Avis : Gremlins - Page 10

MIinable ! Il date des années 80 et ça se voit. Mais en plus de ça, le scénario est horriblement poussif (on sait comment se comportent les bestioles, donc y a plus de surprise). Ça met trois plombes à démarrer, c'est mou du genou par la suite et les persos sont tous caricaturaux. Minable !

Ah les Gremlins ! Un conte moderne, un film comique, un film "geek" et un film d'épouvante et tout ca pour toute la famille ! Je trouve ce 1er épisode bien meilleur que le second qui privilégiera plus le côté comique. On a un film sombre mais agréable avec une histoire très touchante, plaisante et drôle a la manière d'un Ghostbusters.
A voir en famille ou seul, un film culte et inévitable.

Film très réussi. On rigole beaucoup et on s'attache à ces petites créatures.

un film culte qui vieillit mal .

Je viens de le finir en dvd, je m en souvenais plus du tout. Alors c est avec plaisir que j ai retrouvé cette petite boule de poils " Gysmo" tout aussi affectueuse que dans mes souvenirs.
Mais quand on dis "Gysmo" on dis "gremlins" ces affreuses créatures aussi méchante que drole.
Ca reste un classique des années 80 produit par Spielberg qui est toujours aussi sympa a voir qu on soit gamin ( a partir de 10,12 ans quand meme..) ou adulte.
Je me met le 2.

Voilà le chef d'oeuvre de Joe Dante, plus de 20 ans au compteur et un Gizmo toujours aussi mignon. La grande qualité de ce réalisateur, c'est qu'à aucun moment il ne se prend au sérieux, il ne recule devant rien pour amuser le public, et ça marche ! Aucun temps mort, l'humour omniprésent, des effets spéciaux franchement sympas et une inventivité incroyable que l'on ne retrouve malheureusement pas dans les films actuels. Un de mes classiques.

Ce film est culte, à voir (chaque année) à Noël ! Drôle et original, pour petits et grands.

C'est marrant à voir une fois mais après, c'est vite saoulant.

Préquelle au futur Small Soldiers, Gremlins est un film à l'humour noir assez spécial considéré comme culte. En effet, son ambiance est unique et ressemble à une parodie d'Alien! Certaines scènes restent superbes, notamment les gremlins au ciné ou au bar. Malheureusement, le film a plutôt mal vieilli et l'histoire est finalement plus que basique. A voir au moins une fois!

En plus d'être un carton et un classique de genre, Gremlins réuni la crème des crème, Chris Colombus au scénario, Jerry Goldsmith à la musique, Spielberg et Kennedy à la production, Joe Dante à la réal, une brochette d'acteurs, pas de premier plan mais qu'on connaît surtout pour des rôles secondaires mais toujours de qualité. Un plateau de tournage du centre ville identique à celui de Retour vers le futur... en revoyant pour la énième fois ce film, les allusions et hommages aux films et séries noires et de SF des années 50-60 est plus qu'évident. Dans les cadrages, dans les lumières, le sujet même, les affiches en arrière-plan, les films en noir et blanc etc etc... il y a une richesse incroyable directe et indirecte, c'est hallucinant. Et en servant en même temps un film divertissant drôle et horrifique pour les pré-ado. Un must absolu du cinéma qui donnera malheureusement une suite bien moins bonne.

Un rêve pour mon époque que de pouvoir avoir un moguaille, VIVE GIZMO !!

Très drôle. Les créatures sont toutes mignonnes avant la transformation. Les quelques dialogues qu'elles génèrent sont fun et les saletés qu'elles propagent le sont davantage. De vrais petits démons. On nage entre le film d'horreur et la comédie, le tout avec des effets spéciaux à l'ancienne, excellent !

Son statut culte n'est pas usurpé mais le Gremlins de Joe Dante accuse fortement le poids des ans également. Sur un scénario très basique, il nous emmène à la rencontre d'une petite boule de poil toute mignonne du nom de Guizmo, mignonne oui mais aussi très fragile. Beaucoup de précautions sont à prendre avec lui pour éviter tout désagrément ... Evidemment, ce qui devait arriver arriva et c'est la porte ouverte à tous les délires du réalisateur ! Pas le temps de s'ennuyer, ces monstres "gentils" nous offre une large palette de trucs débiles et fun qu'il est possible de faire. On s'amuse beaucoup et même si les effets spéciaux ont pris cher, la nostalgie et le fun prennent le dessus. Pour autant, on se rend compte au final que ça manque beaucoup d'émotions, il y avait sans doute possibilité de rendre tout ce beau monde bien plus attachant à mon sens. Comme l'impression qu'il manque un petit quelque chose pour en faire un grand film. Bref, la qualité d'ensemble est là et toute la famille y trouvera son compte, c'est bien là le principal.

En 1984, Joe Dante sort « Gremlins »... un film de Noël au climat inhabituel, qui va devenir immédiatement un immense classique du genre. Dès les premières images, on se retrouve plongé dans l'univers douillet d'une petite ville américaine, endormie sous une bonne couche de neige. Un père de famille rentre chez lui après avoir trouvé un « Mogwai », dans la boutique d'un étrange antiquaire asiatique. Cet animal bizarre... adorable petite boule de poils réserve pourtant son lot de surprises et la nuit de Noël ne sera peut-être pas aussi calme que d'habitude. Entre tendresse, humour débridé et une surprenante touche de fantastique (parfois à la limite du film d'horreur), le scénario se déguste comme un gros gâteau au chocolat et révèle bon nombre de scènes devenues cultes avec le temps. La séance de cinéma est sans doute la meilleure mais les clins d’œils cinématographiques sont tellement nombreux qu'il serait bien difficile d'en faire toute la liste ici. Évidemment, ce film (très marqué « années 80 ») commence a ployer sous le nombre des années, notamment au niveau des effets spéciaux. Ceci dit, son capital sympathie et sa fraîcheur sont tels qu'il reste très agréable à visionner. Il faut donc impérativement le faire découvrir à nos chers enfants (pas trop jeunes tout de même) pour faire perdurer la magie. Donc, à vos magnétoscopes, je compte sur vous !

Œuvre la plus connue de la filmographie de Joe Dante, Gremlins est un film toujours aussi génial plus de trente ans après sa sortie. L’histoire est prenante de bout en bout que ça soit dans la première partie spoiler: montrant l’adoption du gentil Gizmo par Billy
ou la seconde spoiler: montrant les ravages que causent les gremlins
.
Joe Dante arrive à mélanger le conte pour enfants avec sa situation au moment de Noël, le personnage mignon qu’est Gizmo et une narration l’évoquant spoiler: (voix-off d’introduction et de conclusion dans l’esprit des "Il était une fois", certains personnages sont des archétypes comme Madame Deagle qui rappelle la méchante voisine de Dorothy dans Le Magicien d’Oz ou Monsieur Futterman qui est un râleur très patriotique et malgré tout sympathique)
avec des éléments plus adultes comme certains thèmes spoiler: (expropriation, dépressions liées aux fêtes, évocation par M. Wing de l’aspect destructeur de l’Occident dans la séquence finale…)
, l’aspect horrifique des Gremlins et surtout son humour totalement ravageur spoiler: (qui fait que l’on est plus excité que terrifié par les Gremlins)
. Joe Dante offre un pur divertissement complètement maîtrisé et totalement décomplexé qui le transforme en une sorte de double de Steven Spielberg en version vilain garnement.
En effet, Joe Dante est un féru de cinéma et parsème son film de références au réalisateur d’E.T. qui est ici producteur délégué et dont la société Amblin Entertainment est coproductrice du long métrage avec la Warner Bros. spoiler: : l’affiche de Rockn’ Ricky Rialto parodie la graphie et le personnage d’Indiana Jones, un cinéma affiche les titres A boy’s life (titre provisoire d’E.T. l’extra-terrestre) et Watch the skies (celui de Rencontres du troisième type), un gremlin arrache des câble téléphoniques en disant "Téléphone maison" (réplique célèbre d’E.T.) et même une apparition du maître passant dans un fauteuil électrique en train de regarder Poltergeist (qu’il n’a officiellement qu’écrit et produit mais dont la paternité de la réalisation, officiellement signée Tobe Hooper, lui est régulièrement plus ou moins attribuée )…
L’aspect cinéphile de Joe Dante apparait aussi par l’omniprésence de la télévision et par la diffusion par ce biais d’une multitude de classique spoiler: : La Vie est belle (film de Noël traditionnel aux États-Unis), L’Invasion des profanteurs de sépultures (avec ses les œufs annonçant l’état de chrysalide des gremlins), Pour plaire à sa belle (dont la séquence de conduite d’automobile inspirera Gizmo à la fin), Orphée…
À tout cela s’ajoutent de multiples différences à divers films spoiler: (Planète interdite,La Machine à remonter le temps, Flashdance, James Bond, Massacre à la tronçonneuse, Star wars…) dont la plus visible est la séquence où les gremlins regardent au cinéma Blanche-Neige et les sept nains
.
En outre, l’aspect excitant du scénario de Chris Columbus et la réalisation de Joe Dante sont renforcés par des effets spéciaux extraordinaires (on croit dur comme fer, même de nos jours, à Gizmo et aux gremlins) et à la musique. Avec cette dernière, Jerry Goldsmith signe une de ses partitions les plus célèbres possédant plusieurs thèmes marquants comme celui de Madame Deagle et surtout ceux de Gizmo et des gremlins qui restent très longtemps en mémoire après la diffusion.
Film très marquant pour tout enfant ayant grandi dans les années 80 et 90, Gremlins est un véritable chef-d’œuvre de la comédie horrifique et familiale (association assez rare) qui est toujours aussi plaisant après de multiples visions et dont l’efficacité est toujours aussi puissante de nos jours.