Avis sur Cet été-là

Je commence cette année 2023 au cinéma avec ce film, réalisé par Éric Lartigau, qui n'est n'est franchement pas terrible ! Je ne m'attendais à pas grand-chose, je dois avouer que j'ai été le voir un peu par dépit car rien d'autre ne me tentait, et j'ai quand même été déçu ! C'est ici l'histoire de Dune, une jeune pré-adolescente, qui part avec ses parents en vacances et y retrouve là-bas sa copine. Ses parents s'engueulent constamment, elle observe les adolescents faire la fête et parler de sexe et puis elle s'engueule aussi assez souvent avec sa pote, restée trop naïve pour elle. On est ici dans le thème du passage de l'enfance à l'adolescence, dans lequel l'été représente une sorte de parcours initiatique où le personnage principal va grandir (contrairement à sa pote qui semble ne rester qu'une enfant), découvrir mais surtout comprendre de nouvelles choses. Et en même temps, le film rappelle beaucoup le cinéma de Téchiné, à la fois dans cette ambiance chaude et estivale mais également dans le rapport entre les personnages, et notamment dans la relation entre Dune et sa mère, problématique mais en même temps attachante, rappelant beaucoup la même (entre le fils et la mère donc) dans "Le lieu du crime". On retrouve également beaucoup ce côté film d'auteur de chez Téchiné dans lequel les dialogues ne mènent pas forcément à quelque-chose de concret, ce qui n'est pas dérangeant chez le réalisateur car c'est maitrisé, mais qui est en revanche beaucoup plus bancal ici. En effet, j'ai eu ce sentiment que le film voulait faire film d'auteur pour faire du film d'auteur, que le tout manquait de sincérité, notamment dans les dialogues qui se veulent légers mais qui sont finalement très mécaniques. C'est un problème venant de l'écriture mais également du jeu des acteurs, et notamment de Rose Pou Pellicier et Juliette Havelange, parfois trop approximatif. Et c'est dommage car les dialogues sont dans l'ensemble plutôt bons et notamment cette manière de voir la vie et la sexualité à travers les yeux de deux gamines encore innocentes qui pensent tout savoir, rappelant d'ailleurs beaucoup l'épisode "Petites filles modèles" de Strip-Tease. Parallèlement aux "aventures" des deux gamines et aux problématiques rencontrées par les adolescents (rajoutant un peu de mélodrame à l'ensemble mais sinon un peu inutile et survolé), nous avons les problèmes de couple des parents de Dune. Problèmes qui auraient pu être bien mieux exploités tant ils sont intéressants. On a en effet la mère qui parait névrosée et dépressive pour une raison que nous ne serons qu'à la fin (ce qui est dommage puisque cela aurait pu permettre d'enrichir le personnage plus tôt) et le père qui essaye tant bien que mal de sauver les meubles. Malheureusement, nous ne passons bien que trop peu de temps dessus et le temps qui leur est accordé se résume majoritairement à des disputes bilingues, ce qui est bien dommage car on a encore une fois l'impression que le sujet est survolé. "Cet été-là" est donc un film qui possède quelques bonnes idées et dont l'ambiance estivale est réussie mais qui n'arrive pas pleinement à maitriser son sujet et qui est surtout très long par moments.

Film très creux avec des dialogues plutôt surprenants pour des enfants, histoire pas très motivante....

Voici pour le synopsis officiel de ce film car, en ce qui me concerne, très sincèrement, je serais incapable de vous dire de quoi ça parle !
Pendant plus d'une heure il ne se passe rien et, dès que quelque chose se passe, tout bascule tout à coup, sans explication.
Les personnages sont mal cernés, c'est mal joué, mollement mis en scène et la scène la plus importante du film est tournée de nuit, mal éclairée.
Il y avait longtemps que je n'avais pas vu une telle daube au cinéma !
Des films sur les ressentis des jeunes ado en vacances il y en a des tas et des rées bon. Il était inutile de produire un truc aussi informe.
Inepte, insipide et pour tout dire inutile !
Comment, alors que le cinéma français se porte si mal, peut-on produire une daube pareille ?
D'ordinaire, je suis plutôt bon public, notamment avec le cinéma français, mais il faut arrêter de prendre le spectateur pour un con !
Je me faisais un plaisir de retrouver, sur grand écran, Gael Garcia Bernal, acteur mexicain talentueux, trop tard, mais, non seulement il est absent la moitié du film, mais il ne parvient à rien sauver de ce désastre. Et ce n'est pas Marina Foïs, mono-expressive, comme dans tous ses films, qui peut sauver ce fiasco.
Non, vraiment, s'il y a un bien un film à éviter, c'est celui-ci !

Les personnages sont touchants, interprétés avec talent, le scénario est bien ficelé, plus on avance dans le film et plus on est happé par l'histoire... très bonne et belle projection !

Énième film sur la supposée magie de l'enfance et sa prétendue spontanéité - ce qui donne lieu à des dialogues beaucoup trop écrits.. Hélas, domine surtout l'impression d'avoir déjà vu ce film 200 fois.
Quant à Marina Foïs, elle joue pour la 50e fois une femme au bout du rouleau. Quelle lassitude...

Film au scénario nouveau très attachant on en sort léger et souriant avec une interprétation de grande qualité de tous les acteurs notamment les deux petites filles adorables Excellents dialogues

Film sana intérêt. Aucun caractère, dialogues creux, acteurs mal dirigés, vraiment très mauvais. Je déconseille fortement.

Une fillette tient très bien son rôle dans un scénario pourtant inepte, servi par une bande-son défectueuse.
La moitié des dialogues sont inaudibles, et peut-être est-ce mieux ainsi…
Éprouvant de la difficulté à m'extirper de ma couchette confortable (dans le nouveau Pathé Montparnasse), j'ai dû rester jusqu'au bout.
Et force m'est de reconnaître que la suite de cette épreuve m'a tenu en haleine, tant j'assistais,incrédule, à un déroulé totalement cohérent avec le début du film : nul.

C'est drôle comme la plupart des films dits d'apprentissage se déroulent quasi systématiquement pendant l'été. Ils constituent un genre à part entière dans l'histoire du cinéma et peu importe où ils se déroulent, leur caractère universel apparait comme une évidence. Tout ceci pour en venir à Cet été-là d'un Eric Lartigau que l'on a connu plus inspiré, ces dernières années. L'histoire est racontée à hauteur de jeune fille (11ns), bien mûre pour son âge, soit dit en passant, pré-adolescente qui semble avoir déjà une vision très lucide des errements des adultes qui l'entourent. Il est cependant assez étonnant de la voir gambader aussi librement dans les forêts des Landes, sans que ses parents s'en soucient, mais il est vrai que les susdits ont d'autres chats à fouetter (on apprendra bien assez tôt de quel drame il s'agit). Le film, dénué de tout rythme, avance par touches impressionnistes mais les dialogues sonnent faux car bien trop écrits, enlevant toute spontanéité au jeu de sa petite héroïne. Quant aux plus grands, aussi talentueux soient ils : Chiara Mastroianni, Marina Foïs et même le grand Gael Garcia Bernal (mais oui, c'est bien lui, pour son premier film en France), leur temps d'apparition est fort limité et ne permet pas d'approfondir leurs personnages respectifs. Ce serait excessif de dire que Cet été-là suinte l'ennui mais disons que rien, ou presque, ne suscite d'exaltation, avec cette forte impression de "déjà vu" et de bien mieux vu, auparavant.

Le film a un bon potentiel mais tout n'est pas assez exploité pour que ce soit complètement reussi. C'est du vu et revu et ça manque cruellement d'originalité malgré que ce soit touchant et que l'on puisse s'identifier à cette histoire. Alors la jeune protagoniste est incroyable, elle joue à merveille. Par contre, j'ai pas du tout compris le choix de Gael Garcia Bernal, complètement hors sujet, gênant et voire même malaisant. Pour le reste, j'ai bien aimé les quelques relations entre les personnages, les images et la BO. Je m'attendais un peu à mieux mais le cinéma français a baissé depuis un certain nombre d'années. Correct mais pas révolutionnaire. 11/20.

Jolie chronique de l'enfance il faut tout de même lâcher prise pour adhérer complètement au scénario. On peine parfois à croire que des jeunes enfants puissent tenir ce genre de propos' explication finale de la dépression de la mère est un peu bâclée Maïs l' ensemble reste plaisant grâce à la fraîcheur des deux actrices et à la justesse de Marina Foïs et gaël Garcia Bernal Pas le meilleur Lartigau mais ça vaut le coup d'œil.

"Cet été-là" est une comédie à la française moyenne dans l'ensemble. En effet le réalisateur Eric Lartigau (la Famille Bélier) nous propose une histoire qui se suit comme une bonne guimauve abordant la fin de l'innocence chez les enfants et le début de l'adolescence avec une certaine mélancolie, avec deux jeunes actrices talentueuses et la présence de Chiara Mastroianni qui donne un peu de piment, cependant j'ai trouvé l'ensemble trop lisse, l'histoire un peu vaine et des seconds rôles très pales , bref vite oublié à la sortie de la salle.

Eric Lartigau signe un nouveau film familial où il raconte un été du point de vue de Dune. Elle a 11 ans, et elle s’apprête à passer son été dans la maison de vacances de ses parents. Ils vivent une mauvaise passe, et Dune grandit, et évolue. Le film est assez plat, et ennuyeux. Si un rebondissement vient réveiller le film à la fin, le tout est trop fade.

Franchement , il y a longtemps que je n' ai vu un film aussi désastreux . C'est tellement mauvais qu'un fou rire nous a pris , mon amie et moi tant les situations sont grotesques . Mal joué , loufoque , et pas de scénario , vulgaire , les deux gamines délurées sont insupportables mériteraient des claques . On ne comprend pas un mot de ce qu'elles se disent , ce n'est finalement peut être pas plus mal ...! Et pour couronner le tout , on dirait que Marina Foïs , à chaque plan, vient de sortir du lit en s'étant levée du pied gauche .Bref , à fuir .

C'est l'été et Dune, 11 ans, part en vacances avec ses parents dans les Landes.
Elle va retrouver sur place Mathilde, son amie de toujours, ainsi qu'une ribambelle de "grandes" personnes.
Nous allons alors vivre ces grandes vacances au travers du regard juvénile et naïf de ces deux gamines, bien décidées qu'elles sont à tenter de comprendre ce monde étrange et tourmenté qu'on appelle l'âge adulte.
Autant raconter les péripéties de divers personnages profitant d'un été en bord de mer n'est pas très nouveau, autant proposer tout ce récit en se plaçant du point de vue de deux enfants de 10-11 ans permet de voir les choses sous un autre angle et d'aborder les problèmes de la vie de façon complètement décalée.
Cette approche cinématographique est pittoresque et amusante un moment, mais manque radicalement de souffle et d'intensité sur la distance, c'est d'autant plus dommage que j'ai été bluffé par le brio face caméra de la jeune Rose Pou Pellicer dans le rôle principal.
Mignon mais sans réelle épaisseur.
Site CINEMADOURG.free.fr