Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Mais Anatomie d’une chute vaut mieux que la polémique et toutes les réactions qui ont suivi. Car c’est tout simplement un grand film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Samuel Loutaty
Une Palme d'or magistralement filmée et interprétée.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un film parfaitement réussi et maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
GQ
par Adam Sanchez
[...] dense et brillant. Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Sophie Joubert
Dans le rôle de Daniel, l’enfant qui parle comme un adulte et passe sa colère en martelant les touches du piano, Milo Machado Graner est fascinant de maturité et de douleur contenue. Il faudrait tous les citer, jusqu’au plus petit rôle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Rien n’est donné pour acquis dans ce grand film sur l’ambiguïté des choses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Un drame policier virtuose, porté par la géniale comédienne allemande Sandra Hüller.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Enquête, procès, flash-back, confessions, culpabilisations… Justine Triet passe en revue une flopée de registres pour finalement dépasser les codes du thriller enneigé et tricoter un drame psychologique d’une richesse inouïe, où la justice n’est pas la seule à se perdre dans le vrai et le faux d’un couple usé, toxique et rancunier.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une preuve de plus que le cinéma permet parfois de mieux saisir le réel. Et de mieux le ressentir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La palme d'or 2023 ouvre en beauté la rentrée du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Palme d’or assez incontestable, Anatomie d’une chute est un film de procès plus psychanalytique que judiciaire, qui creuse profondément et sans anesthésie dans les racines d’un couple. Un imposant bloc de complexité humaine et de pur cinéma.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec Anatomie d’une chute, son quatrième long doré d’une Palme en mai, la cinéaste accapare le film de procès moins pour jouer du suspense propre à l’exercice que pour parfaire son style qui n’a jamais semblé si proche d’une forme de perfection, ce plein chaos qui fait l’empreinte des Triet movies, ici décongestionné par le tranchant du dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Palme d’or de Cannes, Justine Triet réinvente les codes du thriller judicaire en faisant d’un procès pour homicide le cadre d’une fascinante dissection de l’intimité conjugale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Le quatrième long-métrage de Justine Triet réinvente le film de procès et livre une étude subtile sur le couple, doublée d'un éblouissant portrait de femme.
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film de procès fascinant doublé d'une réflexion passionnante sur le couple.
Paris Match
par Yannick Vely
Justine Triet signe son meilleur film à ce jour : un « whodunit » en haute altitude prétexte à un superbe portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Une figure féminine rare au cinéma, magistralement interprétée par Sandra Hüller. Justine Triet n’a pas volé sa Palme d’or à Cannes.
Télérama
par Jacques Morice
Une Palme d’or au scénario diabolique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Captivant de bout en bout.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Formidable portrait d’une écrivaine que tout accuse de la mort de son mari, Anatomie d’une chute n’est surtout pas un banal film de procès mais le déroulement magnifique d’une page de littérature à la Stefan Sweig. L’un des chocs cinématographiques de cette 76e édition cannoise très justement récompensé par la Palme d’Or.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le personnage de Daniel, témoin clef mais doublement empêché en tant que malvoyant, cristallise une voie trouvée par Triet pour ne pas s’enferrer dans la relativité généralisée des points de vue.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Constamment sur le fil, tendu sur 2h30 comme un polar, mais profond comme une étude de caractère, magnifiquement mené par un casting parfait, Anatomie d'une chute fait vivre aux spectateurs les vertiges de la justice, le désordre d’une vie.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
D’une solidité impressionnante, le quatrième long métrage de Justine Triet se fait donc récit de crises s’enchevêtrant les unes dans les autres : crise familiale due à la mort du mari/père provoquant évidemment un violent traumatisme, crise conjugale empreinte de rancoeur et de jalousie évoquant les drames les plus intimistes d’Ingmar Bergman ou de Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Une impressionnante réunion des thèmes chers à Justine Triet, qui hisse sa narration et sa mise en scène encore un peu plus haut avec ce film de procès froidement intelligent, porté par une Sandra Hüller au charisme intimidant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Grave et dense.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On est tenu de bout en bout par le suspense jusqu'au verdict final, grâce à un scénario ciselé, des comédiens talentueux et une mise en scène dynamique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Avec Sandra Hüller, que l’on avait découverte il y a quelques années dans Toni Erdmann de Maren Ade, Justine Triet a choisi la parfaite interprète. L’actrice allemande faisait déjà une apparition dans Sibyl. Elle porte cette fois tout le film, renforçant par son jeu sans affects le mystère de cette femme et de son assurance tranquille.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
Délecté de tout didactisme, "Anatomie d’une chute" affirme que le cinéma est moins affaire d’élucidation que de complexification. Quitte à donner le vertige.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une palme d’or magistrale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Les films de Justine Triet mettent au défi les comédiennes de jouer des êtres impurs, lorsque les vies intime et professionnelle de leurs personnages se télescopent avec fracas. Et, en matière de trouble et d’impureté, Sandra Hüller excelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Un film remuant, touchant… Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier De Bruyn
Triet dynamite les académismes du film de prétoire, ce genre si souvent prévisible avec ses plaidoiries interminables, ses rebondissements surjoués et le cabotinage de ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
Tant de précision, d’intelligence dans le jeu au fil différentes langues (allemand, anglais, français) que son personnage parle, tant de puissance, tant de charisme n’écrasent jamais le film mais le propulsent encore plus haut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Marie-Pierre Galinon
Un portrait très juste de femme libre.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Une Palme d’or amplement méritée.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Une démonstration magistrale.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Cette démonstration magistrale signée Justine Triet valait bien la palme d'or.
Critikat.com
par Josué Morel
C'est la limite du film : le scénario, rondement mené, n’est pas envisagé comme le catalyseur d’une mise en scène qui dépasserait son programme, mais comme une fin en soi.
Le Point
par Olivier Ubertalli
De bonne facture, Anatomie d'une chute s'apparente néanmoins plus à un bon téléfilm policier qu'à un grand film de procès.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par Julien Rousset
Anatomie d’une chute » impressionne par sa maîtrise, par la ligne claire de la mise en scène. Justine Triet déchiffre en clinicienne les états d’âme de ses personnages, et la friabilité de toute vérité. Il en résulte une certaine froideur. Son quatrième long métrage suscite l’admiration plus que l’émotion.
20 Minutes
Mais Anatomie d’une chute vaut mieux que la polémique et toutes les réactions qui ont suivi. Car c’est tout simplement un grand film.
BIBA
Une Palme d'or magistralement filmée et interprétée.
Bande à part
Un film parfaitement réussi et maîtrisé.
GQ
[...] dense et brillant. Un très grand film.
L'Humanité
Dans le rôle de Daniel, l’enfant qui parle comme un adulte et passe sa colère en martelant les touches du piano, Milo Machado Graner est fascinant de maturité et de douleur contenue. Il faudrait tous les citer, jusqu’au plus petit rôle.
L'Obs
Rien n’est donné pour acquis dans ce grand film sur l’ambiguïté des choses.
LCI
Un drame policier virtuose, porté par la géniale comédienne allemande Sandra Hüller.
La Voix du Nord
Enquête, procès, flash-back, confessions, culpabilisations… Justine Triet passe en revue une flopée de registres pour finalement dépasser les codes du thriller enneigé et tricoter un drame psychologique d’une richesse inouïe, où la justice n’est pas la seule à se perdre dans le vrai et le faux d’un couple usé, toxique et rancunier.
Le Journal du Dimanche
Une preuve de plus que le cinéma permet parfois de mieux saisir le réel. Et de mieux le ressentir.
Les Echos
La palme d'or 2023 ouvre en beauté la rentrée du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Palme d’or assez incontestable, Anatomie d’une chute est un film de procès plus psychanalytique que judiciaire, qui creuse profondément et sans anesthésie dans les racines d’un couple. Un imposant bloc de complexité humaine et de pur cinéma.
Les Inrockuptibles
Avec Anatomie d’une chute, son quatrième long doré d’une Palme en mai, la cinéaste accapare le film de procès moins pour jouer du suspense propre à l’exercice que pour parfaire son style qui n’a jamais semblé si proche d’une forme de perfection, ce plein chaos qui fait l’empreinte des Triet movies, ici décongestionné par le tranchant du dispositif.
Libération
Palme d’or de Cannes, Justine Triet réinvente les codes du thriller judicaire en faisant d’un procès pour homicide le cadre d’une fascinante dissection de l’intimité conjugale.
Marie Claire
Le quatrième long-métrage de Justine Triet réinvente le film de procès et livre une étude subtile sur le couple, doublée d'un éblouissant portrait de femme.
Ouest France
Un film de procès fascinant doublé d'une réflexion passionnante sur le couple.
Paris Match
Justine Triet signe son meilleur film à ce jour : un « whodunit » en haute altitude prétexte à un superbe portrait de femme.
Télé 7 Jours
Une figure féminine rare au cinéma, magistralement interprétée par Sandra Hüller. Justine Triet n’a pas volé sa Palme d’or à Cannes.
Télérama
Une Palme d’or au scénario diabolique.
Voici
Captivant de bout en bout.
aVoir-aLire.com
Formidable portrait d’une écrivaine que tout accuse de la mort de son mari, Anatomie d’une chute n’est surtout pas un banal film de procès mais le déroulement magnifique d’une page de littérature à la Stefan Sweig. L’un des chocs cinématographiques de cette 76e édition cannoise très justement récompensé par la Palme d’Or.
Cahiers du Cinéma
Le personnage de Daniel, témoin clef mais doublement empêché en tant que malvoyant, cristallise une voie trouvée par Triet pour ne pas s’enferrer dans la relativité généralisée des points de vue.
CinemaTeaser
Constamment sur le fil, tendu sur 2h30 comme un polar, mais profond comme une étude de caractère, magnifiquement mené par un casting parfait, Anatomie d'une chute fait vivre aux spectateurs les vertiges de la justice, le désordre d’une vie.
Culturopoing.com
D’une solidité impressionnante, le quatrième long métrage de Justine Triet se fait donc récit de crises s’enchevêtrant les unes dans les autres : crise familiale due à la mort du mari/père provoquant évidemment un violent traumatisme, crise conjugale empreinte de rancoeur et de jalousie évoquant les drames les plus intimistes d’Ingmar Bergman ou de Woody Allen.
Ecran Large
Une impressionnante réunion des thèmes chers à Justine Triet, qui hisse sa narration et sa mise en scène encore un peu plus haut avec ce film de procès froidement intelligent, porté par une Sandra Hüller au charisme intimidant.
Femme Actuelle
Grave et dense.
Franceinfo Culture
On est tenu de bout en bout par le suspense jusqu'au verdict final, grâce à un scénario ciselé, des comédiens talentueux et une mise en scène dynamique.
La Croix
Avec Sandra Hüller, que l’on avait découverte il y a quelques années dans Toni Erdmann de Maren Ade, Justine Triet a choisi la parfaite interprète. L’actrice allemande faisait déjà une apparition dans Sibyl. Elle porte cette fois tout le film, renforçant par son jeu sans affects le mystère de cette femme et de son assurance tranquille.
La Septième Obsession
Délecté de tout didactisme, "Anatomie d’une chute" affirme que le cinéma est moins affaire d’élucidation que de complexification. Quitte à donner le vertige.
Le Figaro
Une palme d’or magistrale.
Le Monde
Les films de Justine Triet mettent au défi les comédiennes de jouer des êtres impurs, lorsque les vies intime et professionnelle de leurs personnages se télescopent avec fracas. Et, en matière de trouble et d’impureté, Sandra Hüller excelle.
Le Parisien
Un film remuant, touchant… Brillant.
Marianne
Triet dynamite les académismes du film de prétoire, ce genre si souvent prévisible avec ses plaidoiries interminables, ses rebondissements surjoués et le cabotinage de ses comédiens.
Première
Tant de précision, d’intelligence dans le jeu au fil différentes langues (allemand, anglais, français) que son personnage parle, tant de puissance, tant de charisme n’écrasent jamais le film mais le propulsent encore plus haut.
Public
Un portrait très juste de femme libre.
Rolling Stone
Une Palme d’or amplement méritée.
Télé 2 semaines
Une démonstration magistrale.
Télé Loisirs
Cette démonstration magistrale signée Justine Triet valait bien la palme d'or.
Critikat.com
C'est la limite du film : le scénario, rondement mené, n’est pas envisagé comme le catalyseur d’une mise en scène qui dépasserait son programme, mais comme une fin en soi.
Le Point
De bonne facture, Anatomie d'une chute s'apparente néanmoins plus à un bon téléfilm policier qu'à un grand film de procès.
Sud Ouest
Anatomie d’une chute » impressionne par sa maîtrise, par la ligne claire de la mise en scène. Justine Triet déchiffre en clinicienne les états d’âme de ses personnages, et la friabilité de toute vérité. Il en résulte une certaine froideur. Son quatrième long métrage suscite l’admiration plus que l’émotion.