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Daniel Giraud
2 critiques
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0,5
Publiée le 5 mai 2024
film pour citadin qui ne s'est jamais balladé dans nos magnifiques forêts de chênes. prétexte de lutte ecolo . ennuyeux à souhait . pour ce qui est de la fin .A essayer de la comprendre je vais maintenant m'atteler . Ça sent un peu le foutage de g......
J’avais adoré Drive my car : la direction des acteurs était excellente et il y avait une vrai progression dans ce film. J’avais été partagé avec les Contes…Ici, tout est expérimental et les acteurs sont laissés à eux-mêmes ; ils n’incarnent rien. Même la fillette joue sans naturel. Quelle déception !
Histoire d'une confrontation entre deux conceptions de l'environnement différentes, "le Mal n'existe pas" porte remarquablement son nom. Sorte de fable environnementaliste au rythme volontairement lent, le film de Ryūsuke Hamaguchi joue de l'absurde d'un projet de camping mal-ficelé pour montrer que ses promoteurs comme ses opposants n'ont que des intérêts à faire valoir ; qu'au fond, les uns comme les autres ne sont pas mauvais, que ce sont des êtres humains avec leurs qualités et leurs failles. Après-tout, ne sont-ils pas un peu tous des étrangers tentant de cohabiter avec cette nature à l'équilibre fragile ? Entre deux, la petite Hana, symbole de l'innocence. Aussi, la fin laisse t-elle perplexe. spoiler: Le problème qu'elle pose ne concerne pas tant la mort d'Hana que celle de Takahashi, qui est tout à fait incompréhensible ; pourquoi ? A quoi correspond-elle ? Sortant de nulle-part, elle prend complètement au dépourvu, ce qui donne le sentiment qu'elle est plutôt à considérer sous l'angle métaphorique. Pour dire quoi ? Le fait-est qu'elle n'est pas là pour conclure "l'intrigue". Car le tour de force réalisé par le réalisateur est de parvenir à ouvrir des pistes de réflexion sur notre rapport à l'environnement, aux autres et à soi, via l'activité exercée par les deux promoteurs du projets qui, finalement, se retrouvent pris dans un dilemme éthique. C'est tout à fait réussi. Le Mal n'existe pas ne nous dit pas ce que nous devons penser, il laisse libre cours à l'interprétation.
un scénario pauvre qui, sur un film français, ne passerait pas du tout. alors pourquoi le passer sur un film japonnais ? Le film reste sympathique. mais sa fin est ambiguë et a fait se poser des questions à bien des spectateurs.
habituellement, j'aime la lenteur de certains films japonais... l'idée de départ est bonne, la cohésion des habitants pour rechercher un enfant perdu. Le début est cohérent, j'ai siesté pendant 30mn à la moitié du film. fin en queue de 🐠
Quelle déception ! Le soit disant chef d'œuvre porté au nues par la critique est d'un ennui abyssal....mis à part quelques brefs moments intéressants, et encore... aucune magie n'a opéré sur moi, pourtant extrêmement sensible à la nature...des le générique l'ennui et l'impatience...15 mn d'ouverture ou on voit la.cime des arbres et un homme tronçonner et couper du bois et les transporter dans une. brouette... puis fumer et remplir des bidons d eau...au secours
Après avoir vu ce film, vous ne saurez probablement pas davantage qu’au debut, si le mal n’existe pas,
En revanche, vous aurez acquis la certitude que les films très ennuyeux existent. Les deux heures de votre vie que vous aurez perdues à regarder des photos de sous bois et des images de wasabi sauvage, vous ne les retrouverez probablement jamais
À fuir. Sauf peut être, pour ceux qui apprennent le japonais et veulent perfectionner leur compréhension. En fermant les yeux puis en les recouvrant, vous avez le temps d’écouter les dialogues et de comparer ce que vous avez compris avec les sous-titres étant donné que les dialogues sonf poussifs …
Découverte du cinéma de R.Hamaguchi. « Le mal n’existe pas » est un film à la fois écologique et critique sur la société japonaise, mais également très mystérieux notamment avec sa fin ouverte. La beauté de la nature, la violence latente ainsi que la très belle musique de la compositrice E.Ishibashu font la singularité de cette œuvre dramatique.
Ce film, à la limite du documentaire, dessine un paysage bouleversant d'une nature partagée avec les habitants d'un petit village reculé du Japon et les nouvelles organisations touristiques. Ce film est d'une beauté rare et plonge de ce fait le spectateur dans une fable contemplative. Entre métaphore et clin d'œil, le réalisateur laisse son public sourire de ses personnages terriblement humains. Ainsi, ce film à la lisière de plusieurs genres offre une magnifique réflexion autour de l'équilibre et de la perspective.
Sentiments mitigés. C’est un un beau film, une belle histoire. Les acteurs et actrices sont excellents, particulièrement le personnage principal qui garde un masque impénétrable, à la fois inquiétant et apaisant. C’est un scénario dans lequel il n’y a pas de dialogue en trop, mais à qui il manquerait une conclusion : la fin est dans les limbes… Aussi, on m’avait promis des plans époustouflants, mais je n’ai pas réussi à être impressionné. Certes la nature est bien filmée, mais l’image numérique est froide, trop nette, sans mystère, à vous faire regretter les pellicules d’antan.
Pas le chef d'oeuvre encensé par la critique, sans doute parisienne et bien pensante, mais pas non plus le navet que certains décrivent. Les images sont très belles, c'est plutôt bien joué, on y retrouve bien le côté mystérieux de la société japonaise, et au final on sort en se posant des questions. Mais par contre c'est très lent, surtout au début où j'ai fini m'assoupir, et on finit par rater le propos du cinéaste derrière ce côté qui se veut énigmatique voire poétique. Bref pas une parabole universaliste sur le mal, mais presque un documentaire ethnologique.
magnifique film sur la communion entre la nature et les habitants d'un village reculé du Japon complètement étranger à la vie citadine. Le mal n'existe pas,la nature fait son œuvre.... très belle scène de la réunion d'information du village pour l'implantation d un camping pour bobos appelé Glamping..... pour faire du fric en définitive en dépit de l'équilibre des richesses de la nature et de ses habitants .