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    The Sweet East
    Note moyenne
    3,7
    18 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Culturopoing.com
    • Les Inrockuptibles
    • Ecran Large
    • GQ
    • La Septième Obsession
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Mad Movies
    • Ouest France
    • Télérama
    • Critikat.com
    • Le Figaro
    • Première
    • aVoir-aLire.com
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Olivia Cooper-Hadjian

    Dénonçant de-ci de-là la condescendance des Européens à leur égard, le film révèle une affection pour ce pays, ses habitants et ses territoires, malgré une Histoire qui peut s’apparenter à un naufrage permanent. S’il est émaillé d’une violence qui renvoie aux tueries, guerres et massacres qui y ont fleuri, celle-ci est traitée sur le mode d’un grand-guignol cathartique, plutôt que de la pénitence. 

    Culturopoing.com

    par Eleonore Vigier

    Avec son côté absurde et empli d’humour noir, "The Sweet East" compose en filigrane du voyage une symphonie de l’adolescence, entre quête identitaire, désir de provocation et d’émancipation, et jeux de rôles.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Les Inrockuptibles

    par Arnaud Hallet

    Le film est une variation autour du road movie, conte à tiroirs où chaque fantaisie s’évanouit dans la suivante sans crier gare, soumis à la seule volonté d’une innocence farouche.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Ecran Large

    par Antoine Desrues

    Aussi irrésistible que son actrice Talia Ryder, "The Sweet East" fascine à chacun des virages narratifs de son escapade américaine. Une comédie rafraîchissante au cœur d’un conte de fées désenchanté.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    GQ

    par Clément Deleschaud

    Une comédie agressive, vivifiante et sans compromis.

    La critique complète est disponible sur le site GQ

    La Septième Obsession

    par La rédaction

    Un premier long-métrage à ne pas rater.

    Le Monde

    par M. Jo.

    En creux, le voyage de Lillian dessine le portrait d’un pays complètement paumé, traversé de mouvements aberrants et de communautés auxquelles il ne reste qu’une toute dernière expérience à vivre : celle de la radicalité politique qui tourne à vide et n’a plus prise sur le monde.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Gilles Tourman

    Un film drôle et terrible, qui flirte avec le conte.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Sandra Onana

    Sacrée promenade, euphorisante dès les premiers instants alors même que la violence s’invite en fanfare, comme un méchant délire de plus. Les péripéties s’étirent ou s’accélèrent dans une bulle de fureur flottante, chargée d’étrangeté, le film tenant sa note ésotérique jusqu’au bout. Toutes les radicalités se sont données rendez-vous dans une seule virée.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Mad Movies

    par Gilles Esposito

    "The Sweet East" glisse au travers d'univers très disparates qui sont autant de facettes d'une Amérique éclatée, mais il glisse aussi à l'intérieur de chaque épisode, où les clichés sont jetés aux orties.

    Ouest France

    par Thierry Cheze

    Si le film part un peu dans tous les sens, il raconte le chaos post-Trump avec une acuité saisissante.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Or le cinéaste, Sean Price Williams, qui fut le brillant chef opérateur des frères Safdie (notamment pour Good Time, avec Robert Pattinson), filme ces ermites et ces excentriques — ou pire — sans condescendance ni effroi, en débusquant aussi leur fragilités, en révélant la drôlerie involontaire de leurs univers respectifs.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Critikat.com

    par Clément Colliaux

    L'éclatement du récit, qui confère au film une fraîcheur manifeste, constitue ceci dit l’une de ses limites : si la profusion d’idées est souvent réjouissante, elle génère à la longue un certain épuisement.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Figaro

    par Constance Jamet

    Que serait le cinéma d’auteur américain sans ses road trips et ses parcours initiatiques ? The Sweet East de Sean Price Williams est une des belles pépites dénichées l’an passé par le Festival de Deauville, qui lui a décerné, à juste titre, le prix du jury.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Première

    par François Léger

    Pourtant le film survit à toutes ses ruptures de ton, grâce à un humour noir féroce et à la performance incroyable de son héroïne : Talia Ryder hypnotise la caméra à la seule force de quelques moues et de ses yeux gris-bleus. Déjà la révélation de l’année.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    aVoir-aLire.com

    par Fabrice Prieur

    Un voyage initiatique survolté, mais un peu artificiel en raison de ses trop nombreuses situations.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Variation d’Alice au pays des merveilles option bad trip, le film résolument onirique lasse le spectateur avec son scénario tentaculaire et bavard, sa mise en scène un brin poseuse. Reste le charisme insolent de la formidable Talia Ryder.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Se présentant, non sans prétention, comme une version moderne de « Alice au pays des merveilles » qui voudrait dresser une photographie de l’Amérique marginale post-Trump, « The Sweet East » a plutôt tout d’une petite chose indépendante qui veut jouer, sans jamais y parvenir, dans la cour des grands, et s’avère au final assez inconséquente et d’un ennui profond.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
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