Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Le résultat force l'admiration, conjuguant des images sublimes et des commentaires éclairés sur la conservation de la faune et de la flore locales dans un documentaire passionnant. Une parenthèse de bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une magnifique ode au temps suspendu et à la beauté de la nature.
Voici
par La Rédaction
Sylvain Tesson explore les sublimes paysages du Tibet, peaufine la patience, dialogue sur le sens et la beauté du monde... On adore !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le voyage imprévisible est splendide, traversé par toute un bestiaire, la faune des loups, des ours, des yacks, des oiseaux.
Elle
par La Rédaction
Un documentaire magnifique.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans ces paysages grandioses, l'homme ne peut pas dicter sa loi. Il doit s'adapter en puisant en lui du courage et une patience nouvelle. Mais ce qu'il reçoit en retour est au-delà des mots.
La Croix
par Céline Rouden
À la force du récit de Sylvain Tesson s’ajoute la beauté des images de Vincent Munier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Le film nous ouvre les yeux, les horizons, nous applique un baume de beauté. Et nous questionne : sommes-nous prêts, où que nous soyons, à nous arrêter pour regarder le monde sauvage et le chérir ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une quête comme un voyage intérieur.
Le Figaro
par Etienne Sorin
La Panthère des neiges , porté par la musique de Warren Ellis, est bien plus qu’un documentaire animalier. C’est un film sur le regard, sur le visible et l’invisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
C’est poignant, passionnant dans la recherche d’un face-à-face authentique avec le monde sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une sorte de voyage dans le temps, sur la musique de Nick Cave, où il ne peut rien se passer pendant des heures, sinon l'observation d'une nature impassible et grandiose.
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Un beau documentaire qui nous permet de contempler une nature sauvage et encore vierge, hélas en voie de disparition.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
Au final, l’immense miroir de l’Himalaya reflète la place de l’homme dans l’univers et ce qu’il a égaré dans son histoire. Il esquisse peut-être aussi des pistes, des solutions : pour mieux habiter notre planète, apprenons à mieux la regarder.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Marie Amiguet et Vincent Munier ont réalisé ce documentaire magnifique où il est question de la quête d’une panthère des neiges au Tibet.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[Un] récit d’aventures aux images d’une beauté sidérante, dont on sort émerveillé.
Télérama
par Virginie Félix
De cette quête délicate, Tesson avait déjà tiré un récit étincelant, dans lequel il célébrait l’affût comme style de vie et déplorait le lien distendu de l’homme avec la nature. Bien plus qu’une adaptation de l’ouvrage à succès, le documentaire raconte avec son propre regard, aussi épuré que subtil, cette épopée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Sophie Grassin
Au mutisme de Munier, Sylvain Tesson oppose en voix off ses aphorismes sur l’absurdité de notre petit théâtre social, les vanités de notre épilepsie moderne, l’inanité de ses conférences et autres glapissements. Non dénué d’humour et assez fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
On entre dans le documentaire à pas feutrés, le film dispensant au compte-gouttes ses images à couper le souffle.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film animalier hors du commun, avec pour question : et si la meilleure façon de changer ce monde était tout simplement d'apprendre à mieux le regarder ?
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Frédéric Foubert
L’écrivain-voyageur joue avec humour son rôle de globe-trotteur survolté soudain obligé de marquer un temps d’arrêt, mais son côté showman installe également une contradiction au cœur du film, en parasitant par la parole et un déluge d’aphorismes un très beau livre d’images, censé vanter l’importance de la contemplation et du silence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Ici, les visions d’êtres sauvages (yak, cerf, manul) ne servent que de balises dans un récit téléguidé par deux hommes obsédés par le félin blanc et décidemment rétifs à la morale exposée par Tesson au début du film "Tout n’est pas destiné à être vu."
Le Journal du Dimanche
Le résultat force l'admiration, conjuguant des images sublimes et des commentaires éclairés sur la conservation de la faune et de la flore locales dans un documentaire passionnant. Une parenthèse de bonheur.
Ouest France
Une magnifique ode au temps suspendu et à la beauté de la nature.
Voici
Sylvain Tesson explore les sublimes paysages du Tibet, peaufine la patience, dialogue sur le sens et la beauté du monde... On adore !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le voyage imprévisible est splendide, traversé par toute un bestiaire, la faune des loups, des ours, des yacks, des oiseaux.
Elle
Un documentaire magnifique.
Femme Actuelle
Dans ces paysages grandioses, l'homme ne peut pas dicter sa loi. Il doit s'adapter en puisant en lui du courage et une patience nouvelle. Mais ce qu'il reçoit en retour est au-delà des mots.
La Croix
À la force du récit de Sylvain Tesson s’ajoute la beauté des images de Vincent Munier.
La Voix du Nord
Le film nous ouvre les yeux, les horizons, nous applique un baume de beauté. Et nous questionne : sommes-nous prêts, où que nous soyons, à nous arrêter pour regarder le monde sauvage et le chérir ?
Le Dauphiné Libéré
Une quête comme un voyage intérieur.
Le Figaro
La Panthère des neiges , porté par la musique de Warren Ellis, est bien plus qu’un documentaire animalier. C’est un film sur le regard, sur le visible et l’invisible.
Le Parisien
C’est poignant, passionnant dans la recherche d’un face-à-face authentique avec le monde sauvage.
Le Point
Une sorte de voyage dans le temps, sur la musique de Nick Cave, où il ne peut rien se passer pendant des heures, sinon l'observation d'une nature impassible et grandiose.
Les Fiches du Cinéma
Un beau documentaire qui nous permet de contempler une nature sauvage et encore vierge, hélas en voie de disparition.
Positif
Au final, l’immense miroir de l’Himalaya reflète la place de l’homme dans l’univers et ce qu’il a égaré dans son histoire. Il esquisse peut-être aussi des pistes, des solutions : pour mieux habiter notre planète, apprenons à mieux la regarder.
Sud Ouest
Marie Amiguet et Vincent Munier ont réalisé ce documentaire magnifique où il est question de la quête d’une panthère des neiges au Tibet.
Télé 7 Jours
[Un] récit d’aventures aux images d’une beauté sidérante, dont on sort émerveillé.
Télérama
De cette quête délicate, Tesson avait déjà tiré un récit étincelant, dans lequel il célébrait l’affût comme style de vie et déplorait le lien distendu de l’homme avec la nature. Bien plus qu’une adaptation de l’ouvrage à succès, le documentaire raconte avec son propre regard, aussi épuré que subtil, cette épopée.
L'Obs
Au mutisme de Munier, Sylvain Tesson oppose en voix off ses aphorismes sur l’absurdité de notre petit théâtre social, les vanités de notre épilepsie moderne, l’inanité de ses conférences et autres glapissements. Non dénué d’humour et assez fascinant.
Le Monde
On entre dans le documentaire à pas feutrés, le film dispensant au compte-gouttes ses images à couper le souffle.
Les Echos
Un film animalier hors du commun, avec pour question : et si la meilleure façon de changer ce monde était tout simplement d'apprendre à mieux le regarder ?
Première
L’écrivain-voyageur joue avec humour son rôle de globe-trotteur survolté soudain obligé de marquer un temps d’arrêt, mais son côté showman installe également une contradiction au cœur du film, en parasitant par la parole et un déluge d’aphorismes un très beau livre d’images, censé vanter l’importance de la contemplation et du silence.
Cahiers du Cinéma
Ici, les visions d’êtres sauvages (yak, cerf, manul) ne servent que de balises dans un récit téléguidé par deux hommes obsédés par le félin blanc et décidemment rétifs à la morale exposée par Tesson au début du film "Tout n’est pas destiné à être vu."