Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Meurs un autre jour, plus sombre, plus dramatique, fait référence aux premiers opus, époque Connery, avec toute la quincaillerie high-tech d'aujourd'hui en plus. Une belle réussite.
Tout au long du film, alternent desséquences d'action plus étonnantes les unes que les autres, bénéficiant d'extraordinaires effets spéciaux et des scènes plus traditionelles, où de sculpturales jeunes femmes sont toujours dangereuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le James Bond arrivé. Dents blanches, oeil de velours, le smoking impeccablement repassé, on pourrait penser qu'il ressemble à tous les autres... et pourtant ! Plus rapide, plus drôle, plus rythmé, le meilleur agent de sa Majesté a pris un coup de jeune grâce notamment à une réalisation et un montage parfaits.
Bref, le cahier des charges -recyclage des figures imposées, avec (légers) changements dans la continuité- est parfaitement respecté. Un Bond cru, donc.
(...) en fait, seul le début, traité en couleurs désaturées, dans une Corée du Nord sinistre, ambiance carcérale et totalitaire, diverge légèrement de la norme habituelle des James Bond. Le reste est à l'aune des sempiternelles aventures de ce dinosaure du machisme : tueries, coucheries soft, gadgets, et bien sûr un festival de scènes périlleuses et spectaculaires qui nourrissent le suspense.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Tout ceci, bien sûr, avec l'aide de la très, très séduisante nouvelle "Bond girl", Halle Berry (...) que l'on voit, comme jadis Ursula Andress, surgir de l'onde à Cuba et qui, inattaquable par les balles, la torture et même la noyade, ne peut bien sûr pas résister... au charme irrésistible de Bond-Brosnan. Nous non plus, finalement, d'autant que son humour est de retour.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Evidemment le scénario est invraisemblable, mais lorsque l'on va voir un James Bond, on sait à quoi s'attendre. Ce qui reste incroyable c'est que les scénaristes arrivent encore malgré tout à nous éblouir et nous surprendre avec, à chaque fois, de nouvelles idées et de nouvelles trouvailles.
Mais attention, si le dernier James Bond en date s'avère rafraîchissant, il reste encore soumis aux aléas du marketing (...). Encore une fois, 007 est dans la norme (à l'heure actuelle, rassurante), et c'est pour cela qu'il ne meurt jamais...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Osons les trois étoiles pour le vingtième 007, de loin le meilleur Pierce Brosnan et celui qui mixe le mieux le traditionnel flegme britiqh et la désormais indispensable surenchère de spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le résultat est un film qui a de l'esprit et de la tenue, et qui reprend avec mesure le chemin des fantaisies d'antan : une clinique de La Havane spécialisée dans le changement d'ADN, un roi du diamant qui a fait construire en Islande un hôtel de glace, une brune torride et une blonde réfrigérante... Peu à peu, tout l'univers de 007 est à nouveau en place.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Die Another Day, cybermerdouille pyrotechnique vaguement distrayante, pousse au comble l'option videogame des derniers avatars, jusqu'au blanc polaire décor du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Si l'on s'amuse encore des clins d'oeil aux scènes phares de la série (Berry en bikini, poignard à la ceinture, sortant de l'eau), la musique et surtout le tube de Madonna, en guest-star, les nouveaux sports de Bond (surf, escrime) ravivent trop rarement un scénario abscons, des méchants insignifiants et une réalisation à la hache, signé du pape pro-aborigène de la violence gratuite, Lee Tamahori. Mitigé donc.
DIE ANOTHER DAY est le vingtième James Bond et il témoigne de la fatigue cinématographique qu'accuse le mythe. En voulant plaire aux spectateurs de 7 à 77 ans, Bond perd de sa superbe et se fane.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
En fait, Meurs un autre jour est un cocktail au shaker trop frappé, appréciable pour les estomacs bien accrochés mais imbuvables pour les puristes dont nous sommes.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Les références récurrentes aux précédents épisodes de la série – quarantième anniversaire de l'agent secret oblige – fonctionnent comme un jeu de l'oie qui retire progressivement 007 du cadre géopolitique pour en faire le centre d'une absurde mise en abyme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Meurs un autre jour, plus sombre, plus dramatique, fait référence aux premiers opus, époque Connery, avec toute la quincaillerie high-tech d'aujourd'hui en plus. Une belle réussite.
Le Parisien
Tout au long du film, alternent desséquences d'action plus étonnantes les unes que les autres, bénéficiant d'extraordinaires effets spéciaux et des scènes plus traditionelles, où de sculpturales jeunes femmes sont toujours dangereuses.
MCinéma.com
Le James Bond arrivé. Dents blanches, oeil de velours, le smoking impeccablement repassé, on pourrait penser qu'il ressemble à tous les autres... et pourtant ! Plus rapide, plus drôle, plus rythmé, le meilleur agent de sa Majesté a pris un coup de jeune grâce notamment à une réalisation et un montage parfaits.
Aden
Quant aux fans de Pierce, sachez-le, mesdemoiselles, il est plus jeune, plus beau et plus musclé que jamais. Indestructible.
Brazil
Bref, le cahier des charges -recyclage des figures imposées, avec (légers) changements dans la continuité- est parfaitement respecté. Un Bond cru, donc.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) en fait, seul le début, traité en couleurs désaturées, dans une Corée du Nord sinistre, ambiance carcérale et totalitaire, diverge légèrement de la norme habituelle des James Bond. Le reste est à l'aune des sempiternelles aventures de ce dinosaure du machisme : tueries, coucheries soft, gadgets, et bien sûr un festival de scènes périlleuses et spectaculaires qui nourrissent le suspense.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Tout ceci, bien sûr, avec l'aide de la très, très séduisante nouvelle "Bond girl", Halle Berry (...) que l'on voit, comme jadis Ursula Andress, surgir de l'onde à Cuba et qui, inattaquable par les balles, la torture et même la noyade, ne peut bien sûr pas résister... au charme irrésistible de Bond-Brosnan. Nous non plus, finalement, d'autant que son humour est de retour.
Ouirock.com
Evidemment le scénario est invraisemblable, mais lorsque l'on va voir un James Bond, on sait à quoi s'attendre. Ce qui reste incroyable c'est que les scénaristes arrivent encore malgré tout à nous éblouir et nous surprendre avec, à chaque fois, de nouvelles idées et de nouvelles trouvailles.
Positif
Mais attention, si le dernier James Bond en date s'avère rafraîchissant, il reste encore soumis aux aléas du marketing (...). Encore une fois, 007 est dans la norme (à l'heure actuelle, rassurante), et c'est pour cela qu'il ne meurt jamais...
Première
Osons les trois étoiles pour le vingtième 007, de loin le meilleur Pierce Brosnan et celui qui mixe le mieux le traditionnel flegme britiqh et la désormais indispensable surenchère de spectaculaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le résultat est un film qui a de l'esprit et de la tenue, et qui reprend avec mesure le chemin des fantaisies d'antan : une clinique de La Havane spécialisée dans le changement d'ADN, un roi du diamant qui a fait construire en Islande un hôtel de glace, une brune torride et une blonde réfrigérante... Peu à peu, tout l'univers de 007 est à nouveau en place.
Chronic'art.com
Le résultat, s'il ne déçoit pas totalement, ne viendra pas changer la donne : Bond est à bout de souffle (...).
Libération
Die Another Day, cybermerdouille pyrotechnique vaguement distrayante, pousse au comble l'option videogame des derniers avatars, jusqu'au blanc polaire décor du film.
Mad Movies
La routine en somme, mais on attend encore LE film qui confirmera que Pierce Brosnan est bel et bien le digne successeur de Sean Connery.
Zurban
Si l'on s'amuse encore des clins d'oeil aux scènes phares de la série (Berry en bikini, poignard à la ceinture, sortant de l'eau), la musique et surtout le tube de Madonna, en guest-star, les nouveaux sports de Bond (surf, escrime) ravivent trop rarement un scénario abscons, des méchants insignifiants et une réalisation à la hache, signé du pape pro-aborigène de la violence gratuite, Lee Tamahori. Mitigé donc.
Cinopsis.com
DIE ANOTHER DAY est le vingtième James Bond et il témoigne de la fatigue cinématographique qu'accuse le mythe. En voulant plaire aux spectateurs de 7 à 77 ans, Bond perd de sa superbe et se fane.
Fluctuat.net
En fait, Meurs un autre jour est un cocktail au shaker trop frappé, appréciable pour les estomacs bien accrochés mais imbuvables pour les puristes dont nous sommes.
Le Monde
Les références récurrentes aux précédents épisodes de la série – quarantième anniversaire de l'agent secret oblige – fonctionnent comme un jeu de l'oie qui retire progressivement 007 du cadre géopolitique pour en faire le centre d'une absurde mise en abyme.