Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Figaro
par O.N.
La réussite de Bob Marley. One Love tient aussi à la plongée qu'il offre dans la Jamaïque de la fin des années 1970, au contexte politique explosif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par E.B.
La narration est certes classique mais rythmée, avec des allers-retours entre son enfance pauvre, sa rencontre avec Rita, la révélation du rastafarisme et cette période aussi tendue que riche où il se bat pour imposer la paix dans son pays et enregistrer pendant son exil à Londres l’album qui va faire de lui une star, avec les tubes « Jamming » et « One Love ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Kingsley Ben-Adir est bluffant.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Le biopic réalisé par Reinaldo Marcus Green contourne habilement l’écueil du biopic compassé et raconte avec justesse et de belle manière un épisode crucial de la vie de Bob Marley.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
S’il n’évite pas toujours l’écueil de l’hagiographie, ce biopic (coproduit par la famille du chanteur, décédé en 1981) brosse toutefois un portrait nuancé (entre ombre et lumière) de la star, dont on redécouvre l’aura fabuleuse et la dimension mystique.
Voici
par La Rédaction
Malgré certains passages obligés un peu éculés, ce biopic offre un portrait plutôt complexe de l'homme et de l'artiste, en cela bien aidé par son interprète, l'excellent Kingsley Ben-Adir.
CNews
par La rédaction
À trop en faire, "Bob Marley : One Love" s'éparpille malheureusement, malgré la réjouissante bande-originale toujours mise en lumière avec à propos, l'excellente performance des acteurs et un portrait intime de l'homme et de l'artiste, rendu possible grâce à la collaboration de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans une fusion quasi-mystique, Kingsley Ben-Adir incarne avec une foi intense l'esprit de Bob Marley et du mouvement rastafari.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Nous aurions sans doute aimé davantage de souffle et de fièvre. Les troubles en Jamaïque ne sont que schématiquement effleurés. Priorité au message de concorde universelle délivré par les chansons de la star. Ce qui n’est pas rien, cela dit.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La BO fait tourner les tubes militants du chanteur de Trenchtown, à donner envie de se lever et de soulever.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce biopic, très hollywoodien dans sa forme, qui passe rapidement sur les faces sombres de l’artiste, est une sympathique initiation à sa musique, omniprésente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pascale Vergereau
Bonne idée d'avoir voulu éviter un récit chronologique de la vie de Marley en se concentrant sur une courte période. Mais comme ça ne suffisait pas à expliquer le père, le mari, l'artiste et le rastafarisme, le film abuse de visions et flashback.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Kingsley Ben-Adir se fond dans le rôle et livre une interprétation impressionnante.
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
[...] quand tant d’autres biopics et documentaires actuels sur des personnalités s’échinent à rendre captivantes des vies somme toute banales, celui-ci réussit le tour de force de faire tout le contraire : aplatir et lisser celle d’un artiste complexe, inspiré et inspirant, au parcours remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par La Rédaction
Mais quand les lumières se rallument au générique de fin, on sera bien en peine de cibler ce qu'il faut retenir de cet hommage à la fois respectueux et un peu creux, nouvelle preuve de la difficulté du genre biopic à s'affranchir d'un cahier des charges encombrant dès lors que la famille est impliquée dans la production.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Reinaldo Marcus Green signe un biopic sur Bob Marley, la star du reggae décédé précocement en 1981 à l'âge de 36 ans. Son film n'échappe malheureusement pas aux conventions.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Sylvestre Picard
Plutôt que de tenter d’invoquer la voix des morts, le film exprime la voix officielle des survivants. Difficile, ceci dit, de ne pas vibrer quand la musique remplit la salle de cinéma, canalisée par Kingsley Ben-Adir - une perf complètement casse - gueule mais réellement habitée par le comédien, investi à fond dans son rôle, jusqu’à l’effacement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Ce biopic du roi du reggae tend à ressembler à un catalogue d’évènements. Rien ne manque mais, hélas, tout est survolé. Au point d’avoir négligé l’essentiel : la musique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Julien Bouisset
Altruiste ou violent, timide ou jaloux, Bob Marley est interprété par Kingsley Ben-Adir avec une mollesse qui ne se dément jamais. Grossier téléfilm ou mauvaise blague ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par L.P.
Dès les premières images, rien ne va.
Le Monde
par T. S.
De l’erreur de casting – Kingsley Ben-Adir n’évoque jamais la majesté ascétique de son modèle – à la platitude des clichés sur la création, en passant par la banalisation aussi bien de la violence en Jamaïque que de la vie amoureuse de Marley, One Love contribue à faire de « biopic » un gros mot.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
L’apparition fugace du véritable Bob Marley à la fin du film, avec son visage sculpté, éternellement vieux et jeune à la fois, totalement habité, magnétique, achève de couvrir de ridicule les deux heures de panégyrique désincarnées jusqu’à la moelle auxquelles on vient d’assister.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Caricatural et propret, le biopic produit par la famille du chanteur confine au spot publicitaire avec un rasta universel au cœur gros comme ça.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
La réussite de Bob Marley. One Love tient aussi à la plongée qu'il offre dans la Jamaïque de la fin des années 1970, au contexte politique explosif.
Le Parisien
La narration est certes classique mais rythmée, avec des allers-retours entre son enfance pauvre, sa rencontre avec Rita, la révélation du rastafarisme et cette période aussi tendue que riche où il se bat pour imposer la paix dans son pays et enregistrer pendant son exil à Londres l’album qui va faire de lui une star, avec les tubes « Jamming » et « One Love ».
Public
Kingsley Ben-Adir est bluffant.
Sud Ouest
Le biopic réalisé par Reinaldo Marcus Green contourne habilement l’écueil du biopic compassé et raconte avec justesse et de belle manière un épisode crucial de la vie de Bob Marley.
Télé 7 Jours
S’il n’évite pas toujours l’écueil de l’hagiographie, ce biopic (coproduit par la famille du chanteur, décédé en 1981) brosse toutefois un portrait nuancé (entre ombre et lumière) de la star, dont on redécouvre l’aura fabuleuse et la dimension mystique.
Voici
Malgré certains passages obligés un peu éculés, ce biopic offre un portrait plutôt complexe de l'homme et de l'artiste, en cela bien aidé par son interprète, l'excellent Kingsley Ben-Adir.
CNews
À trop en faire, "Bob Marley : One Love" s'éparpille malheureusement, malgré la réjouissante bande-originale toujours mise en lumière avec à propos, l'excellente performance des acteurs et un portrait intime de l'homme et de l'artiste, rendu possible grâce à la collaboration de sa famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans une fusion quasi-mystique, Kingsley Ben-Adir incarne avec une foi intense l'esprit de Bob Marley et du mouvement rastafari.
La Voix du Nord
Nous aurions sans doute aimé davantage de souffle et de fièvre. Les troubles en Jamaïque ne sont que schématiquement effleurés. Priorité au message de concorde universelle délivré par les chansons de la star. Ce qui n’est pas rien, cela dit.
Le Dauphiné Libéré
La BO fait tourner les tubes militants du chanteur de Trenchtown, à donner envie de se lever et de soulever.
Les Fiches du Cinéma
Ce biopic, très hollywoodien dans sa forme, qui passe rapidement sur les faces sombres de l’artiste, est une sympathique initiation à sa musique, omniprésente.
Ouest France
Bonne idée d'avoir voulu éviter un récit chronologique de la vie de Marley en se concentrant sur une courte période. Mais comme ça ne suffisait pas à expliquer le père, le mari, l'artiste et le rastafarisme, le film abuse de visions et flashback.
Télé Loisirs
Kingsley Ben-Adir se fond dans le rôle et livre une interprétation impressionnante.
Franceinfo Culture
[...] quand tant d’autres biopics et documentaires actuels sur des personnalités s’échinent à rendre captivantes des vies somme toute banales, celui-ci réussit le tour de force de faire tout le contraire : aplatir et lisser celle d’un artiste complexe, inspiré et inspirant, au parcours remarquable.
Le Point
Mais quand les lumières se rallument au générique de fin, on sera bien en peine de cibler ce qu'il faut retenir de cet hommage à la fois respectueux et un peu creux, nouvelle preuve de la difficulté du genre biopic à s'affranchir d'un cahier des charges encombrant dès lors que la famille est impliquée dans la production.
Les Echos
Reinaldo Marcus Green signe un biopic sur Bob Marley, la star du reggae décédé précocement en 1981 à l'âge de 36 ans. Son film n'échappe malheureusement pas aux conventions.
Première
Plutôt que de tenter d’invoquer la voix des morts, le film exprime la voix officielle des survivants. Difficile, ceci dit, de ne pas vibrer quand la musique remplit la salle de cinéma, canalisée par Kingsley Ben-Adir - une perf complètement casse - gueule mais réellement habitée par le comédien, investi à fond dans son rôle, jusqu’à l’effacement.
Télérama
Ce biopic du roi du reggae tend à ressembler à un catalogue d’évènements. Rien ne manque mais, hélas, tout est survolé. Au point d’avoir négligé l’essentiel : la musique.
L'Obs
Altruiste ou violent, timide ou jaloux, Bob Marley est interprété par Kingsley Ben-Adir avec une mollesse qui ne se dément jamais. Grossier téléfilm ou mauvaise blague ?
Le Journal du Dimanche
Dès les premières images, rien ne va.
Le Monde
De l’erreur de casting – Kingsley Ben-Adir n’évoque jamais la majesté ascétique de son modèle – à la platitude des clichés sur la création, en passant par la banalisation aussi bien de la violence en Jamaïque que de la vie amoureuse de Marley, One Love contribue à faire de « biopic » un gros mot.
Les Inrockuptibles
L’apparition fugace du véritable Bob Marley à la fin du film, avec son visage sculpté, éternellement vieux et jeune à la fois, totalement habité, magnétique, achève de couvrir de ridicule les deux heures de panégyrique désincarnées jusqu’à la moelle auxquelles on vient d’assister.
Libération
Caricatural et propret, le biopic produit par la famille du chanteur confine au spot publicitaire avec un rasta universel au cœur gros comme ça.