Avis : Le Retour de l'inspecteur Harry - Page 4

L' inspecteur Harry revient pour la quatrième fois , et ses méthodes sont toujours aussi expéditives .
L' inspecteur au magnum est cette fois confrontée a une artiste peintre ( Sondra Locke , femme d'Eastwood a l' époque ) violée dans sa jeunesse . Bien décidée a se venger , celle ci tente de retrouver chacun des agresseurs pour les tuer . Un film intelligent , rythmé , jouissif et riche en suspense digne du meilleur Eastwood qui réalisera ce quatrième volet du redoutable " Dirty Harry" .

Magmum 44 opus 4. Ce retour de l'inspecteur Harry est le plus mauvais, ce que l'on peut se dire et qui aurai pu être pas mal, c'est le changement de décor, puisque cette fois Harry est dans une ville autre que San Francisco mais on s'emmerde clairement. Petit soulignage, Sondra Locke et encore dans un film avec Eastwood

4e épisode de cette saga pseudo-culte : le scénario et les voyous sont toujours au ras des pâquerette...aucun intérêt!

Je me demande comment on peut dire que cet opus est très bon ...Le scénario tiendrait sur une feuille de papier, simple alibi pour que le justicier Harry, apôtre de l'auto-défense, fasse des cartons sur des méchants hyper-caricaturaux ! Sondra Locke est aussi expressive qu'un concombre rance et l'idéologie sous-jacente au film, est limite facho ! En résumé, un bon gros navet américain, avec une image dégueulasse, mais qui se laisse regarder ! Un bon point pour Patate, le bouledogue de Clint, qui est le meilleur interprète du film !

Après l’antagoniste sans envergure de l’épisode précédent, l’inspecteur Harry va ici être confronter à son alter-ego féminin en quête de vengeance. L’idée est excellente et aurait pu créer un dilemme chez le célèbre policier aux méthodes expéditives si ce n’était un climax qui fait tous les mauvais choix possibles.

Nouvel opus sous fond de vengeance d'une femme envers ses agresseurs !! Simple mais efficace avec de bonnes scènes et un Clint Eastwood impérial

Le plus sombre et violent des quatre Inspecteurs Harry sortis jusqu'en 1983. Je comprends l'interdiction aux moins de 12 ans.
Mais tout cela n'est pas un reproche, ni pour me déplaire, c'est vraiment l'inspecteur "Harry la poisse" pour lui et ses amis... sauf que lui s'en sort, car il est inarrêtable.

Après un troisième opus pas fameux, revoilé Dirty Harry dans un film qui est parmi les meilleurs de la série.
On revient sur un univers plus sombre et mâtiné de vengeance.
Les acteurs sont bons, l'histoire est prenante et la réalisation correcte.
A voir sans problème.

Quatrième aventure de l inspecteur de San Francisco , roi du magnum 44, ce film est le premier réalisé par Clint Eastwood dans la série Dirty Harry. Normal après un troisième épisode décevant.
On sent que l'on est sur la fin de la série, le ton est plus mélancolique montrant les dernières heures de l’inspecteur dans un monde qu'il ne reconnaît plus . Il garde toujours son ton sec et dur, avec un peu plus d'humour que d'habitude.

L intrigue est plus recherchée que dans les premiers , où les méchants de l histoire étaient des voyous .
Là on est face à une femme intelligente qui entreprend une vengeance contre ses violeurs. L inspecteur doit commencer son enquête en défendant les agresseurs .

Plusieurs petites histoires secondaires sont présentes dans ce film. Elle n apporte rien à l’intrigue si ce n’est pour mettre de l action ou des fusillades afin de plaire au plus grand nombre. Dommage .

Sur la dernière demi heure , quand Harry continue son enquête dans un bled paumé à l écart de San Francisco, le scénario se concentre sur l’intrigue principale et le suspense s'en ressent. L'intérêt augmente.

Le film reste correct dans le genre policier thriller des années 80, il n'arrive pas à ce distinguer dans le marasme des productions de divertissement.

Pour le quatrième épisode de la franchise, Clint Eastwood prend les rênes de la réalisation avec Le Retour De L'Inspecteur Harry pour un résultat hélas décevant. L'histoire nous fait toujours suivre ce flic controversé, qui suite à ses nombreuses frasques se retrouve envoyé en Californie par ses supérieurs. Là-bas il va faire face à une vague de meurtres le menant à enquêter. Cet énième mouture nous offre un scénario glauque mais peu original et à l'enjeu limité tant c'est convenu, ce qui crée peu d’intérêt. Mais le problème majeur de cette intrigue provient de ses près de deux heures de bobines beaucoup trop longues et de son rythme inégal dont il souffre de bout en bout. Cela malgré des scènes d'actions de bonne facture mais c'est toujours la même chose entre échanges de coups de feux et prises d'otages ce qui surprend peu. Comme depuis le début de cette licence, c'est le personnage joué par Clint Eastwood qui est l'atout principal du film. Mais son rôle n'évolue pas ce qui est vraiment dommage et ce n'est pas le chien qui l'accompagne qui va révolutionner cela. Ses relations se contentent d'être des échanges musclés ou il balance ses répliques toujours aussi incisives et drôles aux autres comédiens qui l'entourent dont on retiendra uniquement Sondra Locke qui campe un rôle appréciable. L'ensemble est bien mis en scène par le cinéaste dont la réalisation est sobre et efficace. Ce quatrième volet est visuellement plus sombre à l'image de son récit. Le jeu de lumière réussit quelques beaux exploits, dégageant ainsi une photographie agréable. Malheureusement on ne peut pas en dire autant de la b.o. assez moyenne signée Lalo Schifrin qui reprend les commandes après avoir été absent du troisième volet. Ses sonorités ne sont pas toujours en accord avec les plans ce qui dénote au niveau de l'ambiance. Reste une dernière partie qui s'étire un peu trop sur la durée avant de se conclure sur une fin molle et sans importance venant mettre un terme à ce film peu convaincant. Car oui, Le Retour De L'Inspecteur Harry n'apporte rien de plus que ses prédécesseurs si ce n'est une noirceur qui le démarque un peu mais cela ne suffit pas à en faire un long-métrage différent.

Ce 4e épisode de la série des "inspecteurs Harry" est un solide film policier. Cette fois Harry est confronté à la vengeance d'ue femme victime d'un viol collectif. Le film est émaillé de nombreuses scènes d'action. Eastwood campe à merveille ce policier intraitable qui ne recule devant rien ni personne.

Justice Pour Tous

Le quatrième épisode, réalisé par Clint Eastwood lui-même (ce qui en fait le seul “Inspecteur Harry” à être réalisé par Eastwood lui-même), raconte l'histoire d'une victime de viol collectif qui décide de se venger des violeurs dix ans après l'attaque. Une fois encore, le film rappelle que dans une société civilisée, les droits des victimes priment sur les privilèges des agresseurs. Surtout lorsque des crimes aussi pervers, atroces et violemment gratuits sont commis contre des enfants et/ou des femmes !! Quatrième chef-d’œuvre d’affilée ; peu de sagas cinématographiques atteignent un tel niveau de perfection. Félicitations à M. Eastwood et à toutes les équipes impliquées dans la réalisation de la Saga de l’Inspecteur Harry.

4.9/5

Avant d’être le réalisateur qu’on connait tous, Clint Eastwood était un acteur très célèbre. Révélé par “La trilogie du dollar” de Sergio Leone, le comédien confirme son statut avec son rôle dans “L’inspecteur Harry” de Don Siegel en 1971. Dans les même temps, il réalisera ses premiers films derrière et devant la caméra. Dirty Harry connaît de beaux jours puisque cinq films en composent la saga. Le quatrième “Le retour de l’inspecteur Harry” est d’ailleurs réalisé par Eastwood lui-même. Dans cet épisode, une artiste peintre décide de retrouver tous les membres d’une bande qui l’a agressée et violée dans sa jeunesse pour se venger et les tuer. La police envoie l’inspecteur Harry pour enquêter sur ces meurtres. Encore plus sombre et violent que les précédents opus, le film délivre une nouvelle fois des répliques mordantes. Cependant, Sondra Locke, petite amie du réalisateur à l’époque, ne dégage aucune prestance et aplatie un scénario déjà un peu léger. Dommage.
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Plus d'action et d'humour dans cet épisode de l'inspecteur Harry. J'ai bien aimé. Il y a toujours le fameux magnum et les manières expéditives, mais cette fois-ci, Callahan est mis en vacances forcées et poursuivis par ses nombreux ennemis, ce qui rythme davantage le film. D'autant qu'il fait équipe avec un sacré coéquipier nommé "patate". Bien sympa au niveau de l'action et des répliques, sombre du point de vue de l'enquête.

Ce quatrième et avant dernier épisode de la saga Dirty Harry, le seul mis en scène par Clint Eastwood lui-même à partir d'un scénario initialement écrit par Charles B. Pierce pour Sondra Locke et remanié par Joseph Stinton afin d'y inclure le personnage d'Harry, ne déroge en rien aux règles édictées par Don Siegel dès 1971. L'inspecteur Callahan agit toujours selon son bon vouloir en fonction de l'idée très particulière qu'il se fait d'une justice équitable mais aussi sommaire et expéditive, évitant selon ses dires de dépenser inutilement les deniers de l'Etat en frais de procès superflus. Le scénario prend le temps à travers plusieurs scènes explicites de rappeler au spectateur le caractère entier de Callahan qui a fait jusqu'alors son succès et sa réputation. "L'inspecteur ne renonce jamais" (James Fargo en 1976) remontant à sept ans, le réalisateur/producteur avisé qu'est Eastwood a sans doute jugé utile de solidement replanter le décor. La démonstration est certes explicite mais tout de même brossée à gros traits. L'inspecteur bougon a tellement mis le feu dans son secteur que l'on comprend aisément l'envie de sa hiérarchie de l'envoyer se ressourcer quelques temps en province où un crime plutôt inhabituel s'est produit. A peine la présence de Jennifer Spencer (Sondra Locke, la compagne d'Eastwood à la ville,) une artiste locale va t'elle commencer à humaniser un Callahan à cran qu'aussitôt les ploucs locaux vont faire des leurs pour l'agacer à nouveau. La suite plutôt cousue de fil blanc et sans guère de nuances reste digeste grâce au charisme d'Eastwood toujours aussi opérant et aux "tronches" impayables des méchants mais l'on doit reconnaitre avec le recul que hormis le premier opus réalisé par le grand Don Siegel, le personnage de Callahan n'est pas celui où le talent de l'acteur s'exprime le mieux que ce soit devant ou derrière la caméra.