant pas non plus à remettre en cause. K. Scott Thomas, mystérieuse et vénéneuse, est excellente et Auteuil égal à lui-même... Cependant, c'est peut-être la somme de ces "grands" (acteurs, décors, multiplicité des pistes), en contradiction avec un traitement minimaliste et une absence d'orientation affirmée, qui amène ce sentiment de déséquilibre.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Obejctif-Cinema.com
Tardivement, la glace de Petites coupures se brise, assaini enfin, en dévoilant le simulacre simulé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La scène d'ouverture du troisième film de Pascal Bonitzer distille une ironie digne de ses maîtres Lubitsch et Wilder. La suite est malheureusement plus conventionnelle.
Aden
Les désarrois de ce grand tout mou tournent en rond et le film avec eux. Par manque de rythme, et de fond, cette histoire toujours recommencée d'un quinquagénaire indécis lasse. C'est fatigant, l'amour flou.
MCinéma.com
Ajoutons à cela des figures secondaires tout juste esquissées comme les personnages joués par des acteurs pourtant formidables, Catherine Mouchet, Pascale Bussières ou Jean Yanne. Au final, ces PETITES COUPURES, superficielles et bavardes ne laisseront pas des traces très profondes. Dommage !