Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
“Savoir vieillir, that is the question”, dit à Miguel son ami Max (Mario Pardo), monteur et collectionneur de copies de films, avant de lui donner sa méthode : “sans peur et sans espoir”. Et c’est ainsi, sans peur et sans espoir, que semble avancer le film, en prenant tout son temps, en donnant le sentiment, devenu rare, que chaque plan et chaque scène prennent exactement la durée qu’il leur faut.
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Ode magnifique au cinéma, "Fermer les yeux" nous livre l’œuvre crépusculaire et testamentaire d’un artiste aussi rare que radical et son dernier plan, emblématique et poignant, nous hantera longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Céline Rouden
Trente ans après Le Songe de la lumière, l’Espagnol Victor Erice revient dans les salles avec un opus testamentaire fascinant sur la puissance du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Innervé par la mélancolie, le récit, qui parle de mémoire, de deuil, de vieillissement et de réparation, tout en proposant une réflexion sur le cinéma, tient son ampleur de son dépouillement absolu qui dit l'essentiel.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une merveille, pas moins.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Cette fois, Erice s’intéresse à l’autre versant de la vie, quand le corps et l’esprit menacent de lâcher. D’un calme majestueux et d’une simplicité radicale, "Fermer les yeux" s’ancre dans la tradition de l’art testamentaire et dans celle des hommages au cinéma, sans pour autant dérouler un programme joué d’avance. Comme son héros lancé dans une quête qui s’impose à lui, le film divague, trouve sa forme à mesure qu’il se déploie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le vétéran espagnol Victor Erice, 83 ans, signe un film bouleversant sur un cinéaste à la recherche d’un acteur disparu et de son propre passé. Cette fiction magistrale sur la mémoire et l’identité s’impose comme l’une des réussites majeures de l’année 2023.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Non seulement, Victor Erice signe un grand mélo à l'ancienne, où l'on chante la nostalgie et la beauté de l'existence au coin du feu (l'une des plus belles scènes de l'année, improvisée sur le tournage), mais il revisite aussi son cinéma, comme s'il effectuait le palindrome de sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Serge Kaganski
Captivant et bouleversant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Esthète du cinéma mais pas seulement, Victor Erice s’est toujours plu à jouer avec le temps et l’espace. Fermer les yeux est une bonne façon de s’initier au travail sensible de ce réalisateur passionnant qui planche depuis des années sur ses mémoires filmés qu’on espère découvrir un jour.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Marin Gérard
Un étrange film candide, à la fois décevant et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans ce film testamentaire, beau comme un réalisateur raté reprenant à la guitare la chanson de « Rio Bravo », « My Rifle, My Pony and Me », en compagnie de deux vieux pêcheurs, il y a une sagesse, une mélancolie et une pureté du regard qui renvoient aux origines du 7e art et à une émotion primitive de spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Qu’on ne s’y trompe pas : nos yeux sont grands ouverts durant les presque trois heures du nouveau Victor Erice, sans doute l’un des cinéastes les moins prolifiques au monde.
Le Monde
par J. Ma.
Les deux récits – l’un supposément fictionnel, l’autre supposément réel – forment ainsi comme une spirale baroque qui se noue pour l’essentiel autour de la figure de la disparition. A commencer par celle du cinéma, cet art ancien de réveiller les morts, dont Erice fait ici une discrète élégie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
À travers une amitié perdue, c’est tout son cinéma que ressuscite Victor Erice, dont le dernier film remontait au début des années 1990. Brillamment écrit, "Fermer les yeux" est un drame d’une telle qualité qu’on en vient à regretter la rareté du cinéaste espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Une sorte d’autoportrait en deux directions, deux idéaux portés à des états extrêmes : celui qui se souvient trop et celui qui a trop oublié, l’hypermnésie et l’amnésie, l’art du passé et le silence radio du futur, le trop-plein du souvenir ou le trop libre de l’oubli. Tout un film, tout un art du temps et du rythme, passe dans la tension entre ces deux pôles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
Puissant.
Première
par Thomas Baurez
A partir de là, Erice tisse un film sur la mémoire, la permanence des choses, et le désir absolu de fixer des images dont la puissance ne dépend pas de leurs simples présences mais d’un agencement au sein d’un continuum mystérieux. Vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Un tournage inachevé, un acteur disparu, l’enquête vingt-deux ans après… Au soir de sa vie, le cinéaste si rare de “L’Esprit de la ruche” nous réenchante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Victor Erice dresse, à travers le récit d’une recherche d’un comédien disparu mystérieusement, une ode mélancolique et somptueuse d’un réalisateur en quête de sens et de lui-même. Fermer les yeux est une réussite totale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par E.S.
Fermer les yeux n'est pas si différent d'un soap dont les scénaristes auraient chargé la barque en clichés (enfant mort, amours enfuies, whisky…) et laissé filer les heures. On ne rattrape pas le temps perdu en 2h49.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Certes, le film déroule un récit très intrigant, doublé d’une ode au cinéma, et offre quelques scènes magnifiques, mais dans une lenteur interminable de 2h49. L’ensemble, qui paraît bien poussiéreux par moments, n’est réservé qu’aux cinéphiles avertis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Camille Brun
Certes, "Fermer les yeux" est long et sa réalisation extrêmement sobre, mais à qui accepte de passer outre, il offre un voyage mémoriel et mélancolique superbe.
Cahiers du Cinéma
“Savoir vieillir, that is the question”, dit à Miguel son ami Max (Mario Pardo), monteur et collectionneur de copies de films, avant de lui donner sa méthode : “sans peur et sans espoir”. Et c’est ainsi, sans peur et sans espoir, que semble avancer le film, en prenant tout son temps, en donnant le sentiment, devenu rare, que chaque plan et chaque scène prennent exactement la durée qu’il leur faut.
Culturopoing.com
Ode magnifique au cinéma, "Fermer les yeux" nous livre l’œuvre crépusculaire et testamentaire d’un artiste aussi rare que radical et son dernier plan, emblématique et poignant, nous hantera longtemps.
La Croix
Trente ans après Le Songe de la lumière, l’Espagnol Victor Erice revient dans les salles avec un opus testamentaire fascinant sur la puissance du cinéma.
Le Journal du Dimanche
Innervé par la mélancolie, le récit, qui parle de mémoire, de deuil, de vieillissement et de réparation, tout en proposant une réflexion sur le cinéma, tient son ampleur de son dépouillement absolu qui dit l'essentiel.
Les Echos
Une merveille, pas moins.
Les Inrockuptibles
Cette fois, Erice s’intéresse à l’autre versant de la vie, quand le corps et l’esprit menacent de lâcher. D’un calme majestueux et d’une simplicité radicale, "Fermer les yeux" s’ancre dans la tradition de l’art testamentaire et dans celle des hommages au cinéma, sans pour autant dérouler un programme joué d’avance. Comme son héros lancé dans une quête qui s’impose à lui, le film divague, trouve sa forme à mesure qu’il se déploie.
Marianne
Le vétéran espagnol Victor Erice, 83 ans, signe un film bouleversant sur un cinéaste à la recherche d’un acteur disparu et de son propre passé. Cette fiction magistrale sur la mémoire et l’identité s’impose comme l’une des réussites majeures de l’année 2023.
Paris Match
Non seulement, Victor Erice signe un grand mélo à l'ancienne, où l'on chante la nostalgie et la beauté de l'existence au coin du feu (l'une des plus belles scènes de l'année, improvisée sur le tournage), mais il revisite aussi son cinéma, comme s'il effectuait le palindrome de sa filmographie.
Transfuge
Captivant et bouleversant.
20 Minutes
Esthète du cinéma mais pas seulement, Victor Erice s’est toujours plu à jouer avec le temps et l’espace. Fermer les yeux est une bonne façon de s’initier au travail sensible de ce réalisateur passionnant qui planche depuis des années sur ses mémoires filmés qu’on espère découvrir un jour.
Critikat.com
Un étrange film candide, à la fois décevant et magnifique.
L'Obs
Dans ce film testamentaire, beau comme un réalisateur raté reprenant à la guitare la chanson de « Rio Bravo », « My Rifle, My Pony and Me », en compagnie de deux vieux pêcheurs, il y a une sagesse, une mélancolie et une pureté du regard qui renvoient aux origines du 7e art et à une émotion primitive de spectateur.
La Septième Obsession
Qu’on ne s’y trompe pas : nos yeux sont grands ouverts durant les presque trois heures du nouveau Victor Erice, sans doute l’un des cinéastes les moins prolifiques au monde.
Le Monde
Les deux récits – l’un supposément fictionnel, l’autre supposément réel – forment ainsi comme une spirale baroque qui se noue pour l’essentiel autour de la figure de la disparition. A commencer par celle du cinéma, cet art ancien de réveiller les morts, dont Erice fait ici une discrète élégie.
Les Fiches du Cinéma
À travers une amitié perdue, c’est tout son cinéma que ressuscite Victor Erice, dont le dernier film remontait au début des années 1990. Brillamment écrit, "Fermer les yeux" est un drame d’une telle qualité qu’on en vient à regretter la rareté du cinéaste espagnol.
Libération
Une sorte d’autoportrait en deux directions, deux idéaux portés à des états extrêmes : celui qui se souvient trop et celui qui a trop oublié, l’hypermnésie et l’amnésie, l’art du passé et le silence radio du futur, le trop-plein du souvenir ou le trop libre de l’oubli. Tout un film, tout un art du temps et du rythme, passe dans la tension entre ces deux pôles.
Ouest France
Puissant.
Première
A partir de là, Erice tisse un film sur la mémoire, la permanence des choses, et le désir absolu de fixer des images dont la puissance ne dépend pas de leurs simples présences mais d’un agencement au sein d’un continuum mystérieux. Vertigineux.
Télérama
Un tournage inachevé, un acteur disparu, l’enquête vingt-deux ans après… Au soir de sa vie, le cinéaste si rare de “L’Esprit de la ruche” nous réenchante.
aVoir-aLire.com
Victor Erice dresse, à travers le récit d’une recherche d’un comédien disparu mystérieusement, une ode mélancolique et somptueuse d’un réalisateur en quête de sens et de lui-même. Fermer les yeux est une réussite totale.
Le Figaro
Fermer les yeux n'est pas si différent d'un soap dont les scénaristes auraient chargé la barque en clichés (enfant mort, amours enfuies, whisky…) et laissé filer les heures. On ne rattrape pas le temps perdu en 2h49.
Le Parisien
Certes, le film déroule un récit très intrigant, doublé d’une ode au cinéma, et offre quelques scènes magnifiques, mais dans une lenteur interminable de 2h49. L’ensemble, qui paraît bien poussiéreux par moments, n’est réservé qu’aux cinéphiles avertis.
Télé Loisirs
Certes, "Fermer les yeux" est long et sa réalisation extrêmement sobre, mais à qui accepte de passer outre, il offre un voyage mémoriel et mélancolique superbe.