Piège de Cristal : La Saga du Baldinator
Ce film, c'est l'apogée de la badasserie cinématographique. Ça démarre comme une soirée tranquille de fin d'année, mais au lieu des cookies et du vin chaud, on se tape un débarquement de teignes armées jusqu'aux dents. John McClane, le flic de NYC, se retrouve dans une position plus délicate qu'un chaton sur un champ de bataille. Mais bon, si ça se passait comme prévu, on aurait juste un court-métrage, pas une légende.
Le suspense monte plus vite que le compte de vues sur une vidéo de chat se prenant un mur. McClane, c'est pas Superman en collants, c'est un type normal, avec des pieds en feu et des caleçons pas très frais. On le voit galérer, on se dit "Merde, ça aurait pu être moi, si j'avais les couilles et les muscles." Et là, le villain, Hans Gruber, joué par Alan Rickman, fait un mélange entre un génie maléfique et un mec qui s'apprête à commander le dernier cheesecake.
Les punchlines, c'est comme les munitions, y en a jamais assez. Mais ici, on a une rafale de réparties plus tranchantes qu'une épée laser Jedi. On rit, on frissonne, et on se dit que si on était coincé dans un gratte-ciel avec John McClane, on lui offrirait bien une binouze après le massacre.
Ce film, c'est comme le Guiness World Records des films d'action. Bruce Willis et sa calvitie naissante nous prouvent qu'on peut être chauve et quand même plus cool que le côté obscur de la Force. Alors que d'autres essaient de reproduire l'expérience, on se rend compte que c'est comme essayer de refaire le Big Bang dans une casserole. Ça explose pas pareil.
Alors, si t'as pas encore vu "Piège de Cristal", t'as raté un morceau d'Histoire plus important que le premier pas sur la Lune. Ça te met dans une ambiance de Noël version Rambo, avec plus de testostérone que dans un match de sumo en enfer. Et si ça te dit rien, bah t'es probablement un alien ou un mec vivant dans une grotte depuis 30 ans. Yippee ki-yay, motherf*cker!
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