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(...) Steven Soderbergh va beaucoup plus loin qu'une simple copie de Casablanca (pour les amants désunis) ou du Troisième Homme (pour le chassé-croisé des espions).
(...) L'hommage hollywoodien n'est que le bel écrin d'un film moderne, qui évoque la complexité morale d'une époque avec une sensibilité contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
En voulant mettre en scène une version ambiguë du finale héroïque de Casablanca, le réalisateur de Sexe, mensonges et vidéo reproduit les traits de son modèle en le vidant d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
S'il se laisse néanmoins voir sans déplaisir The Good German est trop lisse pour marquer la mémoire au-delà de la seule sympathie ressenti pour le brio et la folie de l'exercice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Reste à savoir si, transposé en couleur, The Good German aurait autant retenu l'attention, et si les ressorts dramatiqes, plutôt confus, se seraient suffi à eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Metro
On s'y perd un peu, d'autant plus que la mise en scène, trop occupée à la superbe exposition visuelle en noir et blanc, néglige un peu le rythme de l'intrigue.
(...) au fond, ce qui fait le plus cruellement défaut à The Good German, c'est le sens du détail (...) A quoi bon reproduire l'image irradiée et crue de Allemagne année zéro (...) si ce n'est même pas pour chercher à la réinventer, à la plier à son univers ? Dans The Good German pas d'imaginaire, rien que de l'imagerie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Soderbergh tombe dans l`exercice de style : l`encéphalogramme du film reste désespérément plat, la faute à un scénario confus qui, multipliant les points de vue, désamorce toute tension dramatique.
Avoir tourné avec caméra et objectifs d'époque a eu, semble-t-il, comme conséquence imprévue d'ôter toute vie, toute énergie, tout rythme à ce récit embrouillé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) Steven Soderbergh va beaucoup plus loin qu'une simple copie de Casablanca (pour les amants désunis) ou du Troisième Homme (pour le chassé-croisé des espions).
MCinéma.com
Une réussite.
Paris Match
(...) L'hommage hollywoodien n'est que le bel écrin d'un film moderne, qui évoque la complexité morale d'une époque avec une sensibilité contemporaine.
Positif
(...) Par son sujet et son traitement, si le film a quelque chose de fantômatique, il est bien de notre époque.
aVoir-aLire.com
Suspense dans le Berlin d'après-guerre. Soderbergh fait mouche en noir et blanc
Brazil
(...) il manque un petit quelque chose pour que The Good German décolle vraiment.
Brazil
Interprétation sans faille du duo maudit Cate Blanchett-George Clooney (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
On a beau trouvé que [Soderbergh] en fait un peu trop, on se laisse convaincre par les acteurs.
L'Humanité
Le film a son petit charme mais il fait terriblement du surplace.
Le Monde
En voulant mettre en scène une version ambiguë du finale héroïque de Casablanca, le réalisateur de Sexe, mensonges et vidéo reproduit les traits de son modèle en le vidant d'émotion.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) L'effet de séduction initial s'évapore inexorablement à mesure que le film avance.
Libération
S'il se laisse néanmoins voir sans déplaisir The Good German est trop lisse pour marquer la mémoire au-delà de la seule sympathie ressenti pour le brio et la folie de l'exercice.
Metro
Reste à savoir si, transposé en couleur, The Good German aurait autant retenu l'attention, et si les ressorts dramatiqes, plutôt confus, se seraient suffi à eux-mêmes.
Ouest France
On s'y perd un peu, d'autant plus que la mise en scène, trop occupée à la superbe exposition visuelle en noir et blanc, néglige un peu le rythme de l'intrigue.
Cahiers du Cinéma
(...) un assez long mix du Troisième Homme, de Casablanca et de Scandale à Berlin. Anti-Black Book autant dire.
Chronic'art.com
(...) au fond, ce qui fait le plus cruellement défaut à The Good German, c'est le sens du détail (...) A quoi bon reproduire l'image irradiée et crue de Allemagne année zéro (...) si ce n'est même pas pour chercher à la réinventer, à la plier à son univers ? Dans The Good German pas d'imaginaire, rien que de l'imagerie.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Manque de rythme, ton monocorde, scénario ordinaire : on s'ennuie ferme.
Score
(...) The Good German croule tant sous les références aux classiques de cette époque qu'il en devient un clone forcément périmé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
(...) Cette adaptation de l'Ami allemand, le roman de Joseph Kanon, ne convainc pas. Mais Cate Blanchett, en femme fatale, est sublime.
TéléCinéObs
(...) Soderbergh tombe dans l`exercice de style : l`encéphalogramme du film reste désespérément plat, la faute à un scénario confus qui, multipliant les points de vue, désamorce toute tension dramatique.
Première
(...) Un exercice de style stérile dont la prouesse est, d'ores et déjà, de mériter sa place au musée section taxidermie.
Télérama
Avoir tourné avec caméra et objectifs d'époque a eu, semble-t-il, comme conséquence imprévue d'ôter toute vie, toute énergie, tout rythme à ce récit embrouillé.