Avis sur Les Sept femmes de Barberousse

idemment la chorégraphie centrale a de la gueule, c'est le moins que l'on puisse dire. Mais à part ça ? Déjà c'est la seule véritable chorégraphie du film, il y en a pas d'autres, les morceaux musicaux n'ont rien de folichon, les acteurs n'en sont pas puisque ce sont des danseurs, alors comme ils ne savent pas jouer, ils gigotent et ils surjouent, mention spéciale à Russ Tamblyn, insupportable tête à claques. Les deux acteurs principaux Howard Kell et Jane Powell ne sont pas à la hauteur et j'ai gardé pour la fin le scénario qui n'est qu'un tissu de guimauve et d'inepties.

Voici une étourdissante comédie musicale peu connue et pourtant magnifique. Donen y a mis tout son talent, tout son optimisme et toute sa gaieté. Pour une fois ce n’est pas une pièce à succès mais un vrai scénario de film, presque de western d’ailleurs car l’ambiance y est également. Il faut signaler deux choses: tout d’abord l’utilisation récente à l'époque du cinémascope qui permet d’avoir 14 ou même 21 danseurs endiablés dans le champ visuel et plus spécifiquement l’extraordinaire séquence dansée de la construction d’un bâtiment suivie de sa démolition. Howard Keel homme superbe (10 années de Dallas) et Jane Powell (la sœur de Fred Astaire dans ‘’Mariage royal’’) sont d’un grand naturel et et forment un beau couple malgré leur différence de gabarits. C’est vraiment le type même du beau film familial d’autant que la légende de enlèvement des Sabines par les hommes de Romulus est strictement respectée: leur virginité est préservée et leur consentement requis.

Même si l'histoire est plutôt mièvre, il y a des danses vraiment réussies dont la principale pleine d'esprit lors de la rencontre des fiancées.
Quelques scènes sont charmantes grâce aux décors et on appréciera cette joie de vivre et cette verve digne des belles comédies musicales

Un excellent Stanley Donen qui encore une fois se débrouille avec aisance dans la comédie musicale. Bon alors par contre bonjour les décors carton pâte, enfin rien de rien de grave le charme est bien là aussi, tout comme des chorégraphies bien mener notamment une superbe qui représente un peu un battle dance en groupe (clan de la ville et clan de la forêt), si je puis dire.

Il ne faut surtout pas tenir compte du titre en français complètement à côté de la plaque contrairement au titre original qui résume bien l'histoire. Cette dernière, qui a l'air d'être tout droit sorti d'un conte de fée, peut paraître dans un premier temps franchement machiste mais au final on a aucun mal à avaler la pilule puisqu'on se sont les femmes qui portent la culotte. Le côté féérique est très fortement accentué par le style carton-pâte des décors en studios et bien sûr les sept frères ainsi que les sept "fiancées" sont d'excellents danseurs et ils portent tous des costumes de couleurs vives pour mieux servir l'Ansocolor. Jane Powell est très charmante et Howard Keel, même s'il est loin d'avoir le charisme d'un Gene Kelly, s'en sort très bien. Stanley Donen impose un timing quasi-impeccable à l'ensemble et si les chansons sont loin d'être inoubliables, les chorégraphies sont très réussis. Un petit plaisir à regarder.

Une formidable comédie musicale!! Les couleurs sont très belles et le scénario sympa comme tout. De plus, les acteurs ont une bonne humeur très communicative pour notre plus grand plaisir. De plus, les numéros musicaux et les chansons sont particulièrement originales et c'est vraiment un très beau spectacle que nous offre le roi de la comédie musicale Stanley Donen!

Le titre français est assez surprenant : il trahit non seulement le titre original (chose courante à l'époque), mais aussi l'intrigue. Car il n'est pas question ici de l'empereur germanique ou du corsaire turc, encore moins de leurs épouses. Il y a seulement sept personnages masculins aux cheveux roux, qui vont chacun trouver à se marier... Bizarre !
Quant au film en lui-même, il s'inscrit dans un décor de western ou plus précisément dans un cadre (en cartons peints) qui rappelle les aventures de Davy Crockett. Il évoque aussi par certains côtés Blanche-Neige et les Sept Nains et reprend le thème de l'enlèvement des Sabines. Ajoutons à cela une histoire très fleur bleue, des chansons sur les rêves de mariage, l'amour, l'éveil de la nature au printemps, ainsi que des costumes colorés et bien repassés, de belles coiffures permanentées... Et l'on obtient une comédie musicale joyeusement kitsch, désuète, délicieusement niaise et drôle au second degré. Un gros bonbon sucré. Seuls éléments vraiment détonants : les chorégraphies signées Michael Kidd, dont l'une est assez époustouflante (la fête de village, suivie de la construction de la maison), mêlant danses, exploits en gymnastique et bagarres orchestrées.

C'est frais et coloré.
Les chorographies rattrapent quelque peu les chansons pas toujours à la hauteur, et l'énergie qui s'en dégage font de se divertissement un classique de la comédie musicale.

une comédie musicale réussie. Les acteurs sont excellents. Stanley Donen était un grand réalisateur.

une comédie musicale très fraîche est assez originale. A voir pour son scénario plaisant et léger bien que peu réaliste. Je le conseille franchement.

Malgré une traduction plus qu'hasardeuse de son titre original, Les Sept femmes de Barberousse est une excellente comédie musicale de Stanley Donen. Le réalisateur dirige ici une pléiade de danseurs talentueux quoique méconnus du grand public, hormis la ravissante Jane Powell, sublime de charme et de fraîcheur. « Sept femmes pour sept frères » : tel est le titre anglais du film qui résume parfaitement son intrigue plutôt simple mais ô combien réjouissante ! Les personnages, très attachants, sont campés au mieux par des acteurs pleins de conviction. La musique est entraînante à souhait. Les numéros de danse sont chorégraphiés et exécutés avec un indéniable talent. Les paysages, naturels ou reconstitués en studio, sont de toute beauté. Bref, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans cette grande famille si bien que l'on plongera de nombreuses fois encore, sans hésiter, dans cette délicieuse comédie.

Une réussite total. La chorégraphie dynamique, athlétique et humoristique est une merveille de rythme, d'énergie, d'utilisation inventive de l'espace en particulier dans la séquence anthologique de la construction de la ferme. Le Technicolor pète le feu et contribue à donner au film sa véritable tonalité. Comme Chantons sous la Pluie du même Donen, le film possède une jeunesse, une élasticité, une joie de vivre qui en fait un modèle inusable du genre.

toute ma jeunesse .
j'ai 11 ans quand je vois ce film pour la premiere fois .
la place du ciné 2f 50 (.'helas ).je me suis tout de suite identifié a russ tamblin qui était mon idole .
je ne ratais pas ses films quand ils passaient en salle a marseille -.tom pouce- high confidential -jeunesse droguée etc
et pour qui aime la comédie musicale c un petit chef d'ouevre de 60 piges .c frais .c super .pas de violence a par la castagne generale (le sang en moins )pour la construction de la maison par quatre equipes de rds
et puis l'amour de ces jeunes gens campagnards rudes et charmants a la fois .
les années cinquantes
je suis tres touché qu'on ai pas oublié ce film qui devrait etre repassé plus souvent .
c toute ma jeunesse qui ressurgit .MERCI