Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Point
par Sacha Reins
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ciné Live
par Gwen Douguet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Gilles Médioni
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) le film est drôle, brillant, incisif, malin, il est surtout intelligent. Qualité dont il semble que l'ont ait désormais bien peu à faire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Steven Soderbergh donne une dimension surréelle à son film grâce à une temporalité fragmentée, dissociant les personnages de l'espace dans lequel ils évoluent, ce qui les rend à la fois spectateurs et acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
En dépit d'un montage parfois un peu tarabiscoté, « l'Anglais » est un polar noir serré, pur jus, qui emprunte à l'atmosphère des classiques du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) un film extrêmement plaisant, un de ces divertissements solides et élégants qui ne révolutionnent en rien l'art cinématographique mais qui manquent cruellement au cinéma américain d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Après Hors d'atteinte, polar à la séduction immédiate, Steven Soderberg brouille à nouveau les cartes et son image de ludion insaisissable avec The Limey, film noir déstructuré, bourré de chichis stylistiques rutilants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Jean-François Roubaud
On dit souvent que, jamais la forme ne peut compenser l'absence de fond. Avec The Limey, on se trompe. (...) sous la caméra de Soderbergh, le polar est kaléidoscopique.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Première
par Eric Libiot
En cinéaste intelligent, Soderbergh s'est juste demandé ici comment faire partager au spectateur l'état mental du héros (Stamp), sachant que le film est raconté de son point de vue (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
En préférant le fragment et l'observation au spectaculaire, et cela sans jamais se prendre au sérieux, L'Anglais tient son pari. Portrait d'un seul homme, mais où l'on reconnaît à la fois le cinéaste et l'acteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Edouard Waintrop
C'est dans cette utilisation impeccable de ses acteurs (...) et dans ces petits coups fumants, certainement pas dans la confection de ses zigouigouis, que Soderbergh prouve qu'il a du style .
La critique complète est disponible sur le site Libération
Planetcinema.com
par Jean-Luc Brunet
(les) principaux protagonistes semblent s'être réellement amusés sur le tournage de L'Anglais. Leur plaisir est communicatif et suffit à nous rendre indulgent avec ce film, un peu décevant mais néanmoins suffisamment inventif et original (...)
Chronic'art.com
par Jean-Baptiste Hanak
Avec ces expérimentations hasardeuses de cadrages, photo et bande-son, le réalisateur crée une multitude d'artifices -vaguement en rapport avec ce qu'il raconte- et rend son film vraiment lourd.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) le film est drôle, brillant, incisif, malin, il est surtout intelligent. Qualité dont il semble que l'ont ait désormais bien peu à faire.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Steven Soderbergh donne une dimension surréelle à son film grâce à une temporalité fragmentée, dissociant les personnages de l'espace dans lequel ils évoluent, ce qui les rend à la fois spectateurs et acteurs.
Le Parisien
En dépit d'un montage parfois un peu tarabiscoté, « l'Anglais » est un polar noir serré, pur jus, qui emprunte à l'atmosphère des classiques du genre.
Les Inrockuptibles
(...) un film extrêmement plaisant, un de ces divertissements solides et élégants qui ne révolutionnent en rien l'art cinématographique mais qui manquent cruellement au cinéma américain d'aujourd'hui.
Libération
Après Hors d'atteinte, polar à la séduction immédiate, Steven Soderberg brouille à nouveau les cartes et son image de ludion insaisissable avec The Limey, film noir déstructuré, bourré de chichis stylistiques rutilants.
Nice-Matin
On dit souvent que, jamais la forme ne peut compenser l'absence de fond. Avec The Limey, on se trompe. (...) sous la caméra de Soderbergh, le polar est kaléidoscopique.
Première
En cinéaste intelligent, Soderbergh s'est juste demandé ici comment faire partager au spectateur l'état mental du héros (Stamp), sachant que le film est raconté de son point de vue (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
En préférant le fragment et l'observation au spectaculaire, et cela sans jamais se prendre au sérieux, L'Anglais tient son pari. Portrait d'un seul homme, mais où l'on reconnaît à la fois le cinéaste et l'acteur.
Libération
C'est dans cette utilisation impeccable de ses acteurs (...) et dans ces petits coups fumants, certainement pas dans la confection de ses zigouigouis, que Soderbergh prouve qu'il a du style .
Planetcinema.com
(les) principaux protagonistes semblent s'être réellement amusés sur le tournage de L'Anglais. Leur plaisir est communicatif et suffit à nous rendre indulgent avec ce film, un peu décevant mais néanmoins suffisamment inventif et original (...)
Chronic'art.com
Avec ces expérimentations hasardeuses de cadrages, photo et bande-son, le réalisateur crée une multitude d'artifices -vaguement en rapport avec ce qu'il raconte- et rend son film vraiment lourd.