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    Marcel le Coquillage (avec ses chaussures)
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    4,0
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    37 critiques spectateurs

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    Mamiecricri03
    Mamiecricri03

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2024
    Vu Marcel le coquillage dans un petit cinéma et en vo. Trop de temps à lire et pas assez pour voir le film. Dommage.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    20 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2024
    Une petite merveille qui mélange l'animation en volume et prises de vues réelles réalisé par Dean Fleischer-Camp.
    tisma
    tisma

    266 abonnés 1 881 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2024
    Si la tendresse était un film, elle serait ce film-ci, une douceur pour le cœur et un plaisir pour les yeux. On se prend assez facilement d'attachement pour Marcel et sa belle vision du monde qui nous fait relativiser un petit peu sur notre existence. Une petite perle dans un coquillage.
    moket
    moket

    461 abonnés 4 227 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Un film mignon, une curiosité joliment animée, mais l'impression de se retrouver face à une coquille vide qui n'a rien à raconter... Trop étrange pour captiver les enfants, trop enfantin pour séduire totalement les adultes.
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 511 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    Ce sont de petits courts-métrages qui sont devenus grands…grands au point de pouvoir devenir l’équivalent de la nouvelle petite fiancée (animée) de l’Amérique. Il est vrai que l’idée derrière cette histoire de mollusque est charmante puisque le projet se présente comme un faux-documentaire consacré à Marcel, un petit coquillage qui vit avec sa grand-mère dans le AirBnB où le réalisateur s’est également installé. Les acteurs et décors sont donc bien réels, tandis que le coquillage est animé en stop-motion par les Chiodo brothers (oui, ceux de ‘Killer klowns from outer space’...). Objectivement, il ne se passe pas grand chose pendant une heure trente : Marcel raconte sa vie et dévoile les stratagèmes qu’il a mis en place pour vivre dans une maison qui n’est pas adaptée à sa taille. Alors que la confiance s'installe entre lui et Dean Fleischer-Camp, il évoque également des sujets plus personnels : la crainte de voir sa grand-mère décliner, son rapport à sa nouvelle célébrité en ligne, son désir de retrouver sa famille, embarquée lors du déménagement des anciens propriétaires. C’est là aussi qu’on rencontre les limites du projet, court-métrage monté en graine : tant qu’on en est aux confessions du petit coquillage face caméra, on s’amuse de voir à quel point les codes visuels et thématiques de ce genre de documentaires font aujourd’hui partie de l’inconscient collectif…et puis, il faut dire que ce petit animal n’est pas loin d’être ce qu’on a fait de plus mignon depuis longtemps dans le cinéma d’animation américain, avec sa petite voix cassée, et ses petites chaussures, et son petit oeil, et…hum, pardon je m’égare. Donc, à un moment donné, le scénario patine et commence à radoter : rien de grave, surtout que tout ce qui a précédé était vraiment adorable…mais ça m’empêchera sans doute de considérer que les pensées de Marcel, à l’égard de nombreux commentateurs américains, ont changé radicalement mon rapport à l’existence. Il est quand même piquant qu’en termes d’universalité, de tendresse et de créativité, c’est un indépendant inconnu au bataillon qui offre le résultat le plus proche de tout ce qu’on adorait chez Pixar avant leur incompréhensible baisse de régime de ces dernières années…
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    626 abonnés 2 717 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2023
    Gros coup de cœur Marcel le coquillage. Une aventure terriblement humaine, qui évite le pathos, et propose des ressorts émotionnels d’une justesse totale. Une mignonnerie intelligente qui aborde le deuil et la solitude avec une bienveillance touchante.
    les mots sans papier
    les mots sans papier

    26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juillet 2023
    Ce petit bijou aurait mérité l'oscar du meilleur dessin animé ! Au croisement entre les prises réelles et le stop motion (une technique d'animation en photomontage comme pour Fantastic Mr Fox ou bien Wallace et Grommit) , "Marcel le coquillage avec des chaussures" est une sorte de récit initiatique un tantinet philosophique, bourré d'humour et de bons sentiments. 

    Nous suivons Marcel, un petit bigorneau de 2 centimètres de haut avec un seul œil et des chaussures roses (plus grande que son visage mais "comparé à quoi ?!") vivant dans un Airbnb humain avec sa grand-mère. Le film prend donc la forme d'un faux documentaire mis en place par le nouveau locataire de l'appartement, qui est le premier à prendre conscience de la présence des deux coquillages et décide de faire un film sur leur quotidien. 

    Marcel est un personnage plein de vie, énergétique et mignon à croquer, mais qui est secrètement inconsolable (sa famille avait malencontreusement été emmenée par une précédente famille qui avait pris le contenu de la boîte à chaussures où ils logeaient !). Il est aussi très ingénieux, et on peut découvrir chaque stratagème qu'il a mis en place pour survivre et améliorer son quotidien. On suit donc ses virées à la recherche de maïs à faire griller au soleil (du pop-corn !), ses remises en questions, sa passion pour l'émission "60 minutes" et son décalage avec la société humaine qui lui permet d'adopter un point de vue intéressant et juste. Le réalisateur et le bigorneau tissent un lien particulier, on apprend à mieux connaître les deux personnages et leurs failles, leurs pensées, leur passé...

    Chaque phrase, sortie de son contexte, peut s'avérer porteuse de sens ou juge de notre société actuelle. Marcel et sa grand-mère posent des questions drôles ("Have you ever eaten a raspberry ? Um, and what was that like ?") quoique philosophiques et nous éclairent de leurs magnifiques réflexions ("guess why i smile a lot ? Because it's worth it" ou encore "this is my bread room. It's a bedroom but i sleep on a piece of bread").

    La voix du personnage principal est aussi touchante que le protagoniste lui-même, il parle d'ailleurs anglais aussi bien que les humains et est doté d'une profondeur d'esprit qui lui permet d'évoquer des sujets sensibles comme le deuil, le concept d'une communauté, la séparation ou l'amour d'une façon plausible et concrète. Marcel évolue et ne cherche pas à s'adapter au milieu humain auquel il va être confronté, car le petit documentaire du réalisateur va être médiatisé...

    Un film poétique, tendre et adorable, doté d'une remarquable richesse émotionnelle, qui est à voir à tout âge ! Une véritable bouffée d'air frais. 
    toinou
    toinou

    42 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2023
    Après avoir réalisé trois petit courts métrages très sympathiques, Dean Fleischer Camp arrive enfin à produire son faux documentaire sur un coquillage avec des chaussures nommé Marcel avec l’aide d’A24. C’est donc filmé comme dans un documentaire et ça rajoute une originalité très cool, le plus impressionnant reste la fusion du stop Motion (très réussi) avec le live action, c’est très beau artisanale. Le film nous met dans une vibe de vacance très plaisante notamment parce que le long métrage bénéficie d’une très belle photographie et d’une BO très cool.

    Ce long métrage est définitivement bourré d’idées mais aussi bourré d’humour car oui on rigole beaucoup, même si la plupart des blagues des courts métrages sont reprises ici, la blague du zzzzzzzzz me fait autant rire. Comment ne pas craquer devant la mignonnerie de Marcel, Jenny Slate est très bien en VO mais je préfère la VF (et c’est très très très rare). On pourrait penser que l’on va s’ennuyer et qu’il y aura beaucoup de longueurs mais ce n’est absolument pas le cas sauf peut être à la fin. La grand mère de Marcel reste le meilleur personnage du film (avec Marcel).
    Glouyie
    Glouyie

    15 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2023
    Absolument charmée par cet adorable coquillage ! Sa voix lui va comme un gant. Très mignon, émouvant, je recommande !
    Djoel J
    Djoel J

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2023
    Un petit Ovni réunissant des thèmes forts avec toujours une note d'humour et de poésie à travers le regard de Marcel. A découvrir en famille
    Sonate
    Sonate

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 août 2023
    Un film original avec des plans en stop motion bien faits mais alors ça traîne en longueur et la voix-off est juste insupportable,. un supplice pour les oreilles.
    Duel
    Duel

    63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2023
    Film vraiment original et parfois déroutant. Très bien réalisé, avec de vrais trouvailles (les balles de tennis), et un très bon éclairage sur la culture américaine (Peaceful Easy Feeling des Eagles).
    Vu avec un enfant de 10ans qui a été aussi séduit que moi qui dépasse les 60ans.... En plus le film fait 1:15 et évite les travers du délayage. A voir avec l'esprit ouvert pour chercher de la fraîcheur au delà des Marvel et Pixar convenus.
    Maxence B.
    Maxence B.

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2023
    J'ai découvert ce film par hasard en allant sur Twitter, quelque'un avait conseillé d'aller le voir au lieu de The Flash, j'ai bien fait de l'écouter ! Ce film est adorable, un petit bijou du cinéma, les prises de vues réelles et l'animation en stop-motion se marient très bien (et les effets spéciaux sont bien meilleur que The Flash malgré la différence de budget phénoménale), c'est rempli de positif sans pour autant en devenir niais, amitié, la famille, le jeu, comment gérer les point négatifs de la vie... les choses simples de la vie en somme. spoiler:
    La mort de Donna la grand mère de Marcel comment ce dernier retrouve le moral grâce à son ami Dean, plus d'émotions et de développement de personnages que dans beaucoup (pas tous de blockbuster actuels merci Disney et Warner) spoiler:
    Cinememories
    Cinememories

    449 abonnés 1 437 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2023
    Squelette d’un mollusque marin, le coquillage est pourtant doté d’une âme d’enfant dans ce faux documentaire plein de tendresse. Trois ingénieux courts-métrages ont introduit Marcel the Shell with Shoes On du cinéaste Dean Fleischer-Camp et de sa compagne de l’époque, Jenny Slate, humoriste et actrice. Leur enfant en pâte à modeler, assemblé avec des produits bon marché, a finalement trouvé le grand écran, sans oublier qu’il vient de YouTube, le support d’origine qui a su rassembler de nombreux fans autour de ce projet inspiré et inspirant. Une combinaison exigeante et fascinante de la stop-motion et du live-action nous immerge dans l’immense univers d’un minuscule personnage.

    Curiosité et réjouissance, c’est en tout cas ce que l’on ressent à la proximité d’un tel spécimen qui pourrait se prêter à la mignonnerie naise, tel un chaton qui retombe maladroitement sur ses pattes. Marcel à ce pouvoir de communier avec son entourage, tout en trouvant mille astuces afin de s’adapter à l’environnement titanesque des humains. Le spectateur a donc le loisir de connaître les péripéties de son quotidien, à commencer par les déplacements à travers les pièces d’un Airbnb qui n’abrite pas exclusivement des vacanciers. Le cinéaste devient juste Dean, le temps d’empoigner sa caméra et de dialoguer avec sa création la plus précieuse et la plus adorable du moment. De même, le fait que Jenny Slate double Marcel n’est pas si anodin et révèle que sa coquille est remplie de vie, ambition, d’innocence et de sagesse.

    On pourrait s’arrêter à ce jeu fantaisiste, à ces démonstrations loufoques et innovantes que Marcel et sa grand-mère Connie ont élaborées. Une balle de tennis en guise de véhicule, du pain de mie comme matelas bien douillet, une table en verre poussiéreuse comme patinoire et l’aire de jeu s’étend encore dans le jardin. On se régale avec eux du même pop-corn qu’ils ont préparé avec une intensité qui nous maintient de l’autre côté de l’écran, dans une réalité que l’on confondrait volontiers avec la nôtre. C’est ce qu’il y a de magique dans le fait de laisser cet enfant perdu entrer dans nos vies, tout cela dans le but de nous laisser notre univers rétrécir et de simplement profiter des petites choses que l’on aurait égarées dans nos tiroirs à chaussettes.

    La forme n’emporte pas tout sur le fond également. Derrière une carapace aussi fine se cachent une grande sensibilité et une mélancolie qui questionne la solitude du héros, qui invite son audience à former une communauté. Le succès a néanmoins ses limites et le récit ne se prive pas d’en faire la démonstration par l’absurde. Inutile de retenir Marcel lorsqu’il se met à chanter de sa voix fluette ou à soutenir sa grand-mère dans ses difficultés. Ce ton n’est pas sans rappeler la finesse d’un Pixar (Toy Story, Wall-E) et la poésie d’un Ghibli (Arrietty), avec cette frontière brisée entre les humains et les petits êtres vivants, de plastique ou de chair. A24 saisit alors une opportunité qui promeut à la fois le génie technique et une sensibilité, qui ne sont pas toujours froidement arrosés par la souffrance des personnages.

    Difficile de retenir notre joie ou l’expression de nos sentiments devant ce geste artistique et philosophique qui accompagne Marcel le coquillage (avec ses chaussures). On sèche volontiers nos larmes devant une incontournable prouesse cinématographique aussi spectaculaire, poignante et à la hauteur d’un personnage dont on ne doute pas un instant de l’existence, malgré la distance qui le sépare de ses pairs. L’importance de l’amitié et de la famille sont les clés afin de surmonter les épreuves que son monde a à nous offrir. En échange, cette œuvre ne demande rien de plus qu’un peu d’attention et d’amour.
    Rodolphe35
    Rodolphe35

    3 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Poétique à souhait, cette ovni nous emporte dans une relation d'amitié entre un homme et notre coquillage Marcel, une relation qui leur permet de se reconstruire. C'est naif, créatif, bourré d'idées.
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