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    Empire Of Light
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    4,0
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    274 critiques spectateurs

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    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    116 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2023
    Un film empesé et assez ronflant. Le jeu des acteurs est delicat et gracieux , mais le film est froid , sans vie. Où est l'hommage au cinéma ? A la passion des films? Tout semble déjà mort ici. On est loin de cinéma paradisio ou de the fabllesman. Déçue.
    Golem passif
    Golem passif

    23 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Il y a de quoi faire un bon clip de musique de piano mélancolique avec fond "bruit de pluie".
    Sinon, quand le film essaye de raconter quelque chose, c'est compliqué. Le film ne choisit jamais son sujet, il reste donc toujours superficiel et niais.
    Everever
    Everever

    28 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2023
    Un film gentillet et propret qui, avec force clichés, rend hommage au cinéma dans un contexte de racisme et de machisme en Angleterre, durant les années Thatcher. De jolies images, une jolie histoire d'amour pleine d'une belle humanité, de belles valeurs, et tout ça très mélo et couronné par une morale plan-plan: on peut renaître de ses cendres... grâce au cinéma. C'est d'une naïveté déconcertante. Sans grand intérêt, mais vaut sans doute le détour pour la remarquable prestation d'Olivia Coleman.
    norman06
    norman06

    311 abonnés 1 610 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 avril 2023
    Une bluette à Oscars, avec histoire édifiante, petites notes de piano et ton lacrymal. On attendait mieux de Sam Mendes.
    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    56 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mars 2023
    The Empire of light
    Sam Mendes veut traiter de trop nombreux thèmes, ce qui dilue l’intérêt de son film. La solitude, le racisme, les tares des humains, la magie du cinéma…
    Olivia Coleman est excellente. La dominante sépia de la couleur souligne le côté nostalgique du film qui se traîne un peu et n’est pas bien gai.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    43 abonnés 510 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2023
    "Empire of light" est un film nostalgique sur un cinéma de quartier dans une ville balnéaire anglaise au debut des années Thatcher.
    Batisse décrepie, à la gloire dévolue, ce cinéma est géré par une équipe hétéroclite, composée de femmes et d'hommes cabossés et au destin limité.
    Film respectable, "Empire of light" souffre de longueurs et de sujets multiples qui finissent par nuire à l'oeuvre.
    Min S
    Min S

    51 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 mars 2023
    La description m'avais donné grave envie de le voir mais malheureusement J'ai pas de tout accroché ni au format ni à l'histoire. Ou pas de tout compris le but de ce film.
    jean D.
    jean D.

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mars 2023
    La perfection, est-ce possible ? Avec Empire of Light, oui. La photo, les acteurs l’histoire, les personnages, l’esthétique du lieu. Tout est là, l’émotion, la beauté. J’étais en dehors du temps pendant ce long et beau film. Quelle belle histoire du cinéma. Les bobines, les projecteurs, le projectionniste, l’arc électrique avec les charbons.
    Et l’émotion que nous transmettent Olivia Colman et Michael Ward, inoubliable. Tous les acteurs sont extraordinaires. Merci.
    selenie
    selenie

    5 580 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2023
    Le contexte, les protagonistes font que le récit aborde plusieurs sujets intéressants (racisme, relation interraciale et intergénérationnelle, maladie, adultère, passion du cinéma...), dont on, attend aussi que l'histoire prenne un peu d'envol. Par exemple, une telle relation amoureuse au début des années 80 devrait sans doute avoir plus de conséquences, les références à l'actualité restent peut-être trop confidentielles, tandis que les autres employés du cinéma sont un peut trop sous-exploités mais le plus décevant reste la partie cinéma, amour de cinéma, amour des films, son importance qui reste finalement très en surface ; on est loin de "Cinema Paradiso" (1988). Dans la dernière partie on a bien du mal à croire à son retour au boulot, et comment expliquer la disparition du directeur ?! C'est une chronique attachante, au décor soigné, une belle photographie, merveilleusement bien joué, avec plusieurs passages qui ne manquent pas de grâce mais en même temps ce 8ème film de Sam Mendes est le premier qui laisse un peu sur notre faim.
    Site : Selenie.fr
    ffred
    ffred

    1 539 abonnés 3 978 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2023
    Après trois gros films dont deux James Bond, revoilà Sam Mendes dans un film plus intimiste. Un bel hommage au cinéma (surtout l’endroit, les salles) et à sa mère qui a souffert du même genre de maladie que l’héroïne. L’histoire est belle, forte, cruelle, parfois un peu dérangeante. Mais Mendes reste assez en surface. Le scénario est assez prévisible et la mise en scène est bien sage. Les acteurs, eux, sont formidables. Le talent d’Olivia Colman, Colin Firth ou Toby Jones n’est plus à prouver et Micheal Ward est une belle révélation. Techniquement c’est superbe. La photo est splendide, les décors somptueux. Le cinéma en lui-même est une merveille et presque un personnage à part entière de l’histoire. On assiste donc à quelques scènes magnifiques, à un ou deux moments de grâce. Mais le tout ne décolle jamais vraiment. Il manque un ou deux petits quelques choses pour en faire un grand mélo. Malgré tout, Empire of light est un beau film qui se laisse regarder sans problème. Pas le meilleur de son auteur mais très agréable.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    278 abonnés 2 829 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2023
    Avec pour point d'ancrage un cinéma d'une région balnéaire d'Angleterre, S. Mendes réalise une étude de caractères et à la fois un drame social sur fond de photographie d'une époque, le début des années 80. Un récit intime, délicat, qui, sans effets superflus, réserve des petits moments de grâce, notamment dans les rapports humains. dommage, la scène de violence n'est pas rendue crédible sur la forme. O. Colman livre une belle prestation, toute en émotions et M. Ward illumine de sa présence.
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Après Steven Spielberg et Damian Chazelle, c’est au tour de Sam Mendes de célébrer le cinéma mais en prenant un angle différent. Au lieu de célébrer ceux qui le font, il choisit de tourner sa caméra vers ceux qui le projette, le font vivre, et aussi vers ceux qui le regarde. Sam Mendes nous offre un film superbement réalisé, avec notamment un travail sur la lumière tout à fait remarquable. Que ce soit la lumière des néons, celle du jour, celle des réverbères, celle des projecteurs ou celle des feux d’artifices, le bien nommé « Empire of Light » bénéficie d’une photographie et d’un travail sur l’image qui saute aux yeux. Sur le papier on se dit que le sujet ne va pas être propice au dynamisme et au rythme, qu’il y a un risque qu’on s’ennuie à côtoyer ces deux personnages un peu perdus dans un monde trop hostile pour eux. Et bien pas du tout, on ne s’ennuie pas devant « Empire of Light », même si il y a des scènes un peu silencieuses, même si film est chiche côté humour et joie de vivre, il est suffisamment rythmé pour tenir la route deux heures durant. Il y a des scènes fortes, très fortes même et qui prennent aux tripes spoiler: (l’attaque des skinheads sur le cinéma, qui commence comme un gentil défilé de vespa et se termine en lynchage est aussi courte qu’elle est anxiogène),
    et certaines scènes mettent bien en valeur la maladie mentale du personnage d’Hilary spoiler: (la scène du château de sable, celle de l’avant première, celle de l’appartement)
    , car le personnage central du film, c’est elle, c’est Hilary. Et Hilary, c’est Olivia Colman. Elle incarne une Hilary spoiler: clairement bipolaire, qui arrête ses médicaments pensant que ça l’éteint (c’est le verbe qu’elle emploie) et qui se met à alterner épisodes de dépression terrible avec épisodes de frénésie exaltée, clairement une illustration du patient maniaco-dépressif même si le nom de la maladie n’est jamais prononcé.
    Olivia Colman est merveilleuse, aussi bouleversante que transpirant la sincérité dans chacune de ses scènes, c’est vraiment une comédienne exceptionnelle de justesse et de sobriété, et ce rôle est l’occasion d’une « masterclass » en la matière. A ses côtés, le jeune Michael Ward ne démérite pas en jeune homme en proie à un racisme qui monte dans la société et le met en position de proie de plus en plus souvent. Il a la révolte sourde de ceux qui serrent les dents et font le dos rond jusqu’au jour où ce ne sera plus possible, et là ils en seront les premières victimes. Le rôle de Stephen est plus « simple » à composer que celui d’Hilary mais Michael Ward s’en sort très bien. Les seconds rôles sont un peu éclipsés par ce couple hors des sentiers battus et même Colin Firth, dans un rôle pourtant très antipathique, ne parvient pas trop à exister face à eux. Sur le scénario, on peut éventuellement trouver un petit peu à redire. Quand je lis ici où là que ce film est un hommage au cinéma, je trouve qu’on exagère un peu. Du cinéma, les personnages n’en voient pas beaucoup, ils en parlent mais ne saisissent pas l’occasion d’en profiter comme si c’était un loisir pour les autres, pas pour eux. Le film aurait pu insister un peu plus sur le côté « consolateur » du cinéma. Et puis, même si le scénario en parle beaucoup, le côté « couple mixte » avec ce que cela suppose de problème n’est pas beaucoup exposé. A part dans deux ou trois scènes (le bus), ce couple si différent ne semble pas perturber tellement Hilary et Michael. Ils ne voient pas le danger, ou plutôt feignent de ne pas le voir mais ce couple est voué à l’échec. A cause de la différence d’âge, de couleur de peau, à cause du contexte, de la maladie, l’histoire d’amour à laquelle on assiste n’a aucune chance dans la durée, on le sait instinctivement d’emblée. Du coup, c’est un peu tragique de voir Hilary tomber amoureuse, on devine que cela ne va pas lui apporter le bonheur mais un bonheur triste. Mais malgré tout cela, le film n’est pas plombant, pas larmoyant, il s’en dégage surtout une grande douceur et une vraie délicatesse. Cette histoire d’amour improbable, une histoire d’amour consolatrice est merveilleusement bien filmée par un Sam Mendes dont on sait depuis « Les Noces Rebelles » qu’il filme les non-dits mieux que personne.
    garnierix
    garnierix

    203 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2023
    Ce n'est pas une "ode à la salle de cinéma" comme le débattent synopsis et critiques. On voudrait que ce film le soit. Car des gens "normaux" y évoluent, c'est-à-dire des gens ordinaires avec leurs petits problèmes de vie. Ce n'est pas le cinéma vu par ses créateurs ou producteurs (ce n'est Babylon ou The Fabelmans). D'ailleurs les personnages en question ne voient pas de films, même si l'on sent crescendo que ça leur ferait du bien (pour finir avec "Being There").

    Ce film met en scène une femme. Pas une salle de cinéma. Cette femme ment de tous ses pores, en tout. Sans aucun doute blessée gravement depuis l'enfance, et aussi à cause de l'époque, au racisme ordinaire, au machisme ordinaire... Elle ment à son psy, à son patron, à ses amis, à elle-même. Et sans vraiment se rendre compte. Elle se réfugie dans la poésie et dans des plaisirs qui n'en sont pas pour elle. On dirait qu'elle a tout à découvrir de ce qu'elle voit pourtant de ses yeux (habitués à lire Tennyson), qu'il s'agisse d'un pigeon ou de l'amour, de harcèlement sexuel ou raciste.

    "Quand les gens sont au courant, ça change tout". Une phrase qu'on retient ! D'ailleurs, sortie de son contexte immédiat dans le film, elle rappelle bien le début, avec ces mots gravés au fronton du ciné invitant à découvrir "la lumière au milieu des ténèbres".

    Pour saisir une telle complexité, une telle délicatesse, Olivia Colman est l'actrice qu'il fallait. On la connaît bien depuis la série Broadchurch (The Crown aussi). La tristesse de cette femme crève l'écran dans ce rôle.

    A.G.
    Zuper Kiki
    Zuper Kiki

    15 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Tres beau film sur l'espoir et la persévérance, Olivia Colman nous tient de bout en bout dans ce rôle de femme fragile, les images et la musique sont pleines de mélancolie avec un dénouement qui ne nous laisse que le choix d'envisager le meilleur.
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mars 2023
    Photographie carrément superbe - Scénario sensible & bien explicite sur les terribles années de plomb Thatcher - celles du Hooliganisme - de la condition détestable des Noirs & des Femmes en GB & même ailleurs dans les 80' . . . M. Ward aussi génial qu'Olivia Colman bouleversante. Un Cinéma subtil & redoutablement efficace pour les neurones souligné par une BO remarquable !
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