Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film original donne l’impression de voir la musique et de la vivre en même temps que les jazzmen.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Les choix musicaux contribuent évidemment à cette réussite, reposant en partie sur le travail subtil de l’incroyable Hiromi Uehara, à la fois compositrice de la BO, interprète au piano des morceaux joués par les Jass – le trio fictionnel – et directrice musicale du film : un Blue Giant peut en cacher une autre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Le film et transcendent une histoire assez classique.
Franceinfo Culture
par Neil Senot
Alors que "Blue Giant" propose une animation relativement attendue, le film s'envole lors des moments de performance musicale, propose des images presque psychédéliques. Fidèle à l'œuvre originale, l'adaptation cinématographique fait de la musique pour les oreilles, mais aussi pour les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Ces morceaux de bravoure sont la clé de voûte du film et transcendent une histoire assez classique.
Le Monde
par J.-F. R.
Le graphisme du film restitue habilement le décor d’un Tokyo stylisé, pluvieux et nocturne, ses petits bars et ses salles de concerts. Et lorsque les solistes donnent, au cours des nombreux concerts qui émaillent le film, le meilleur d’eux-mêmes, l’image semble prise d’une frénésie toute particulière, dérivant de la figuration pure et précise pour parvenir à une forme d’abstraction sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Bénédicte Agoudetsé
Outre la beauté des images, c’est l’occasion de (re) découvrir le génie de l’artiste internationale nippone Hiromi, pianiste virtuose devenue une star au début des années 2000, qui a composé la bande originale du film, et notamment celle des scènes live. Les films sur le jazz sont rares, les mangas encore davantage. Un savoureux mélange.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur orchestre de fougueuses séquences musicales où l'image se convulse comme une pieuvre.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Visuellement ambitieuse et virtuose, cette adaptation du manga de Shin’ichi Ishizuka n’oublie pas, pour autant, de soigner son récit tout en émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le spectacle d’une transe rendue possible par le pouvoir euphorique et physique de la musique dévoile son plus précieux sortilège : le saxophone se fait cosmos. Et le coup de chaud est total.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
La trame est classique, une suite d’épreuves pour conquérir le Saint Graal - jouer en concert dans la plus grande salle de Tokyo - mais chaque passage musical est un régal, nous transportant dans le fameux état second que provoque parfois la musique live.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Cette utilisation de différentes techniques enchaînées à la perfection permet au couple musicien-animateur de se dépasser et d'atteindre la célèbre note bleue dont rêvent tous les jazzmen.
Première
par Sylvestre Picard
Blue Giant joue une tension très excitante entre le respect des clichés du shonen et leur rejet, tension illustrée par un joli procédé de cinéma : utiliser la capture de mouvements de vrais musiciens lors des scènes de concert, en opposition à l’animation traditionnelle du reste. L’histoire est classique, l’effet est épique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par M.L.
Ce film d'animation japonais puise sa force dans l'inventivité de la mise en scène des moments musicaux. Le pouvoir d'évocation de son dessin stylisé est très impressionnant.
IGN France
par Benjamin Benoit
Les fans d'animation tiqueront sur les modèles 3D lacunaires, tous les autres y verront un produit d'appel efficace pour le manga. Blue Giant, le film, est avant tout une expérience musicale, c'est son atout et son problème.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mouvements circulaires et décadrages magistraux repoussent les limites du formel. Avec pour seule limite une frénésie qui, sur la durée, se répète et épuise un peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Adaptation animée d’une série de mangas à succès sur le jazz, Blue Giant est une relecture stimulante quoique parfois maladroite de ce récit initiatique sur un jeune mordu de sax ténor qui rêve de devenir une vedette de la musique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par La Rédaction
Tout est ici présenté au premier degré, de style naïf, porté de bout en bout par des images au graphisme élégant et par une bande originale jazzy où les compositions de la pianiste Hiromi Uchara se mêlent au beau thème « Impressions » de John Coltrane. Avis aux fans !
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Formellement, c’est plutôt joli, voire assez impressionnant dans les séquences live [...]. Pour le reste, ça dépendra intégralement de votre perméabilité au jazz [...] et à votre assentiment à l’idée assez détestable d’aborder l’expression artistique comme une compétition sportive.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Niveau narration, on est en terrain connu. Heureusement, le trip fonctionne grâce à ses séquences musicales enivrantes.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le trait séduit par son réalisme quotidien, pour devenir enivrant dans les séquences musicales. Volontiers psychédéliques, elles transmettent le tempo fiévreux et font apercevoir la moindre goutte de sueur des improvisations.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce film original donne l’impression de voir la musique et de la vivre en même temps que les jazzmen.
Cahiers du Cinéma
Les choix musicaux contribuent évidemment à cette réussite, reposant en partie sur le travail subtil de l’incroyable Hiromi Uehara, à la fois compositrice de la BO, interprète au piano des morceaux joués par les Jass – le trio fictionnel – et directrice musicale du film : un Blue Giant peut en cacher une autre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film et transcendent une histoire assez classique.
Franceinfo Culture
Alors que "Blue Giant" propose une animation relativement attendue, le film s'envole lors des moments de performance musicale, propose des images presque psychédéliques. Fidèle à l'œuvre originale, l'adaptation cinématographique fait de la musique pour les oreilles, mais aussi pour les yeux.
Le Dauphiné Libéré
Ces morceaux de bravoure sont la clé de voûte du film et transcendent une histoire assez classique.
Le Monde
Le graphisme du film restitue habilement le décor d’un Tokyo stylisé, pluvieux et nocturne, ses petits bars et ses salles de concerts. Et lorsque les solistes donnent, au cours des nombreux concerts qui émaillent le film, le meilleur d’eux-mêmes, l’image semble prise d’une frénésie toute particulière, dérivant de la figuration pure et précise pour parvenir à une forme d’abstraction sensorielle.
Le Parisien
Outre la beauté des images, c’est l’occasion de (re) découvrir le génie de l’artiste internationale nippone Hiromi, pianiste virtuose devenue une star au début des années 2000, qui a composé la bande originale du film, et notamment celle des scènes live. Les films sur le jazz sont rares, les mangas encore davantage. Un savoureux mélange.
Les Echos
Le réalisateur orchestre de fougueuses séquences musicales où l'image se convulse comme une pieuvre.
Les Fiches du Cinéma
Visuellement ambitieuse et virtuose, cette adaptation du manga de Shin’ichi Ishizuka n’oublie pas, pour autant, de soigner son récit tout en émotion.
Les Inrockuptibles
Le spectacle d’une transe rendue possible par le pouvoir euphorique et physique de la musique dévoile son plus précieux sortilège : le saxophone se fait cosmos. Et le coup de chaud est total.
Paris Match
La trame est classique, une suite d’épreuves pour conquérir le Saint Graal - jouer en concert dans la plus grande salle de Tokyo - mais chaque passage musical est un régal, nous transportant dans le fameux état second que provoque parfois la musique live.
Positif
Cette utilisation de différentes techniques enchaînées à la perfection permet au couple musicien-animateur de se dépasser et d'atteindre la célèbre note bleue dont rêvent tous les jazzmen.
Première
Blue Giant joue une tension très excitante entre le respect des clichés du shonen et leur rejet, tension illustrée par un joli procédé de cinéma : utiliser la capture de mouvements de vrais musiciens lors des scènes de concert, en opposition à l’animation traditionnelle du reste. L’histoire est classique, l’effet est épique.
Télé 2 semaines
Ce film d'animation japonais puise sa force dans l'inventivité de la mise en scène des moments musicaux. Le pouvoir d'évocation de son dessin stylisé est très impressionnant.
IGN France
Les fans d'animation tiqueront sur les modèles 3D lacunaires, tous les autres y verront un produit d'appel efficace pour le manga. Blue Giant, le film, est avant tout une expérience musicale, c'est son atout et son problème.
L'Obs
Mouvements circulaires et décadrages magistraux repoussent les limites du formel. Avec pour seule limite une frénésie qui, sur la durée, se répète et épuise un peu.
La Croix
Adaptation animée d’une série de mangas à succès sur le jazz, Blue Giant est une relecture stimulante quoique parfois maladroite de ce récit initiatique sur un jeune mordu de sax ténor qui rêve de devenir une vedette de la musique.
Le Point
Tout est ici présenté au premier degré, de style naïf, porté de bout en bout par des images au graphisme élégant et par une bande originale jazzy où les compositions de la pianiste Hiromi Uchara se mêlent au beau thème « Impressions » de John Coltrane. Avis aux fans !
Libération
Formellement, c’est plutôt joli, voire assez impressionnant dans les séquences live [...]. Pour le reste, ça dépendra intégralement de votre perméabilité au jazz [...] et à votre assentiment à l’idée assez détestable d’aborder l’expression artistique comme une compétition sportive.
Sud Ouest
Niveau narration, on est en terrain connu. Heureusement, le trip fonctionne grâce à ses séquences musicales enivrantes.
Télérama
Le trait séduit par son réalisme quotidien, pour devenir enivrant dans les séquences musicales. Volontiers psychédéliques, elles transmettent le tempo fiévreux et font apercevoir la moindre goutte de sueur des improvisations.