Mon compte
    Voyage au bout de l'enfer
    Note moyenne
    4,4
    17269 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Voyage au bout de l'enfer ?

    651 critiques spectateurs

    5
    360 critiques
    4
    165 critiques
    3
    41 critiques
    2
    46 critiques
    1
    23 critiques
    0
    16 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Napoléon
    Napoléon

    123 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Peu rythmée, l'oeuvre reste toutefois magistralement réalisée, avec en prime des scènes d'une énorme tension, avec d'excellents acteurs, la camaderie du groupe d'amis est très émouvante. Bien structuré, le film permet d'avoir un regard efficace sur les effets de la guerre. La bande son est réussie.
    NiERONiMO
    NiERONiMO

    32 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    On peut qualifier, et ce sans trop se compromettre, The Deer Hunter (Voyage au bout de l'enfer) comme étant une référence majeure du Septième art à propos de la Guerre du Viêt-Nam, ce que peuvent en attester sa formidable réputation et ses nombreuses récompenses (avec en vrac 5 Oscars, comportant celui du Meilleur Film) ; dans une même veine, ce second film de Michael Cimino eut pour effet d'ouvrir de plus en plus le cinéma US à un sujet pour le moins sensible dans le contexte d'époque (70s), ce qui souligne la portée significative de The Deer Hunter sur l'industrie ciné' et le public en général. Mais trêve de parlottes, quid de son contenu même ? Le bal est ouvert au gré d'un long acte introductif (plus d'une heure), celui-ci permettant la mise en place de personnages aussi ordinaires (milieu ouvrier) que plaisants ; ceci autorise par la même occasion le long-métrage à observer la Guerre du Viêt-Nam sous un angle presque inédit en la matière. On peut toutefois formuler un reproche concernant le rythme alors adopté, se traduisant par des séquences traînant quelque peu en longueur (mariage si tu m'entends), tandis que l'on note une scène saugrenue entre toute qui apparaît comme peu utile au premier abord (le béret vert, au mariage qui plus est). M'enfin, l'ensemble s'avère fort concluant et même captivant ("One shot" nous trotte en tête, tant l'on s'intéresse au devenir de ces trois jeunes hommes promis à un conflit historiquement meurtrier ; et, justement, voilà que The Deer Hunter nous projette violemment au sein de celui-ci, sans même crier gare... et que dire si ce n'est que l'effet est réussi ! Le contraste est d'autant plus saisissant qu'il succède à un séquence musicalement poignante, un sacré brio en somme, et la suite va nous donner raison : bien que brutalement amorcée, l'acte prisonniers / roulette russe est une claque en bonne et due forme, on est littéralement absorbé par cette lecture cruelle et impressionnante de la guerre ; et puis que dire des personnages, Michael crevant alors l'écran pour de bon et confirmant nos préalable bonnes impressions. Fait intéressant, le Viêt-Nam et le conflit en lui-même n'occupent que très peu l'image, l'intrigue ayant tôt fait de basculer de nouveau dans le décor apaisant de Clairton, ce qui souligne de nouveau l'approche du sujet opéré ici : au delà du simple film de guerre, The Deer Hunter est un récit avant tout humain, et non moins prenant, oh que non. En résumé, passé l'acte Viêt-Nam le long-métrage nous tient en son pouvoir narratif avec une aisance folle, et l'on est pendu à la suite des événements : le retour de Michael en Amérique est ainsi superbement traité, les séquelles psychologiques inhérentes à l'inhumanité du conflit ayant à jamais changé son regard sur le quotidien, d'où une réinsertion difficile. Le poids prépondérant de la roulette russe n'y est d'ailleurs pas indifférent, et exception faite de la véracité discutable d'une telle pratique en les circonstances, celle-ci est un facteur aussi marquant qu'efficace ; l'importance des protagonistes est également primordial quant à la portée du film, le fait est que l'approfondissement hautement crédible de ces derniers ne les rend que plus attachants, et donc que l'on se prend d'autant plus d'intérêt pour leur destin. Par extension, le casting fait des merveilles, et ce que l'on se penche sur le trio principal comme sur de savantes figures secondaires, bien que l'on retienne avant tout la prestation hallucinante de Robert de Niro (je n'ai pas vu Jon Voight dans Le Retour, mais il méritait clairement l'Oscar) et celle d'un Christopher Walken habité par le rôle (Oscar du Meilleur Second Rôle mérité en l'espèce). Bref, The Deer Hunter est une lecture ni plus ni moins réussie et fascinante de la Guerre du Viêt-Nam, l'optique psychologie humaine et perception du conflit par la classe ouvrière s'avérant être impressionnant ; et puis vient une dernière partie de roulette russe en tous points culte, mais aussi dramatiquement poignante, d'où une seconde claque monumentale nous laissant sur le cul (et où la portée d'un simple "One shot" nous renverse). En résumé voici un chef d'œuvre laissant une trace indélébile dans l'esprit du spectateur, fort d'un traitement étonnamment percutant (il en montre peu, mais cela suffit amplement) ; on gardera également en mémoire les diverses prestations, toutes formidables si ce n'est plus, tandis que Michael Cimino aura doté son long-métrage d'une mise en scène certes classique, mais vraisemblablement adaptée au ton réaliste ambiant. Le meilleur film sur la guerre du Viêt-Nam en somme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 mai 2012
    Ce film m'a moyennement plu. J'étais très enthousiaste à l'idée de le voir. Je m'attendais à un film violent, un film terrible qui me choquerais, me marquerais par les atrocités de la guerre du Viêt Nam à l'instar de la scène du débarquement dans "Il faut sauver le soldat Ryan". Je trouve la partie pendant la guerre trop courte. Je sais que le film se passe en trois périodes : Avant, pendant et après. Mais la deuxième période est bien trop courte ! On a pas le temps d'avoir un vrai témoignage sur la guerre. Cependant, le film reste plus ou moins bon dans son ensemble. A voir pour la découverte.
    David D.
    David D.

    23 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2016
    Une première heure de film difficile: je veux bien qu'on "plante le décor", mais entre la plus longue scène de beuverie lourdingue (après la minable série des "Very Bad Trip") et l'un des mariages les plus ennuyeux du cinéma, ce "The Deer Hunter" commençait plutôt mal, malgré les promesses du casting.
    L'immédiate suite est moins anecdotique et plus grave, sur le fond: Un manichéisme de justification nationaliste digne des Rambo. Des Américains au pire gentils paumés font face à des Vietnamiens montrés comme des fous sanguinaires, cruels et intéressés uniquement par le sang et l'argent, guerre ou pas. Ce n'est pas sur ce film que les USA feront preuve d'honnêteté sur le lourd dossier "Guerre du Viet Nam", préférant spoiler: le terminer sur leur hymne
    .
    Oui, mais voilà: ce préambule qui ne disait rien qui vaille annonçait quand même un peu la suite, entre acteurs de grand niveau et scénario "qui veut aller quelque part". Des moments de grâce apparaitront alors, rythmés entre autre par les lumineux Robert De Niro et Meryl Streep et les paysages de Pennsylvanie admirablement filmés.
    Il en ressortira l'impression d'un film inégal mais contenant des éclairs de génie qui justifie un visionnage... historiquement prudent.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 341 abonnés 7 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2022
    Mike, Nick, Steven, Stan & Axel sont ouvriers sidérurgiques à Clairton, un petit bourg de Pennsylvanie. Trois d’entre eux sont engagés dans la guerre du Viêt Nam. Le temps de célébrer le mariage de l’un d’entre eux et les voilà partis au front. D’une franche camaraderie laissera place à des séquelles physiques & psychologiques qu’aucun d’entre eux n’auraient imaginés.

    Pour son second long-métrage (après Le Canardeur - 1974), Michael Cimino change radicalement de registre, après le road-movie oscillant entre le polar et le western, il nous entraîne là où on ne l’attend pas, à savoir un drame sociétal à travers lequel il dépeint admirablement les affres de la guerre, l’enfer vécu de l’intérieur et ce qui en découle à l’issue de cette dernière.

    En réalité, de la guerre du Viêt Nam, on ne verra rien. Si vous vous attendez à un énième Apocalypse Now (1979) ou Platoon (1987), vous risquez fort d’être déçu. Le film s’ouvre par une immersion dans une cité industrielle, une cérémonie religieuse au sein d’une église orthodoxe et une soirée dansante, avant de brusquement basculer (au bout de 80min) en pleine jungle vietnamienne. On passe de la grisaille monotone et les émanations asphyxiantes des hauts-fourneaux à la jungle moite et à l’horreur de la captivité. De la guerre, on ne verra rien si ce n’est cette courte séquence de captivité et cette mémorable scène de roulette russe (qui vous prend aux tripes).

    Voyage au bout de l'enfer (1978) n’est pas un film sur la guerre en elle-même, mais plutôt sur « l’après-guerre », ce qu’il advient des soldats, partis en héros et revenus (pour certains) dans l’indifférence la plus totale. Cette chaire à canon déracinée de l’Amérique profonde pour se retrouver au front et qui, pour certains, sont rentrer au pays complètements traumatisés, estropiés voir ravagés psychologiquement.

    Cimino parvient avec une réelle aisance à nous immiscer au cœur de ce groupe d’amis, entre la sidérurgie, les parties de chasse et les beuveries, avant que le film ne prenne une toute autre tournure ne faisant que renforcer les liens d’amitié qui unissent les trois soldats. Le film met en lumière les ravages psychologiques de la guerre et les traumatismes qui en découlent. Extrêmement réaliste dans son traitement, on en ressort sonner.

    La distribution joue bien évidemment un très grand rôle, le mutique Robert De Niro face au vibrant John Savage, de Meryl Streep à John Cazale en passant par le foudroyant Christopher Walken qui se drogue au jeu de la mort. Difficile de rester insensible devant une pareille composition. Taxé de raciste par certains à sa sortie, le film sera auréole de multiples récompenses et notamment par 5 Oscars (dont celui du Meilleur réalisateur, Meilleur acteur & Meilleur film).

    (critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Santu2b
    Santu2b

    221 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2007
    Un des meilleurs films sur la guerre du Vietnam à ranger avec les classiques du genre tel Apocalypse Now ou Platoon. Tout en nous montrant toutes les atrocités qu'a pu engendrer cette guerre, Michael Cimino se concentre davantage sur les traumatismes subis par Mike, Steeve et Nicky nottamment après le retour au pays et les retrouvailles avec les amis. Comment aussi ne pas faire l'impasse sur la saisissante scène de la roulette russe qui montre que cette guerre a marqué bien des consciences. Ce film est completé par une grande charge émotionnelle apportée par un De Niro au sommet de son légendaire perfectionnisme secondé par les étincelants Meryl Streep et Christopher Walken. N'évitez pas ce voyage.
    Mr-Orange
    Mr-Orange

    20 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2012
    Voyage au Bout de l'Enfer n'est pas un film de guerre, mais un film sur la guerre. Le film est une fresque de la guerre du Vietnam découpé en trois parties : l'avant-guerre, la guerre et les conséquences psychologiques de nos héros après la guerre. Le film parle d'une bande d'amis, qui se considèrent tous comme des frères, qui vont voir leur amitié beaucoup changer à cause des conséquence de la guerre du Vietnam.

    C'est le meilleur film sur la guerre du Vietnam. Apocalypse Now, Full Metal Jacket et Platoon ne peuvent guère prétendre lui rivaliser, malgré leur potentiel.
    Le casting est parfait : Robert de Niro, Meryl Streep, John Cazale, et Christopher Walken, excellent surtout à la fin où il joue à la roulette russe, le regard vide.
    La photographie est magnifique, les plans de la montagne où chasse Michael et ses potes sont merveilleux, ce sont des décors sublimes. En les voyant, on a envie de les rejoindre dans leur chasse aux daims.
    La B.O est également un des points forts du film : Frankie Valli et son tube "I love You Baby", mis plusieurs fois dans le film, ainsi que la musique de Stanley Myers.

    Michael Cimino signe donc là son masterpiece, peut-être aurait-il eu le temps d'en faire d'autres si Hollywood ne l'aurait pas détruit... C'est tellement réaliste et poignant qu'on se croirait dans un documentaire de qualité, où, à la fin, lorsqu'arrive le générique, on applaudit et on remercie les créateurs du Cinéma d'avoir créer ce merveilleux art qui nous permet de découvrir de grands films, comme celui-ci.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 187 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    J’ai un ami qui ne comprend pas ce qu’on trouve à ce film. C’est vrai qu’avec le temps, je me rends compte qu’il est peut-être plus classique et moins incisif que d’autres films sur la période. Malgré tout, ce serait mentir que de dire que je m’ennuierai à le revoir, ou bien même qu’aucun passage de ce film ne s’est gravé dans ma mémoire. Certes plus classique donc, mais malgré tout, ce « Voyage au bout de l’enfer » n’en reste pas moins un film qui, à mon sens, ne peut pas laisser indifférent.
    Davidhem
    Davidhem

    90 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2009
    Après le film prometteur et ingénieux nommé "Le canardeur" où il dirigeait Clint Eastwood et Jeff Bridges, Michael Cimino s'attaque à un sujet beaucoup plus difficile et ambitieux qu'est de montrer la violence, la folie et le sadisme de la guerre du Viet-Nam qui reste la plus grande défaite des USA en temps de guerre et qui traumatisa des milliers de soldats. Le réalisateur décide de décomposer son film en trois parties distinctes: avant, pendant et après le conflit. Michael Cimino montre bien que les jeunes recrues ne se doutaient pas une seconde de l'enfer qu'elles allaient traverser. Les jeunes hommes représentent en effet bien la génération des années 1970, des êtres qui ne songent qu'à boire, qu'à danser et qu'à chasser le chevreuil. "Voyage au bout de l'enfer" est une grande fresque s'établissant sur plusieurs périodes et étudier ces différentes périodes permet de montrer la transformation de ces êtres après avoir failli passer de la vie à la mort. Le film montre l'horreur des camps de prisonniers des Viet-Namiens, certains passages atteignent une violence et une cruauté rarement égalée au cinéma. A la différence d'"Apocalypse now" de Francis Ford Coppola qui critiquait l'Amérique dans ce conflit, "Voyage au bout de l'enfer" adopte un tout autre comportement, celui de montrer des hommes auxquels le spectateur peut s'identifier par leurs pensées ou par leurs actes. Le film est porté par deux acteurs au sommet de leur art, Robert de Niro n'hésitant pas à montrer son corps entièrement nu et Christopher Walken en pleine déchéance. Le film distille également des histoires d'amour et c'est cette humanité si basique qui parvient à rendre le film plus complexe et davantage bouleversant. Michael Cimino élabore et signe un film qui impressionne, qui chamboule et qui attire le regard du spectateur qui ne trouve jamais le temps long grâce à des scènes très humoristiques et d'autres très violentes. Cimino réalise son long-métrage culte qui ne vieillira jamais. Excellent!
    titusdu59
    titusdu59

    60 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2011
    On parle souvent de "Voyage au bout de l'enfer" comme du premier film qui a retranscrit le traumatisme américain dû à la guerre du Vietnam autour de personnages issus de la middle-class profonde, et ceci de manière réaliste. Réaliste, quel mot faible. Pour avoir connu et vécu pendant un mois chez des Américains qui ressemblent en tout point à ceux que l'on peut voir dans le film, le choc n'en a été que plus intense. "Voyage au bout de l'enfer" est un film qui prend littéralement aux tripes, dont on ne ressort pas indemne. Cimino réussit parfaitement à construire autour de gens simples une véritable dimension de profondeur humaine, et on est bien vite tirés par les sentiments quand l'une des scènes, peut-être même la scène la plus éprouvante que j'ai pu voir, arrive: le célèbrissime passage de la roulette russe, où tout changera, même dans les mentalités les plus fortes, constat qu'exploite de manière très poétique la musique lyrique de John Williams, qui retrace la nostalgie américaine d'un temps perdu... Le scénario est excellent aussi, il faut bien le dire, mais qu'aurait-été le film sans les tétanisantes interprétations de Robert de Niro, Meryl Streep, John Savage et surtout Christopher Walken? Et pour ce qui est de la mise en scène, Cimino a la caméra sûre. Bouleversant. Sans doute déjà un de mes films favoris.
    Mosse.
    Mosse.

    79 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2009
    Lors de sa sortie, "Voyage au bout de l'Enfer", fut décrié par la critique 'progressiste', qui le trouvait raciste envers les Vietnamiens, plusieurs pays quittèrent même le festival de Berlin pour les mêmes raisons. Je m'attendais donc à un film choc et intense, et de ce point de vue j'ai été quelque peu déçu par ce film de Michael Cimino ( Vainqueur de plusieurs Oscars et Golden Globes : Meilleur réalisateur pour Michael Cimino, Meilleur montage, Meilleur film, Meilleur son, Meilleur acteur dans un second rôle pour Christopher Walken et le Golden Globe du meilleur réalisateur pour Michael Cimino, rien que ça! )
    Pour ma part, j'ai trouvé le film long et lent, pour moi, presque chaque scènes auraient pu être raccourcies de dix minutes, voire d'une demi-heure pour la scène du mariage!
    Mais si on oublie la longueur, il est vrai que ce film est excellent, des prestations magnifiques de Christopher Walken, Meryl Streep, John Cazale et de Robert De Niro, pour ne citer qu'eux, un scénario chaotique mais superbement mené et une mise en scène parfaite.
    Une des choses les plus importantes pour moi, dans un film, c'est sa fin ; Celle-ci m'a ravi! Vous vous direz peut-être que je n'ai pas de coeur mais j'adore ce genre de fin, marre des Happy-Ends!
    Un très bon film, non pas sur la guerre elle même ( il n'y a pas plus de cinq minutes de guerre proprement dit ), mais beaucoup plus sur les traumatismes de guerre.
    Un film à voir également pour ses scènes de "Roulette Russe" criantes de réalisme et qui prennent aux tripes d'une force incroyable!
    stallonefan62
    stallonefan62

    246 abonnés 2 495 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2020
    Je croyais voir un film de guerre mais il en est rien !! Ce film traite principalement de l'aspect psychologique de la guerre du Vietnam !! J'ai trouvé ça très long et ennuyeux !! Déjà la 1ère partie fût un long chemin de croix où j'ai bien failli arrêter pour ne pas subir pendant 3 longues heures !! Puis arriva la séquence au Vietnam et cette fameuse scène de roulette russe !! Une scène incroyablement mise en scènes avec énormément de tensions !! dommage que la suite ne suit pas sauf le final avec un Christopher Walken convaincant !!
    Gonnard
    Gonnard

    221 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2008
    Dans la première partie du film, on a droit à une mauvaise vidéo familiale d'un mariage. Blagues grasses, alcool, tentatives de drague minables, ... on se dit "Et le Vietnam, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?". La seconde partie aborde enfin le sujet. Comme on a bêtement perdu du temps dans la première partie, les ellipses temporelles sont légion. On nous offre un best of des pires heures asiatiques. La troisième partie est la meilleure, tout le film est censé reposer sur elle en fait. Mais ça pleurniche, ça s'enlise, ça finit même par un chant patriotique à la fin. Si vous parvenez à ne pas vous endormir avant la fin, c'est que vous êtes un vrai combattant. L'une des originalités anodines de ce film sur le traumatisme du Vietnam, c'est de s'intéresser à une communauté d'origine slave et orthodoxe.
    Alain D.
    Alain D.

    516 abonnés 3 220 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2015
    Pennsylvanie, 1968. Une bande de cinq potes sidérurgistes travaillent dans une aciérie. Le soir, ils vont picoler au bistrot de leur petit bled paumé. L'un d'entre eux se marie et puis c'est le Vietnam. La guerre est très dure spoiler: mais le retour au bled sera plus difficile encore.


    Un jeu d'acteurs excellents avec Meryl Streep, Robert De Niro, Christopher Walken et John Cazale. Quelques belles images des montagnes de Pennsylvanie. De nombreuses séquences de jeux macabres de "roulette russe" qui finissent par lasser. A Part cela, il ne se passe pas grand chose : le rythme est très lent, (la scène du mariage dure environ une demi-heure) et le scénario est plus que mince pour un film de 3 Heures.

    Ce "Voyage au bout de l'enfer" a failli en être un pour moi. Un résultat très moyen pour ce film de Michael Cimino qui pèche par son scénario et sa longueur.
    Adrien C
    Adrien C

    21 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2013
    Un film exceptionnel qui n'a pas pris une ride! On découvre (ou redécouvre) un De Niro très jeune et pourtant déja au sommet de son jeu d'acteur et un Christopher Walken bouleversant... Le scénario est très bien bâtit, un classique à ne surtout pas manquer!
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top