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Votre avis sur Firefox, l'arme absolue ?
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Un film de guerre certes classique, mais au moins efficace. De plus, il s'agit du huitième film réalisé par Clint Eastwood, on est très loin de son meilleur film, mais ça reste très agréable à regarder. En effet, le film fait exemple de pas mal de petits défauts, notamment les dernières minutes qui sont un petit peu exagérées, même si ça reste divertissant. Notamment, je trouve que les vingt dernières minutes du film sont beaucoup trop longues, et tournent un peu en rond, qu'il ne se passe pas grand chose vers ces dernières minutes, si le film avait pu être un peu raccourci, ce serait un peu mieux. Le scénario est bon, et très intéressant à suivre, même si il reste classique et demeure sans surprises (en effet, on presque affaire à une sorte de James Bond avec Clint Eastwood dans le rôle principal), mais il n'y a pas non plus de quoi râler du tout. Une bonne dose de suspense ne manque pas non plus le rendez-vous, en effet, on ne s'ennuie pas une seule seconde, à qu'il y ait quelques petites scènes traînantes en longueurs, mais on les oublie vite, car il y en a très peu. Pour un film datant de 1982, les effets spéciaux sont vraiment très satisfaisants pour cette époque, en effet, pour beaucoup de personnes le film a vieilli, mais pour moi très peu. La réalisation est honorable, certes, il n'y a pas de prises de vues exceptionnelles, ou d'autres choses de ce genre, mais il est possible, que l'on sente que le travail effectué provienne de Clint Eastwood, et ça se voit. Et pour terminer, les musiques sont bien maîtrisées, que j'en est retenu quelques unes, vu qu'elles sont agréables à entendre.
spoiler:
Les chercheurs soviétiques viennent de mettre au point un redoutable avion de guerre, le MIG 31. Cet engin extrêmement sophistiqué dépasse tous les appareils existant par sa rapidité et par son invisibilité aux radars. Suprême raffinement technologique : le tir des missiles nucléaires est commandé par les impulsions psychiques du pilote. Réunis en conseil extraordinaire, les services secrets occidentaux décident de tenter une opération d'une audace incroyable, voler le MIG 31 aux Soviétiques. La mission a pour nom de code «Firefox». Reste à trouver le pilote d'élite qui pourra la remplir. En raison de ses états de service, Mitchell Grant est l'homme de la situation...
En conclusion, '' Firefox, l'arme absolue '' est un bon film d'espionnage un peu cliché à mon goût mais très sympathique. Il ne s'agit pas de l'oeuvre la plus mémorable de Clint Eastwood, mais dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé. Pas mal du tout, 3.5/5.
En conclusion, '' Firefox, l'arme absolue '' est un bon film d'espionnage un peu cliché à mon goût mais très sympathique. Il ne s'agit pas de l'oeuvre la plus mémorable de Clint Eastwood, mais dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé. Pas mal du tout, 3.5/5.
Firefox, l'arme absolue : Un film d’espionnage/action singé Clint Eastwood tout à fait correct même si ce n’est pas son meilleur film. Car, le film est un poil long, surtout vers la fin on a plus de 30 min dans les aires et c’est trop long et ça tourne en rond. Dommage, car le film aurait pu facilement raccourcir cette séquence. Mais malgré tout, elle nous offre un bon suspense. Avec des effets spéciaux qui pour l’époque était vraiment pas mal (en plus, Clint Eastwood a demande au gars des effets spéciaux de Star Wars : c’est par rien). Même si aujourd’hui, ça a mal veille mais cette séquence aérienne reste classe et bien filmé et la mise en scène globale est excellente. Après, le scénario reste classique et cliché dans le genre espion : américain contre le russe… Mais, le film respecte et maitrise tout les codes du genre, on dirait un peu un scénario et une ambiance a la James Bond et c’est appréciable. Sinon, Clint Eastwood est toujours aussi bon devant et derrière la caméra. Donc voila, trop long mais divertissant.
bsalvert
Film d'action basique mais qui nous emmène loin de notre quotidien donc c'est parfait.
PLV : Clint Eastwood des deux cotés de la caméra.
PLV : Clint Eastwood des deux cotés de la caméra.
Le film est un bon mélange d’espionnage et d’action, suffisamment rythmé pour ne pas s’ennuyer. Après on peut toujours trouver des défauts, notamment sur les effets spéciaux des batailles aériennes et l’image des « gentils Américains » face aux « méchants Communistes », mais cela reste très divertissant.
Benjamin A
Il y a parfois un certain charme à revoir certains films de Clint Eastwood de la fin des années 1970/début 80, celui - là est clairement ancré dans son époque (ce qui n'est pas gênant). On suit donc un ancien pilote Américain marqué par le Vietnam qui a pour mission d'aller voler un avion en URSS. Mais pas n'importe quel avion, un avion par commande télépathique (!). Bon si le scénario peut avoir des allures de nanar, il faut avouer que par moment le film est assez jouissif, c'est un rôle que Clint a déjà joué plusieurs fois et il le fait bien, certaines séquences sont bien réussi, notamment dans les airs, et le film se laisse très gentiment regardé, sans tomber dans certaines niaiseries auxquels le sujet pouvait prétendre (sans pour autant être intelligent, c'est même parfois caricatural sur les Russes). Quand on ne s'attend à rien, le film est plutôt divertissant et ne manque pas de rythme, par contre il ne faut pas surtout pas voir le film en espérant voir un Clint majeur, vous serez déçu dans ce cas-là.
Bon film d'espionnage avec et de Clint Eastwood. Les images numériques du Firefox sont un peu passées, mais le film reste efficace. On sent aisément la tension entre les russes et les américains. L'intérieur de l'avion reste bien fait.
AMCHI
Ce n'est peut-être pas le meilleur film de Clint Eastwood mais cela reste tout de même très efficace ; la 1ère partie lorsque Clint est poursuivi par le KGB est du bon suspense puis la 2nde partie le vol de l'avion est réalisée de manière assez impressionante mais le reproche que je ferai au film est d'être un peu longuet, un quart d'heure de moins n'aurait pas nui à l'intrigue.
Tentant de s'adapter aux exigences du cinéma d'action du début des années 1980, Clint Eastwood se lance dans ce Firefox, l'arme absolue qui n'est évidemment pas son meilleur film, mais qui contient tout de même quelques traits intéressants. Notamment dans sa partie espionnage qui décrit un URSS incroyablement anxiogène et dans lequel même Clint se montre vulnérable et inquiet. Une fois l'arme absolue subtilisée, John Dykstra, superviseur des effets spéciaux de Star Wars, prend le relais avec un climax aux effets diversement convaincants.
Clint Eastwood réalisateur et acteur veut entrée dans les années 80 avec un film d'un nouveau genre, le film d'espionnage avec la technologie en plus. Alors certes, il avait commencé cette décennie avec Bronco Billy, mais il est empreint de la nostalgie des années 70.
Non là, c'est un nouveau genre, alors peut-être qu'au moment de sa sortie il a fait sensation, un budget plutôt restreint pour un film avec cette ambition, avec un peu plus de 20M$, et des effets spéciaux qui paraissent bien daté aujourd'hui. Alors certes le film a doublé sa mise au box office, et ce n'est pas forcément les effets spéciaux qui pêche ici, c'est le manque de rythme de la première partie, c'est bavard, on explique tout, dans des bureaux austères avec des palabres autour de table ronde. Lorsque l'on en vient à l'infiltration de l'espion, c'est pareil, cela manque de jus, très certainement que Eastwood a voulu prendre le contre pied d'un James Bond, en mettant le côté véridique de cette mission, un peu à la John Le Carré. La dernière partie est plus nerveuse, mais ne suffira pas à sauver tout le film. On est donc dans une production Malpaso qui est loin d'être la meilleure de Clint Eastwood.
Non là, c'est un nouveau genre, alors peut-être qu'au moment de sa sortie il a fait sensation, un budget plutôt restreint pour un film avec cette ambition, avec un peu plus de 20M$, et des effets spéciaux qui paraissent bien daté aujourd'hui. Alors certes le film a doublé sa mise au box office, et ce n'est pas forcément les effets spéciaux qui pêche ici, c'est le manque de rythme de la première partie, c'est bavard, on explique tout, dans des bureaux austères avec des palabres autour de table ronde. Lorsque l'on en vient à l'infiltration de l'espion, c'est pareil, cela manque de jus, très certainement que Eastwood a voulu prendre le contre pied d'un James Bond, en mettant le côté véridique de cette mission, un peu à la John Le Carré. La dernière partie est plus nerveuse, mais ne suffira pas à sauver tout le film. On est donc dans une production Malpaso qui est loin d'être la meilleure de Clint Eastwood.
NeoLain
Réalisation de Clint un peu longuette, toutefois la première partie est bien construite, la seconde un peu moins. Dès que l'on voit le Firefox en vol, l'excitation est à son comble sauf que les effets spéciaux sont méga vieux et ça fait très mauvais jeu vidéo, ne vous attendez pas à des scènes de combat vol à la Top Gun.
Clint Eastwood, en tant qu’acteur ou que réalisateur, n’a que très rarement cédé aux effets de mode. Cependant, avec Firefox, l’arme absolue en 1982, il l’a fait puisqu’il est un de ses rares films (avec Space cowboys en 2000) à utiliser des effets spéciaux. Dans une période où la première trilogie Star wars révolutionne le cinéma de divertissement, tourner un film où des poursuites aériennes orchestrées par John Dysktra (justement responsables de celles du premier Star wars) et où le personnage principal est hanté par la guerre du Vietnam (le premier Rambo traitant du même thème sortira 4 mois plus tard) présente une bonne compensation pour pouvoir tourner le film plus difficile que représente Honkytonk man.
Firefox semble n’être, en effet, réalisé que dans un but uniquement commercial. Cela explique le peu de temps qui est consacré à l’exposition des personnages et de la situation (même si cela est un peu moins vrai dans la version américaine, contenant 12 minutes de plus essentiellement situées au début, que dans la version française) puisqu’en un quart d’heure le personnage est plongé dans la mission. Les personnages sont donc peu approfondis mais l’anticommunisme récurrent du cinéma américain de cette époque, toutefois présent, est cependant quelque peu nuancé spoiler: (ce qui a traumatisé le plus Gant est la mort d’une petite fille vietnamienne ; ses alliés anticommunistes n’hésitent pas à tuer le vrai Leon Sprague pour éloigner l’armée soviétique des traces de Grant…)
.
Hélas, le reste du film, sans être ennuyant, est assez décevant de la part de Clint Eastwood. Ainsi, le rythme est plutôt mou spoiler: (les poursuites aériennes finales, convaincantes à l’époque, ont hélas mal vieilli)
, la musique de Maurice Jarre (que l’on a connu plus inspiré) est trop glorieuse (alors qu’Eastwood utilise généralement des musiques plus mélancoliques et collant mieux à son univers), certaines facilités scénaristiques ne sont pas évitées (pourquoi faire parler les personnages russes en anglais entre eux alors que justement le fait que Gant parle russe est une des raisons pour lesquelles il a été choisi et que cet élément est important dans le pilotage du Firefox ?) et la fin est trop abrupte pour ne pas paraître bâclée.
Sans être déplaisant, Firefox, l’arme absolue est généralement considéré à raison comme un des moins bons films réalisés par Clint Eastwood (il a, hélas, depuis été largement battu par Le 15h17 pour Paris en 2018).
Firefox semble n’être, en effet, réalisé que dans un but uniquement commercial. Cela explique le peu de temps qui est consacré à l’exposition des personnages et de la situation (même si cela est un peu moins vrai dans la version américaine, contenant 12 minutes de plus essentiellement situées au début, que dans la version française) puisqu’en un quart d’heure le personnage est plongé dans la mission. Les personnages sont donc peu approfondis mais l’anticommunisme récurrent du cinéma américain de cette époque, toutefois présent, est cependant quelque peu nuancé spoiler: (ce qui a traumatisé le plus Gant est la mort d’une petite fille vietnamienne ; ses alliés anticommunistes n’hésitent pas à tuer le vrai Leon Sprague pour éloigner l’armée soviétique des traces de Grant…)
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Hélas, le reste du film, sans être ennuyant, est assez décevant de la part de Clint Eastwood. Ainsi, le rythme est plutôt mou spoiler: (les poursuites aériennes finales, convaincantes à l’époque, ont hélas mal vieilli)
, la musique de Maurice Jarre (que l’on a connu plus inspiré) est trop glorieuse (alors qu’Eastwood utilise généralement des musiques plus mélancoliques et collant mieux à son univers), certaines facilités scénaristiques ne sont pas évitées (pourquoi faire parler les personnages russes en anglais entre eux alors que justement le fait que Gant parle russe est une des raisons pour lesquelles il a été choisi et que cet élément est important dans le pilotage du Firefox ?) et la fin est trop abrupte pour ne pas paraître bâclée.
Sans être déplaisant, Firefox, l’arme absolue est généralement considéré à raison comme un des moins bons films réalisés par Clint Eastwood (il a, hélas, depuis été largement battu par Le 15h17 pour Paris en 2018).
Ce thriller d'infiltration porté par Clint Eastwood est plutôt intéressant. L'ambiance froide de la Russie (vu par les américains) est bien présente. Ce qui est totalement raté c'est les effets spéciaux sur les scènes où on voit le fameux avion. Un bon petit film qui se laisse regarder.
Bon d'accord le film a un peu vieilli. Mais ce qui est i têtes sang c'est qu'il présage surtout le talent et les futurs films de Clint. Un humour un peu décalé, des prises de risques cinématographiques, un scénario atypique. Si Firefox n'est pas un grand film, il n'en reste pas moins un excellent film d'action.
Film d'espionnage et d'action tout à fait correct mais qui n'évite pas certaines facilités scénaristiques. Quelques scènes efficaces, un Eastwood mineur mais divertissant.
Une nouvelle réussite de la part de Clint Eastwood. La première partie est bluffante de suspense, le climat de la guerre froide est parfaitement rendu, les différents personnages - tous très bien interprétés - devant évoluer avec prudence à travers les mailles du KGB. Après le déclic, le film se mue en un bon film d'action sans prétention. Comme d'hab, les gentils américains humilient les méchants soviets. Mais le film évite heureusement les discours lourds qu'on nous sert aujourd'hui systématiquement dans tout film d'action lambda hollywoodien (ce n'est pas ici que vous verrez le président US se découvrir des capacités de pilote de chasse). Seul bémol peut-être pour certains : la plupart des scènes d'action choisissent la facilité (vas-y que je te défonce le boss de fin en 30s), mais après tout, c'est sûrement par l'absence de toute chorégraphie que les scènes de combat aérien nous paraissent plus "réalistes".
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