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    Quelques jours avec moi
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    54 critiques spectateurs

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    danivero
    danivero

    7 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 novembre 2022
    de bons acteurs, un scénario original au départ qui devient très commun ensuite. un happy end classique sans surprise
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 618 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2021
    En tant que divertissement accessoire il n'a que du charme mais peu de profondeur ou d'ambition et il est tout aussi facile de l'apprécier que de l'ignorer. Le film bénéficie des talents combinés de ses deux stars photogéniques. Auteuil qui joue le rôle d'un héritier riche mais désintéressé d'un royaume de supermarché qui dérive dans la vie sans se soucier de sa fortune ou de son statut social élevé jusqu'à ce qu'il rencontre la demoiselle Sandrine Bonnaire. Avec une nonchalance typique il lui offre tout ce qu'elle peut demander y compris sa liberté et comme elle est française elle accepte tout cela avec un haussement d'épaules fataliste. Parce qu'il change de rythme et de direction avec une telle insouciance Quelques jours avec moi n'est pas facile à cataloguer car il est difficile de comprendre une histoire avec une telle attitude désinvolte envers l'amour et la vie...
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    121 abonnés 2 302 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 avril 2021
    "Quelques jours avec moi" comédie dramatique française inspirée du roman de Jean-François Josselin publié en 1979.
    Film français réalisé par Claude Sautet, sorti en 1988. Un excellent film, avec une très bonne distribution, Daniel Auteuil, dans un rôle machiavélique, Sandrine Bonnaire, Jean-Pierre Marielle, Dominique Lavanant, Danielle Darrieux et Vincent Lindon.
    Un scénario puissant, de grands acteurs, une réalisation de bonne qualité, musique d'Alain Sarde.
    "Quelques jours avec moi" est le film qui fait passer Daniel Auteuil des rôles comiques à un rôle plus grave. Une satire sociale, une romance, du bon cinéma français. Un plaisir de revoir un film de Claude Sautet.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    954 abonnés 4 883 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2020
    Un film au ton nostalgique. Sous le thème de l'espoir, du rêve même mais aussi du mirage, de la déception glauque. Il y a du Chabrol de la province ici. Même pour la musique épaisse. Mais on ne peut pas en vouloir à SB qui essaie d'échapper à ce qu'elles ne veut pas avoir.
    Claude DL
    Claude DL

    81 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2020
    Ce film, que j’avais vu il y longtemps, a un peu vieilli, notamment à cause de quelques scènes un poil caricaturales qu’on ne verrait plus aujourd’hui. Néanmoins, on est séduit par le scénario qui se déroule avec une grande fluidité, les acteurs (irrésistible Jean Pierre Marielle en directeur d’hypermarché de province, couard à souhait et excellent Daniel Auteuil, en sombre introverti étranger à son milieu d’origine), les actrices , avec les lumineuses Sandrine Bonnaire et, dans un plus petit rôle, Elisa Servier. J’apprécie aussi la pudeur, où le récit de Claude Sautet n’est jamais émaillé de scènes graveleuses. Bref un bon, voire très bon film qui fait un peu regretter une époque où l’histoire prédominait toujours sur tout le reste.
    Alain D.
    Alain D.

    515 abonnés 3 218 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2020
    Mise en scène sans faille par Claude Sautet, cette Comédie dramatique nous offre une belle histoire et des dialogues ne manquant pas de subtilité. Le scénario, plein d'inattendus, nous offre une tès belle intrigue. Il met en scène un bel ensemble de personnages hauts en couleurs et superbement interprétés. Sandrine Bonnaire pétillante, réalise une très belle prestation d'actrice. Le casting offre un joli second rôle à l'excellent Jean-Pierre Marielle ; quand au premier rôle du beau ténébreux, il est parfaitement assuré par le remarquable Daniel Auteuil.
    pierrre s.
    pierrre s.

    370 abonnés 3 245 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2020
    Drôle, cynique et émouvant, le drame de Claude Sautet mélange les genres et marie très bien les émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 octobre 2019
    Un film moins connu et assez surprenant de claude sautet, avec une brochette d'excellents acteurs, la lumineuse Sandrine Bonnaire, en charmante employée de maison, son gentil amoureux Vincent Lindon, un peu paumé, un Daniel Auteuil en riche introverti, un peu manipulateur qui tombe également sous le charme de Sandrine, et qui finit par passer "quelques jours" avec elle, dans la bonne ville de Limoges, où il est allé inspecter les comptes de sa succursale, missionné par sa mère, la délicieuse Danière Darrieux; enfin Jean-Pierre Marielle qui avec Dominique Lavanant campe un couple de bourgeois un peu bêtes, mais désarmant de naïveté et finalement plein d'humanité.
    Ce film n'a pas pris une ride et le découvrir en dvd en 2019 est vraiment une surprise agréable. Comme ces acteurs avaient du talent !
    Vincent B.
    Vincent B.

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2018
    En 1983, l'acteur Coluche surpris le public avec un film grave, Tchao Pantin dans lequel il apparaissait sous les traits d'un pompiste alcoolique et dépressif. Ce film lui valût le césar du meilleur acteur.
    C'est depuis devenu une expression dans la profession : quand un acteur comique se lance dans un film dramatique on dit "il fait son Tchao Pantin".
    Daniel Auteuil fit son Tchao Pantin en 1986 avec "Jean de Florette" qui lui valût son premier César, mais je le trouve plus touchant dans ce merveilleux film de Claude Sautet tourné en 1988 avec un casting magnifique.
    Une interprétation toute en retenue pour un personnage qui retrouve le goût de la vie avec la jolie Francine incarnée par une Sandrine Bonnaire de 20 ans.
    J'aime aussi beaucoup le couple de bourgeois de province incarné par Dominique Lavanant et Jean-Pierre Marielle. Sans oublier un festival de personnages secondaires parmi lesquels Danièle Darrieux, Vincent Lindon ou Dominique Blanc.
    Ghighi19
    Ghighi19

    54 abonnés 1 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2018
    Un très bon Claude Sautet . Daniel Auteuil et Sandrine Bonnaire sont formidables .
    Tout le charme de son cinéma est réuni dans ce long métrage . Les seconds rôles sont étonnants comme Jean Pierre Marielle et Dominique Lavanant en bourgeois de province . Cynique et parfois même plutôt drôle un film qui mélange plusieurs genres en plein milieu des années 80 .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 décembre 2016
    Un film agréable à regarder et une histoire intéressante et rendue touchante par ses très bons acteurs. Une ode à la recherche du sens de sa vie et de l'amour le plus pur.
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 décembre 2016
    Alors qu'il vient tout juste sortir d'une cure de repos pour dépression, Martial entreprend une tournée d'affaires pour vérifier les livres de comptes de différentes succursales de province. Mais il s'arrête à Limoges où il s'amourache d'une domestique, Francine, à qui il offre plusieurs robes. Alarmée par le comportement excentrique de son fils et l'usage excessif qu'il fait de sa carte de crédit, la mère de Martial lui fait croire qu'elle a un infarctus pour le faire revenir sur-le-champ. Embarqué dans un imbroglio confus et accusé d'un meurtre (celui de Rocky) qu'il n'a pas commis, Martial revoit encore une fois Francine, venue lui rendre visite à l'institut psychiatrique où il se trouve à présent.

    Confrontant joyeusement les milieux sociaux, titillant les sectarismes culturels et le conformisme bourgeois, Claude Sautet nous livre avec Quelques jours avec moi sûrement son film le plus accessible. Loin de la noirceur de "Mado", de "Max et les Ferrailleurs" ou des "Choses de la Vie", Quelques jours avec moi contient de vraies scènes de comédie: le triolisme de Boulevard formé par Martial, Francine et Fernand, une soirée où les ploucs côtoient les aristos, une veine "bon enfant" répandue tout au long de ce long-métrage, où l'on vient déguisé en Robin des Bois à une soirée que l'on croyait costumée, où l'on se prête à un "amusant récital de lieux communs" autour de la politique...

    Réputé directeur d'acteurs hors-pair, Claude Sautet rassemble ici un casting de choix, emmené par la frimousse charmante de Sandrine Bonnaire, l'impassibilité énigmatique d'un Daniel Auteuil passionnant, ou encore la bonne humeur communicative d'un Jean-Pierre Marielle...
    Ce qu'on peut également saluer, c'est la liberté que le film laisse au spectateur. Il n'impose pas d'interprétations figées, quant aux mobiles de Martial pour agir comme il le fait, ou quant aux sentiments de Francine à son égard. Il laisse simplement dérouler une histoire, histoire qui amuse, surprend et émeut tour à tour: on voit comment l'appartement loué par Martial à Limoges se transforme en salle de billard, comment les livres de compte de M. Fonfrin sont décryptés, comment Fernand devient, par l'intermédiaire de son nouveau ami, le nouveau chef magasineur chez M. Fonfrin, comment Francine se voit demandée de "dénouer ses cheveux" par son énigmatique hôte... Le film prend successivement différents visages, que l'on découvre tous avec plaisir.
    Benjamin A
    Benjamin A

    658 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2015
    Quelques années après l'échec commercial de Garçon!, Claude Sautet change de registre avec Quelques jours avec moi, où il va filmer une nouvelle génération et mettre en scène le patron d'une grande chaîne d'hypermarchés qui a connu la dépression avant de se rendre à Limoges pour y contrôler l'une des succursales.

    Si Claude Sautet change de génération, on retrouve tout de même ses thèmes de prédilection, à savoir la complexité des sentiments et de la vie. Ici, il trouve toujours le ton juste, notamment dans le portrait des personnages à l'image de Martial, aussi complexe que fragile, cherchant sa place dans une société bien compliquée où on est vite enfermé dans une case tandis qu'autour de lui, il dresse une galerie parfois haute en couleur et toujours intéressante et approfondie où l'on retrouve celle dont il tombera amoureux, des grands patrons parisiens ou au contraire, des personnages typés plus provinciaux.

    Sautet se montre toujours intelligent et sobre dans son traitement des personnages, mettant aussi en place une satire de la bourgeoisie (qu'elle soit parisienne ou provinciale) mais surtout une histoire sentimentale compliquée sur deux personnes que tout oppose. Le metteur en scène d'Une Histoire Simple se montre, comme toujours, brillant pour faire ressortir toute l'émotion et la complexité de l'histoire qu'ils vont peu à peu connaître, ainsi que d'une justesse incroyable pour mettre en avant la difficulté de la vie, les dilemmes trop compliqués qui en découlent mais aussi les simples moments de joie, de bonheurs et parfois d'amitié, à l'image des remarquables séquences dans les bistros, scènes que l'on retrouvait déjà dans des films comme Mado ou Vincent, François, Paul et les autres.... C'est aussi le regard des autres qu'il étudie, les codes d'une société où tout devient difficile si on n'y trouve pas une place bien définie.

    La mise en scène de Sautet est toujours immersive, permettant de nous entrainer dans l'intimité des protagonistes et de partager leurs sentiments. Il insère quelques touches d'humour qui marchent bien dans la première partie du récit (à l'image de la formidable pendaison de crémaillère) avant de se montrer plus sombre et compliqué dans la seconde, où il fait ressortir toute la difficulté, la complexité et la cruauté du sort de Martial, sachant bien nous faire passer par les mêmes sentiments. Daniel Auteuil livre une composition juste et sobre, sachant faire ressortir toute la complexité, la peur et l'émotion de son personnage tandis que face à lui, les autres interprètes sont remarquables, notamment Sandrine Bonnaire, Jean-Pierre Marielle et Vincent Lindon.

    Claude Sautet entame une nouvelle vie avec Quelques jours avec moi où il dresse le portrait d'une nouvelle génération et ce avec toujours autant d'intelligence, justesse et sobriété, pour mieux nous y immerger et faire ressortir toute l'émotion et la complexité des enjeux et personnages.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    75 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2015
    Quelques Jours Avec Moi est un film étrange, mélangeant satire sociale, romance, comédie de boulevard et drame dans un gloubi-boulga déstabilisant mais pas désagréable. Claude Sautet s'entoure encore une fois d'une distribution exceptionnelle (notamment la pétillante Sandrine Bonnaire et l'immense Jean-Pierre Marielle) pour donner vie à une galerie de personnages fouillés. Malheureusement, le charme n'opère pas autant que dans les classiques de ce réalisateur car l'intrigue manque un peu de vraisemblance. Bref, un long-métrage pas toujours très subtil et surtout un peu trop long, mais assez attachant malgré tout.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 038 abonnés 4 099 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2014
    Quelques jours avec moi" est un film synonyme de nouveau départ pour Claude Sautet et Daniel Auteuil. Claude Sautet mal remis de l'échec relatif de "Garçon !" que la critique et le public avaient un peu boudé, n'acceptant pas que le réalisateur des "Choses de la vie" et de "Max et les ferrailleurs", déplace son propos sur un registre plus léger, réservé habituellement à des cinéastes populaires comme Philippe de Broca ou Edouard Molinaro. A soixante ans le réalisateur a sans doute jugé qu'il était temps pour lui de faire appel à une autre génération d'acteurs et de scénaristes pour se renouveler sans changer profondément la nature de ses thématiques tournant autour des crises existentielles de la bourgeoisie. De son côté Daniel Auteuil qui vient de crever l'écran avec son rôle d'Ugolin chez Pagnol ("Jean de Florette" et "Manon des sources") entame avec Sautet sa reconversion vers des rôles de personnages mutiques et désincarnés, comme absents d'eux-mêmes dont le Martial de "Quelques jours avec moi" sera en quelque sorte l'initiateur d'une longue liste. Les deux hommes vont se faire la courte échelle pour un court moment, enchaînant presque aussitôt avec un deuxième film au ton beaucoup plus grave (« Un cœur en hiver » en 1991). D’humeur badine, Sautet observe d’un œil amusé cette confrontation entre une jeunesse prolétaire un peu à la dérive depuis l’entrée de la France dans la crise économique qui ne nous a pas lâché depuis trente ans et la très riche bourgeoisie incarnée par Martial héritier d’un empire de la grande distribution qui soigne son spleen en dépensant sans compter l’argent de la famille sous l’œil inquiet mais bienveillant de sa mère (Danièle Darrieux) qui n’a pas d’autre choix que de tenter de préserver ce fils unique qui refuse obstinément son entrée dans la vie active. La mise en scène de Sautet très habilement met en avant les bons et les mauvais aspects de la personnalité de Martial nous le montrant tour à tour fragile au sein d’un univers matérialiste qu’il rejette ou au contraire manipulateur sachant parfaitement user de l’emprise que sa position sociale lui autorise. Cette dichotomie cimente tout le charme du film, nous faisant souvent hésiter face aux tours pendables que le fils de bonne famille joue au directeur d’hypermarché et à sa femme incarnés avec dérision par Jean-Pierre Marielle et Dominique Lavanant dont il tourne en ridicule la position servile qu’ils adoptent à son égard depuis qu’il est descendu à Clermont-Ferrand pour effectuer un contrôle des comptes. Progressivement une petite communauté très hétérogène se forme autour de Martial au comportement déroutant qui n’a aucun mal vu ses largesses et sa position à agréger des composantes de la société clermontoise qui n’auraient sans lui aucune raison de se côtoyer. Le propos de Sautet plus optimiste qu’à l’accoutumée finit même par aboutir à une forme de joyeuse utopie où la tolérance aurait remplacé les infranchissables et séculaires barrières sociales. On retrouve alors les fameuses soirées dans les restaurants enfumés où tout le monde parle plus fort que son voisin qui sont la marque de fabrique du réalisateur. Mais comme pour nous rappeler que tout ceci n’est qu’un rêve, Sautet sans doute un peu désabusé par une époque qui n’est pas la sienne se charge de nous faire redescendre sur terre en incluant une fin dramatique assez convenue peu en rapport avec ses schémas narratifs habituels faisant très rarement appel au sensationnel ou au pathos. Pour cette raison le film n’est sans doute pas une réussite totale, mais il nous permet de voir une pléiade d’acteurs à leur meilleur sous la houlette d’un Sautet qui savait très subtilement manier la baguette tel un chef d’orchestre virtuose. Enfin on est admiratif devant le talent éclatant de la toute jeune Sandrine Bonnaire encore fraîchement éclose chez Pialat.
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