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Ollivier Legrand
1 abonné
28 critiques
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2,0
Publiée le 14 décembre 2023
Très décevant surtout après "les miserables". Un film avec des scènes qui s enchaînent mal. Beaucoup de scènes pas crédibles, et longues inutilement. Des acteurs empruntés. Un film mal réalisé.
Loin des stéréotypes sur les quartiers populaires, le réalisateur signe un film engagé sur le mal logement et sur une police prise entre deux feux d'un côté une classe dominante et de l'autre des sans voix.
Scénario vu et revu, trop manichéen, les gentils sont toujours le mêmes, aucun suspens, aucune scène ne donne une quelconque émotion sinon l'ennui. Les acteurs sont médiocres, sans doute à cause du metteur en scène.
Après les Misérables, le réalisateur était attendu au tournant. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'on n'est pas déçu, ce film est un coup de poing. La colère monte crescendo en nous tant la dénonciation est implacable . On ne sort pas indemne d'un tel film . Chapeau
Dès l'ouverture oppressante dans une cage d'escalier délabrée, Lad Ly nous rappelle qu'il est un grand metteur en scène ! tout au long de Batiment 5, il filme avec attention et justesse le parcours de ses personnages magnifiquement incarnés (mention spéciale pour Anta Diaw qu'on espère revoir bientôt sur les écrans) et la vie de cette banlieue.
Au final on sort marqués par l'emballement de cette machine qui reflète les dangers qui menacent notre manière de faire société.
Un film necessaire. Intense. Alexis Manenti et Anta Diaw sont exceptionnellement justes. Et les images sont vraiment trop belles. Je recommande vivement !
Un film mettant en lumière un sujet fort, mais nécessaire, brillamment, Ladj Ly se renouvelle sans dénaturer son style. Puissant, non-manichéen, le film sait porter la tension par une triste réalité qui touche certains de nos concitoyens français. À voir et à revoir, absolument.
BÂTIMENT 5, le deuxième long métrage tant attendu du réalisateur césarisé Ladj Ly, fondateur des écoles Kourtrajmé, est disponible au cinéma. Je n’ai qu’une chose à dire « FONCEZ ». Le film est d’utilité publique.
Après quatre ans, Ladj Ly nous fait l’honneur de revenir avec un film coup de poing, social et politique qui met en lumière la problématique du mal logement en banlieue parisienne, avec pour protagoniste principale, la magnifique Anta Diaw qui crève l’écran par sa beauté et son jeu époustouflant. À ses côtés Aristote Luyindula, Alexis Manenti, Jeanne Balibar, Steve Tientcheu, Nabil Akti et bien d’autres…tous excellents.
BÂTIMENT 5 est une claque visuelle. Une fois de plus Ladj Ly nous prouve qu’il sait à travers sa mise en scène, magnifier Clichy-Montfermeil d’une main de maître, lieu où il a grandi.
De nouveau, Ladj Ly décide de nous prendre aux tripes par une écriture aiguisée où l’émotion est à son paroxysme, où le jeu des acteurs/trices est bien dosé, assez pour être triste, pour avoir peur ou encore être révolté, tout cela accompagné de la mélodieuse bande sonore composée par Kim Chapiron. Toujours en essayant d’être le plus neutre possible.
Pour finir, la fin de BÂTIMENT 5, ne laisse personne indifférent.e.
Allez en salle découvrir le film, sans plus tarder.
Consternant, caricatural. On ne s'attache ni aux personnages (à part Anita ?), ni au scénario qui est un enchaînement de scènes prévisibles et caricaturales .... qu'une envie sortir de la salle tellement c'est ennuyeux...
Sur une thématique voisine des Misérables, et toujours avec beaucoup d'authenticité et d'énergie, le réalisateur livre un grand film qui prend aux tripes et réveillera sans doute la conscience de beaucoup d'entre nous
Mieux qu'un documentaire. Oui le trait est forcé mais ces personnages existent ici et maintenant. Le film nous rappelle opportunément notre humanité commune.
Un long bâillement durant tout le film, mais je me suis forcé à rester jusqu'au bout dans une salle presque vide de Paris.. Scenario totalement prévisible, des clichés gros comme une maison. Bon, on a compris, on compatit avec les victimes du racisme des logeurs, mais on a vu plus des films plus convaincants. Un film digne du premier amateur de banlieue venu, pourvu qu'il soit muni d'une caméra bon marché.