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Nathalie Flores rubinstein
1 abonné
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5,0
Publiée le 7 décembre 2022
Une vraie pépite. Un film plein d'émotions et de très beaux tableaux. Quand on est fan de musique classique on ne peut qu'être charmé Une distribution qui matche et des acteurs qui n'ont plus besoin de faire leurs preuves depuis bien longtemps
De Bruno Chiche (2022). Le film vaut surtout par le duel entre un père au premier abord inflexible et voire aigri avec son fils , qui tous les deux partagent la même passion pour la musique. Deux visions qui parfois se confrontent et s'opposent. L'une un brin trop médiatique donc sinon artificielle , du moins fabriquée au travers des ''Victoires de la musique'' et l'autre encensée par la notoriété jugée comme la seule des grands orchestres ou scènes musicale (en l'occurence la Scala de Milan). Point de surprise pour un film assez académique qui se regarde avec plaisir. J'ai beaucoup aimé la prestation de Pierre Arditi en maestro meurtri de n'avoir pas auréolé sa carrière (pourtant très honorable) par une ultime direction d'orchestre jugée par ses pairs comme prestigieuse. Une fin de film honorable et pleine d'émotion en forme de retrouvaille au travers de la musique de trois générations. Yvan Attal est lui aussi très impliqué quand à Miou-Miou que l'on retrouve avec plaisir et tenant pourtant un petit rôle est d'une empathie très communicative.
Maestro(s) est un film correct mal ventilé: les tons ocres, marrons dominent; le film est sombre et quand on veut prendre l'air, à Milan par exemple, c'est vite escamoté! il reste cependant un sujet dans les liens qui unissent ou désunissent une relation père-fils, sujet brillamment interprété par les deux acteurs que sont Pierre Arditi et Yvan Attal, alors on suit gentiment ce qui aurait pu être un bon télé-film et puis vient la conclusion finale et là vous êtes submergé par une forte émotion qui fait oublier tous les défauts du film ou qui les rend mineurs
Magnifique duo d'artistes que sont Pierre Arditi (François le Papa) et Yvan Attal (donc Denis le fiston) vivant une passion commune pour la musique classique et surtout la Direction d' orchestre. Par contre, et l'intrigue trouve ici toute sa puissance, ce sont des maladroits de communication entre eux, pour des raisons multiples.... Justement la rivalité de leur réussite professionnelle, n'aide en rien dans un quiproquo banal, mais suggère une remise à niveau...difficile. C'est dans cette interprétation qu'ils excellent, bien entourés de l'ex de Denis : Jeanne (Pascale Arbillot) dynamique, encourageante, et d' Hélène (Miou-Miou) douce et bienveillante. Le mérite revient il faut le dire à cette Grande Musique, prenante, vibrante, intense !! Merci Mozart... Grâce aux seconds rôles, les égos surdimensionnés sont ménagés, et finissent dans une composition irréelle à s'apaiser... Forte symbolique, un peu trop prévisible....!!**
Une comédie dramatique sur fond de rivalité masculine entre un père et son fils, tous deux dotés d'un ego sur-dimentionné. Sympathique mais sans plus. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2022/12/maestros-de-bruno-chiche-sympathique.html
En entrant dans la salle je m'attendais à royalement m'ennuyer aussi j'ai été agréablement surpris. L'intrigue n'est pas compliquée mais les acteurs sont tous très bons, et les valeurs sont belles.
Maestro(s) me rebuter clairement à la vision de sa bande annonce. L’impression d’avoir tout vu : un père et un fils excellent dans leur domaine et sont confondus pour l’attribution d’un poste prestigieux et c’est le drame. Mais le film parvient à sortir de ce schéma peu original et à susciter les émotions. Si le rythme est un peu lent, la musique sauve le tout et nous emporte.
le père et le fils font le même métier... quiproquos à l'horizon ! Qui ira finalement à la Scala ? Un beau film sur les relations père-fils et une bande-son extraordinaire. Merci à toute l'équipe !
même si le scénario est simple quel plaisir de voir de si bons acteurs à l'écran. un vrai plaisir. ce qui ne gâte rien la musique est superbe. pas toujours facile la relation père/fils ayant la même vacation. le final rattrape aisément les dialogues légers.
Très belle histoire de transmission, même si le niveau social est un peu trop élevé. Une belle brochette d'acteurs au top, une jolie musique omniprésente avec des scènes de concert plus vrais que nature. Assurément un bon moment !
La musique classique et le cinéma se marient très bien et donnent souvent naissance à des pépites. Sans en être une, ce film ne manque néanmoins pas d'intérêt. L'interprétation est correcte (on aurait pu s'attendre à mieux avec une telle distribution), l'idée repose sur l'amour-concurrence entre un père et un fils qui exercent la même profession, tous deux de façon brillante, mais le gros point faible de ce film est qu'il vend assez vite la mèche. Du coup, ça traîne en longueur, bien que le film dure moins d'une heure trente. Il aurait été intéressant de creuser davantage la psychologie des personnages et la façon dont le fils va annoncer au père qu'il y a méprise sur la personne. En outre, la fin est prévisible puisqu'elle est sur l'affiche. Le film se laisse néanmoins regarder et surtout écouter, grâce aux superbes musiques classiques qu'il recèle.
Le long-métrage de Bruno Chiche a l’avantage d’aller souvent droit au but, de ne pas développer d’intrigues secondaires futiles et de nous plonger rapidement dans le duel de maestros qui nous est promis. Le dilemme qui tiraille le personnage incarné par Yvan Attal parvient à nous tenir en haleine tout au long du film et, jusqu’à l’épilogue, le suspense est maintenu efficacement par le scénario. Pourtant le relation père-fils telle qu’elle nous est présentée au début peine à convaincre car les antagonismes entre les deux hommes semblent largement excessifs. Mais le tournant du récit intervient vite et cela permet de maintenir les enjeux jusqu’au final. En partie grâce à un Yvan Attal plutôt bien inspiré même si on regrette toujours un peu la sinistrose permanente qu’il traine sur ses épaules. Pierre Arditi lui oppose un jeu plus nuancé entre moments d’euphories et moments d’abattements. Le duo fonctionne donc tout de même assez bien et ne laisse que des miettes à des seconds rôles peu inspirés, hormis peut-être Miou-Miou qu’on a plaisir à retrouver derrière l’écran. Sur le plan musical on aurait aimé en avoir plus. Mais Pierre Arditi comme Yvan Attal s’avèrent tous deux assez peu crédibles baguettes de chefs d’orchestre à la main. Le final, malin sans être hyper crédible, conclut joliment un long-métrage plutôt plaisant sans parvenir à nous emballer totalement.
On apprécie Yvan Attal qui ne force pas sa nature mais qui est complètement crédible contrairement à Pierre Arditi qui peine à convaincre. Le scénario est très prévisible et les personnages ont des comportements caricaturaux, voir incohérents. Enfin la réalisation est très approximative comme par exemple un Pierre Arditi qui tient son téléphone à l’envers.