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    Scrapper
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    Ufuk K
    Ufuk K

    473 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    "Scrapper" qui a obtenu 14 nominations aux British Independent Film Awards 2023 est un drame social anglais qui finit par émouvoir. En effet même si le scénario est un peu léger et que l'histoire a du mal à décoller, j'ai fini par être ému par l'histoire de Georgie, 12 ans, qui vient de perdre sa mère et qui revoit son père apparaitre dans sa vie, le tandem formé par la jeune Lola Campbell et Harris Dickinson fonctionne bien à l'écran dans une histoire émouvante et amère.
    Direct-actu.fr
    Direct-actu.fr

    206 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2024
    "Scrapper", film de Charlotte Regan, explore l'acceptation et la paternité. Lola Campbell, novice au cinéma, incarne Géorgie après une audacieuse vidéo de casting. Harris Dickinson joue Jason, un jeune père. Inspirée par le cinéma de la classe ouvrière, Regan cherche à transmettre la joie de vivre malgré le deuil. Le choix d'une banlieue londonienne reflète l'intimité de Géorgie. La dimension cartoonesque souligne sa maturité dans un contexte ouvrier. La directrice de la photographie Molly Manning Walker, récompensée à Cannes, apporte une expertise visuelle. Le film séduit les festivals, dont Sundance, témoignant de son exploration visuelle et émotionnelle des défis de la vie.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    109 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Georgie est une petite fille très débrouillarde qui a appris à vivre seul depuis le décès de sa mère. Elle passe ses journées avec Ali à voler et revendre des vélos. Un jour, son père biologique débarque et elle le rejette, ne souhaitant pas que sa vie soit dirigée par un adulte et encore moins par un qu'elle ne connaît pas. Il va essayer d'apprivoiser sa fille en faisant preuve de patience. En salle le 10 janvier.

    spoiler: Scrapper est une histoire touchante. La relation de la petite fille à sa mère est très jolie à regarder : elle a beau avoir l'esprit d'une adulte, elle n'en reste pas moins une enfant, qui tente de construire un pont vers le ciel pour retrouver sa mère. Les scènes sont tournées avec goût, couleur et une bonne dose d'humour, on sent que la réalisatrice aime ses personnages et se moque d'une administration déjouée par une enfant de 12 ans. L'image de cette banlieue anglaise est loin d'être misérabiliste, contrairement à une majorité de films tournés dans les mêmes environnements. Une belle découverte!
    FaRem
    FaRem

    7 587 abonnés 8 921 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2023
    Suite à de tragiques circonstances, Georgie, 12 ans, vit seule dans un appartement et elle fait tout pour que cela reste ainsi. Elle n'est pas du genre à se plaindre ou à demander de l'aide. Alors que les services sociaux et les voisins pensent qu'elle vit avec son oncle, Georgie fait preuve d'une grande débrouillardise pour vivre ou plutôt survivre. Cependant, l'arrivée de son père qu'elle n'a jamais connu vient perturber le quotidien qu'elle s'est créé. Entre le portrait d'une petite fille forcée de grandir trop vite et cette relation père-fille à construire, "Scrapper" est un drame britannique doux, subtil et attendrissant qui évoque également le deuil d'un enfant. Une petite tranche de vie aussi simple que charmante qui doit beaucoup à l'authentique interprétation de la petite Lola Campbell. Je n'ai pas trouvé ça bouleversant ou d'une grande originalité, mais c'est pas mal et surtout plaisant à suivre.
    traversay1
    traversay1

    3 170 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 octobre 2023
    Un critique a écrit que Scrapper ressemblait à la rencontre du cinéma de Ken Loach avec celui de Wes Anderson. La comparaison est un peu osée mais il y a de cela dans le premier long-métrage de la Britannique Charlotte Regan. Le mélange d'un fond social avec une forme colorée permet d'agrémenter un récit qui, sans cela, aurait pu être sinistre avec une fillette de 12 ans pour héroïne, Georgie, récente orpheline de mère et qui vit seule en volant des bicyclettes pour payer le loyer. La rencontre avec un père qui semble bien plus immature qu'elle constitue l'argument narratif principal et chaque spectateur devinera sans peine ce qui va arriver entre ces deux inconnus. Le côté prévisible de l'ensemble n'empêche pas de prendre du plaisir à un film qui fait ça et là preuve de créativité visuelle et laisse souvent de côté le réalisme qui voudrait par exemple que les services sociaux interviennent dans la vie de Georgie. La durée réduite de Scrapper convient finalement bien à un film qui n'a pas besoin d'en dire davantage pour que les situations soient comprises et pour éviter un excès de pathos. Restait à trouver une interprète capable de donner toute sa vitalité et sa capacité à nuancer les facettes d'un personnage aussi central dans le film. Pas de fausses notes avec Lola Campbell, parfaite de bout en bout et attachante, avec une économie de moyens et de mimiques salutaire.
    Cinememories
    Cinememories

    446 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2024
    "Acclamé au festival Sundance 2023, Scrapper nous arrive avec des pensées positives. Malgré le chagrin étouffé d’une jeune orpheline, on se laisse surprendre par ce paysage de la classe ouvrière londonienne. Les individus qui peuplent cet univers étroit et labyrinthique ne peuvent qu’entrer en collision. Charlotte Regan capte ainsi, sur le vif, la trajectoire de deux êtres qui ont tout à découvrir l’un de l’autre, quitte à renoncer à leur rébellion intérieure. Une comédie fantaisiste et bienveillante !"

    "La jeune Georgie entretient rigoureusement son petit lotissement à Chigwell, bien trop silencieux pour que ce soit normal. Elle met un point d’honneur à préserver ce « monde d’avant », au risque de perdre ses souvenirs les plus forts. Seule pour répondre à ses besoins, Georgie ne pourra pas leurrer les services sociaux très longtemps. [...] Le film préfère le virage d’une rédemption moins directe, en conjuguant la problématique de la paternité au deuil que subit la jeune scrapper (argot anglais pour qualifier la volonté indomptable et bagarreuse de l’héroïne). Le retour de son présumé père Jason devient l’occasion idéale de créer d’autres souvenirs, de bâtir un nouvel avenir commun. Ces deux êtres qui n’ont pas fini de regretter leur perte ont encore tout à célébrer dans leur amitié symbolique. C’est cette ambiance des quartiers de la classe ouvrière que Charlotte Regan cherche à restituer, où tout le monde se connaît et où l’entraide est précieuse."

    "Cette petite fille, qui porte gaiement le maillot de football de West Ham, ne se contente donc pas de cocher toutes les cases du deuil sans remettre en question l’irruption de Jason dans sa vie. À force de chercher quelqu’un avec qui danser, elle s’est trouvé un partenaire idéal pour l’accompagner dans une ascension optimiste et sans limites. Scrapper célèbre cette tendance et peut compter sur son duo de comédiens pour pétrir son récit de sagesse et de tendresse."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    Yves G.
    Yves G.

    1 325 abonnés 3 319 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    Georgie (Lola Campbell), douze ans à peine, vient de perdre d’une longue maladie sa mère qui l’élevait seule. La gamine s’est inventé un oncle pour tromper la vigilance des services sociaux. Elle réussit parfaitement à se gérer seule avec l’argent qu’elle gagne en trafiquant des vélos volés. Mais un jour son père biologique(Harris Dickinson remarqué dans "Sans filtre"), adulescent immature qui vivait jusqu’alors de petits boulots à Ibiza, débarque chez elle et s’y installe au grand dam de Georgie.

    Scrapper est le premier film de Charlotte Regan. Molly Manning Walker, qui vient de réaliser "How to Have Sex", dont j’ai dit ici tout le bien que j’en pensais, la secondait sur le plateau. Grand prix du jury au festival de Sundance 2023 dans la catégorie des films étrangers, remarqué au festival de Dinard l’automne dernier, Scrapper porte haut les couleurs d’un jeune cinéma britannique en plein renouveau.

    C’est un film mignon aux airs de déjà-vu.
    Déjà vues les comédies dramatiques tournées dans ces banlieues de l’Angleterre post-thatchérienne si souvent filmées par Stephen Frears ou Ken Loach où le ciel, bas et lourd, pèse comme un couvercle.
    Déjà vus les gadgets visuels à la "Trainspotting" censés donner un coup de fouet à un scénario un peu mollasson.
    Déjà vus des gamins débrouillards capables, sans leurs parents, de s’assumer seuls, voire, renversant l’ordre naturel, assumant eux-mêmes la direction de foyers aux parents dysfonctionnels
    Déjà vus enfin, comme dans le récent "Aftersun", qui avait enthousiasmé la critique, ces duos père-fille voués évidemment à se réconcilier en dépit des obstacles.

    Malgré tous ces défauts, malgré son scénario cousu de fil blanc, "Scrapper" – la bagarreuse en anglais – n’en reste pas moins un feel good movie attachant doublé d’une réflexion touchante sur le deuil.
    Fiers R.
    Fiers R.

    63 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 septembre 2023
    En sortant de « Scrapper » on se dit que ce charmant petit long-métrage développe beaucoup d’accointances avec le premier film d’une autre Charlotte. Britannique elle aussi. En effet, le premier travail de Charlotte Regan fait penser à celui de Charlotte Riley, « Aftersun », qui dépeignait également la relation entre une petite fille et son jeune père. Mais ici on est davantage dans un courant plus social, lointain cousin des Loach et Cie, que dans le côté plus atmosphérique et contemplatif du film acclamé de Wells l’an passé. Plus anodin mais tout aussi mignon, le film est en revanche tout aussi juste concernant la relation de ses deux protagonistes, dans une veine touchante et réaliste.

    Passée par Sundance, cette chronique plus douce et tendre que dramatique, nous conquiert durant quatre-vingt minutes top chrono. Il n’en aurait d’ailleurs pas fallu plus tant le récit est plutôt adroitement concis et resserré mais ne raconte au final pas grand-chose outre ces deux solitudes qui vont tenter de s’apprivoiser. La jeune Lola Campbell s’ajoute à la très longue liste des enfants comédiens qui nous scotchent par la puissance et la justesse de leur jeu. On ne va pas citer d’exemples tant ils sont désormais nombreux à marquer le cinéma par leur jeu naturel et solaire. Avec le tout aussi prometteur mais plus connu Harris Dickinson (le jeune influenceur de la Palme d’or de l’an passé « Sans filtre »), ils forment un duo totalement convaincant dont les rapports amusent au début avec malice puis finissent par nous toucher en plein cœur.

    La mise en scène de Charlotte Regan pour son « Scrapper » est assez sommaire mais elle se pare de quelques coquetteries rigolotes comme ces inserts face caméra où des quidams du quartier donnent leur avis sur le comportement de la petite fille. La jeune cinéaste s’amuse aussi des couleurs vives des maisons du quartier qui tranchent avec la tristesse de ces zones pauvres. Le film regorge de petites séquences amusantes dues aux méfaits de Georgie et à son bagout assorti de débrouillardise. On note tout de même que le fait de voir une gamine d’à peine douze ans vivre et se gérer toute seule semble quelque peu improbable. Une première œuvre donc plutôt sympathique et gentille dont la justesse de regard sur l’enfance et la paternité ainsi que la tendresse nous touche mais qui ne marquera pas non plus les mémoires avec son côté minuscule et insignifiant.

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    velocio
    velocio

    1 200 abonnés 3 045 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    Voilà un film où on est très vite fixé : 2 minutes ne sont pas écoulées qu'on sait déjà qu'on va avoir droit à un réalisation et un montage qui vont faire dans l'épate avec une petite comédienne de 12 ans qui ne va avoir aucun scrupule à cabotiner. A priori, le sujet était intéressant : Georgie la querelleuse (the scrapper) a perdu sa mère quelques mois auparavant, une mère qui l'avait élevée seule. Et voilà que débarque Jason, son père, un homme pas franchement plus "adulte" que Georgie et le film va raconter le rapprochement qui s'opère petit à petit entre Georgie et ce père. Le sujet est intéressant mais ce qu'en fait Charlotte Regan (dont c'est le premier long métrage de cinéma) est catastrophique, son seul mérite étant d'être court (1 h 24 mn). J'aurais dû me méfier : beaucoup de critiques ont comparé ce film à "Aftersun", un film sorti il y a un an et que j'avais cordialement détesté, et Charlotte Regan a fait appel pour la photo à Molly Manning Walker, la réalisatrice de "How to have sex" qui est loin de m'avoir laissé un souvenir impérissable. On notera que le rôle de Jason est interprété par Harris Dickinson, qu'on a vu récemment dans "Sans filtre" et dans "Là où chantent les écrevisses".
    Pierre L.
    Pierre L.

    17 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2024
    DÉCEPTION.scénario léger voire creux.histoire simplette remplie d’invraisemblances.On n y croit pas franchement . Ça dans la lignée de Ken Loach??Non on est à des kilomètres.Aucune profondeur dans l histoire.Déçu.J ai failli partir en plein film.faible qualité.
    missfanfan
    missfanfan

    77 abonnés 833 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Film vu par défaut il correspondait à mes horaires ,eh bien bonne surprise sur un sujet pas des plus gai ,le réalisateur signe un film sans misérabilisme et la petite jeune du premier rôle est vraiment très bien et l'histoire prenante
    The Mister Movie
    The Mister Movie

    50 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Doté d’une durée assez courte ou encore d’un petit budget on peut parfois faire des petites merveilles et c’est que nous montre Charlotte Regan. Le film est doté d’un scénario touchant et d’un Harris Dickinson convaincant et une petite découverte nommé Lola Campbell. .
    La réalisatrice s'inspire un peu de Damien Chazelle dans sa façon de filmer, on la surnomme "whip-pan", et elle soulignera les superbes paysages de cette magnifique banlieue londonienne signée par Molly Manning Walker.
    Joce2012
    Joce2012

    179 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2024
    Scenario surréaliste parfois un peu difficile à comprendre, histoire triste d'une petite fille très combative
    Abus Dangereux
    Abus Dangereux

    38 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2024
    Georgie (Lola Campbell), 12 ans, vient de perdre sa mère qui l’élevait seule. Jason (Harris Dickinson), son père, qui avait jusqu’alors brillé par son absence, fait sa réapparition pour s’occuper d’elle. « Scrapper » nous montre comment ces deux personnages vont s’apprivoiser l’un l’autre. Ca pourrait être d’une tristesse absolue, et c’est le contraire. Sous le soleil, dans cette banlieue londonienne ouvrière ou s’exerce une solidarité certaine, la jeune Georgie, avec son air buté, va faire preuve d’une sacrée résilience. Très débrouillarde, douée d’une grande imagination, elle affrontera d’abord son père, grand adolescent qui ne se pense pas à la hauteur pour élever un enfant, mais qui révélera très rapidement un cœur gros comme ça. La mise en scène est pleine de bonnes idées ainsi que tout ce qui relève de l’imaginaire. Les deux acteurs sont parfaits. « Scrapper », malgré son point de départ dramatique est un bon petit feel good movie.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    207 abonnés 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2024
    Géorgie, 12 ans, vit seule depuis la mort de sa mort. Elle a réussit à faire croire à tout le monde que son oncle Winston Churchill veillait sur elle grâce à une imagination et un sens de la débrouille très développés. Mais son plan va se retrouver chambouler quand Jason, un jeune homme qui se présente comme son père fait son apparition. Une rencontre bouleversante, puissante. C’est tendre et magnifique. Harris Dickinson est étincelant.
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