AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,0
11 titres de presse
-
Le Parisien
-
Les Fiches du Cinéma
-
L'Obs
-
La Croix
-
Le Journal du Dimanche
-
Le Monde
-
Paris Match
-
Télé 7 Jours
-
Télérama
-
La Voix du Nord
-
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Le Parisien
Enlevé et foisonnant.
Les Fiches du Cinéma
Un récit d’aventure haletant, drôle et intelligent.
L'Obs
Le dessin est sans surprise, mais le casting vocal (Eric Judor + Jean-Pascal Zadi, un bonheur !) remporte la mise.
La Croix
Production moins calibrée qu’il n’y paraît, ce film d’animation offre à son duo d’antihéros dépareillés une marionnette donquichottesque et une peluche fan de rap, un scénario prévisible mais amusant et finalement assez habile.
Le Journal du Dimanche
La fable, qui encense des valeurs comme la famille et la solidarité, ne manque ni de rythme ni d’humour.
Le Monde
Ayant fini par se rencontrer, DJ Doggy Dog et Don, désormais inséparables, ne tarderont pas à transformer leurs rêves en réalité, au prix de péripéties épiques que le scénario (coécrit par Joel Cohen et Alec Sokolow, deux des auteurs de Toy Story, 1995) conduit avec humour, clins d’œil à gogo et grande dextérité.
Paris Match
Si le canevas rappellera bien sûr « Don Quichotte de la Mancha » aux parents, les enfants apprécieront la fantaisie des péripéties et l’humour d’un duo mal assorti.
Télé 7 Jours
Un récit qui invite joliment à se méfier des préjugés.
Télérama
Jérémie Degruson multiplie les allers-retours stimulants entre pure 3D pour le réel et superbe 2D pour les rêveries, tout en faisant référence à d’autres techniques d’animation (marionnettes, théâtre d’ombres). Ce qui rehausse un script un rien didactique sur le pouvoir de l’imaginaire.
La Voix du Nord
Sympa, même si on aurait aimé davantage d’inspiration.
Première
Dommage que le scénario pourtant signé par deux co- auteurs de Toy story, trop mécanique et trop explicatif dans les messages qu’il veut délivrer, tue dans l’œuf cette poésie malicieuse qui fait le sel des grands Pixar.