Derniers Avis : American Graffiti - Page 7

Un excellent portrait de la jeunesse américaine des années 60 qui sent la nostalgie. Rempli d'humour, de belles voitures et d'excellente musique. L'interprétation est très bonne.

Le décore et très bien planté, l'ambiance y est. Les acteurs assurent. De l'humour... mais il manque un réel scénario, un intérêt à suivre cette histoire.

Un film totalement 60's qui parle de mecs et de leur voitures ! Car on voit bien que Lucas voulait un film sans prise de tête, avec des filles et des bagnoles. Et qu'est ce que ça rend bien ! On retrouve Ron howard et Harrison ford très très jeunes, vivant leur dernière nuit entre jeunes avant la fac (et l'âge adulte). La musique est génial, tout comme ce film !

Un exellent film, le deuxième de Georges Lucas qui signe ici un film frais, tonique et plein d'humour. Le tout porté par une BO décoiffante et de jeunes acteurs talentueux. American Graffiti est un hymne à la liberté qui, en 36 ans d'existance n'a pas pris une ride !

C’est peut-être un peu difficile à imaginer aujourd’hui, mais « American Graffiti » fut un énorme succès à sa sortie, avec des recettes plus de 100 fois supérieures à son modeste budget de production, et des critiques élogieuses. Un succès qui permettra à George Lucas, après l’expérimental « THX 1138 », de poursuivre sa carrière plus confortablement… pour le résultat que l’on connait. Ce sera aussi un salut artistique pour Harrison Ford, qui avait alors abandonné une carrière d’acteur infructueuse pour devenir charpentier. Mais, engagé dans un petit rôle sur ce film, il nouera une relation étroite avec George Lucas et Francis Ford Coppola (ici producteur), ce qui le conduira de fil en aiguille à devenir une super star. Bref, comment expliquer ce succès, alors qu’il faut bien dire que le film est assez mou ? Il n’y a pas vraiment d’intrigue principale, on se contente de suivre de jeunes Américains de 1962 en virée motorisée et nocturne, certains s’apprêtant à quitter leur cocon pour l’université. Les péripéties et les jeux d’acteur sont inégaux, la mise en scène est conventionnelle, loin de l’oppressant « THX 1138 », ou de l’originalité de « Star Wars ». On peut trouver l’explication dans le fait que George Lucas ait parfaitement réussi à capturer à l’écran une jeunesse qu’il a personnellement vécu. Il montre d’abord les désirs, craintes, et aspirations universelles des jeunes. A savoir, se construire une confiance en soi (en l’occurrence, avec l’aide de bolides ronflants), emballer de jolies filles ou de beaux mecs, et le tiraillement entre rester dans le confort de son univers, ou en sortir totalement pour aspirer à mieux. Ensuite, il dresse le portrait d’une génération, celle de 1962, dépeinte comme insouciante. Avant la crise de Cuba, l’assassinat de JFK, l’enlisement au Vietnam, la contre-culture, ou le choc pétrolier, ces jeunes gens peuvent se permettre de rêver et de concentrer sur leurs problèmes personnels dans une relative sérénité. Un portrait nostalgique, dressé à coups de tubes de rock’n’roll, d’argot de l’époque, et de personnages sympathiques, qui trouvera donc un écho fort auprès de son public.

Une délicieuse chronique douce-amère ret nostalgique à l'ambiance rétro (forcement !) et à l'humour insolent. Le film n'a pas pris une ride et la BO est bien évidemment géniale.

George Lucas dresse un portrait de la jeunesse des années 1960 de façon assez réussie...
Mais le tout a du mal à tenir les 1h50.
Il se montre assez habile lorsqu'il s'agit de dresser les caractéristiques d'une époque, d'une jeunesse, qui hésite entre les responsabilités, ou la liberté.
On retrouve les voitures, le rock, les tenues et coiffures féminines style perruque etc... bref, tout ce qu'on imagine de l'époque.
Mais son propos reste globalement très plat. Le scénario est creux et assez vide.
On pourra se contenter tout de même de cette mosaïque sur la jeunesse dans les sixties, mais c'est bien trop peu.

Quel plaisir de voir et revoir ce film. On ressent l'esprit US des années 60, tout comme la bande son qui représente le plus pur ton des sixties. Harisson Ford est excellent, oui, mais Richard Dreyfuss joue à la perfection également. Il était fait pour ce rôle. Et les voitures, que de belles carrosseries. Avant de voir ce film, le double album 33 tours m'a été offert, il est toujours dans la discothèque et tourne encore de temps à autre. Ce film nous montre la jeunesse de Georges Lucas, et bien, j'aurais bien aimé la vivre également! Le seul regret est la note tragique du final.

Avant Star Wars, George Lucas signait déjà un film à succès avec American Graffiti. Un film à succès mais aussi un très bon film. Présentant le mieux possible les années 60 avec des voitures rutilantes, une compilation du Rock'n Roll mythique de l'époque et une ambiance de jeunesse innocente et insouciante, American Graffiti exprime la nostalgie d'un âge d'or révolu avant le passage à l'âge adulte amené par des années 70 plus sombres. S'il faut un certain temps avant de vraiment s'intéresser aux personnages à cause des quelques longueurs du début et de l'absence d'un véritable fil rouge, c'est avec humour et sympathie que l'on suit leurs (més)aventures. Entre drives-in, parades et courses de bolides, bal de promo, rencontres hasardeuses, flirts et choix déterminants pour leur avenir, les personnages sont formidablement attachants et bien interprétés par des acteurs en devenir parmi lesquels un certain charpentier du nom de Harrison Ford. Côté mise en scène, sans être transcendante, George Lucas s'en sort bien en faisant de ces quatre histoires parallèles qui se croisent un teen-movie drôle et mélancolique. Il est juste dommage que certaines transitions d'un personnage à un autre manquent d'inventivité et que le doublage français soit aussi kitsch. Mais il contribue au charme du film. A voir.

LE chef d'oeuvre de Lucas ! Le " protégé " de Coppoa décrit avec brio la jeunesse ( enfin une partie ) américaine de l'après-guerre. Un film magnifique, qui nous rend nostalgique d'une époque, même si on ne l'a pas vécu.

Ca change de SW mais c'est toujours aussi excellent !! le scénario est super du début à la fin il n'y a aucune erreur ! et une très bonne bo, de bons acteurs bravo !

Un film culte sur la jeunesse américaine des 60's! Pas une minute ne passe sans que l'on soit dans une voiture, c'est amusant! Le premier grand film de George Lucas!

L'insouciance de l'apres guerre ... Avant la guerre deu Vietnam, les chocs petroliers, le chomage de masse, le sida, la prise de conscience environnementale. Comme ci apres avoir vecu tant d'horreurs les humains avaient contrebalancé dans les 50's et 60's.

Une somptueuse comédie dramatique autobiographique de George Lucas,qui a eu une carrière avant Star Wars.Toute l'atmosphère de la jeunesse américaine des années 60,dont les occupations tournaient autour du cruising,des drives-in,des rencontres amoureuses et des bandes d'amis.Très attachant,"American Graffiti" se concentre sur 4 jeunes adultes,dont les pérégrinations d'une nuit d'été,les amène à reconsidérer leurs priorités,et à contempler leur innocence perdue.Devenir adulte ne peut se faire qu'aù travers d'expériences vécues intensément.Il y a le bad boy brillantiné(Paul Le Mat),roi de la course auto,qui doit garder une fillette pétillante.Il y a le timide binoclard(Charles Martin Smith),qui veut prouver sa valeur aux autres.Il y a l'amoureux épris de liberté(Ron Howard),qui joue l'insensible auprès de sa copine.Il y a enfin l'indécis idéaliste(Richard Dreyfuss),à la recherche d'une blonde aperçue furtivement.A noter,les débuts officiels d'Harrison Ford.La bande-son rock endiablée permet l'immersion dans cette ambiance typiquement sixties.Lucas,dont la nostalgie rejaillit,offre un film aussi drôle,que tendre et juste.Grand succès public et critique,il était dès lors sur la voie royale pour devenir le géant que l'on sait...

C'est surprenant ce que ce film, avec son scénario très futile à première vue, peut-être agréable à voir. Surprenant aussi qu'il ne vieillit pas. Est-ce que le métrage serait très différent s'il était réalisé aujourd'hui ? Je ne pense pas. Les "sixties", en 1974 ou aujourd'hui, restent les "sixties" !