Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
CNews
par La rédaction
La mise en scène nerveuse est très efficace, la musique rappelle parfois les partitions funestes d'un Vangelis, le montage est brillamment composé, et le casting (duquel surnagent Guillaume Canet et la jeune Prudence Muchenbach) juste parfait.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une fuite haletante, un cauchemar terriblement efficace : Just Philippot use habilement des tropes du film d’horreur.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un survival imparfait, mais étonnamment méchant, et la traduction bourrine d'une éco-anxiété qui contamine de plus en plus franchement le cinéma d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Guillaume Canet excelle dans cette course contre la montre (...).
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Acide de Just Philippot joue la carte du survival catastrophe made in France et lanceur d'alerte écolo avec un réalisme terrifiant et désespéré. Le moindre nuage devient ici une source de terreur. Un vrai film d'horreur. Angoissant et cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
Just Philippot sait instaurer une tension dramatique des plus efficaces dans une ambiance cauchemardesque naturellement perturbante, aidé en cela par deux acteurs principaux convaincants et à contre-emploi [...].
L'Humanité
par Michèle Levieux
Acide propose un nouveau ton dans le paysage du cinéma français, celui de l’étrangeté révélée au cœur de la vie quotidienne et familiale face à la catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Entre drame et intime, thriller catastrophe et mise en garde sur les questions environnementales, c’est un long-métrage intense (...).
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Mais l’ensemble est réaliste et tendu comme il faut. On apprécie aussi le soin apporté au casting (Laeticia Dosch aux abois), aux décors, aux ambiances, à ces séquences qui impriment la rétine, comme la cavale insensée de chevaux à la peau rongée par les précipitations létales ou cette séquence de foule paniquée sur un pont, qui rappelle La Guerre des mondes de Spielberg.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Just Philippot use habilement des tropes du film d’horreur.
Le Parisien
par La Rédaction
C’est une course contre la montre parfaitement maîtrisée et un drame familial, qui interroge aussi sur les rapports sociaux et sur l’environnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Un bon thriller écolo lanceur d'alerte, efficace et tendu comme une arbalète.
Libération
par Sandra Onana
Efficacement flippant et désespéré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
"Acide", pour sa part, fonctionne aussi bien par son traitement du conflit générationnel, des difficultés de communication entre classes et de la réaction face à l'urgence écologique que par sa façon d'appréhender le cinéma de genre. Plus fort encore, chaque lecture renforce l'autre.
Marie Claire
par Emily Barnett
Course contre la montre, morts violentes, instinct de survie : du grand et beau spectacle biberonné au cinéma de Spielberg (La Guerre des mondes).
Public
par Marie-Pierre Galinon
Un climat post-apocalyptique fascinant.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Brillant et brûlant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Une pluie tueuse sème le chaos sur la France et met en fuite une famille. Effroi, suspense, fin du monde : un cocktail explosif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
D[’un] canevas tout spielbergien, Philippot tire des trouvailles à la croisée de l’épouvante et du drame familial, mais se libère des modèles par une logique du pire, une gradation sensorielle de visions traumatiques à même de percer le cœur.
La Croix
par Céline Rouden
Moins réussi que La Nuée, le second film du réalisateur emprunte les chemins du classique film-catastrophe pour dépeindre un futur apocalyptique très sombre dans lequel seul surnage le lien entre un père et sa fille.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par É. S.
Une trame dystopique convenue et balisée (La Guerre des mondes, La Route, The Last of Us). Rien de très neuf sous la pluie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Jo.
Habilement, le cinéaste louvoie entre les obstacles. Au lieu de bander les muscles, il s’en tient au minimalisme d’une mise en scène qui est le vrai cœur battant du film et ferait presque oublier les trous du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si le film est une réussite, c’est d’abord du fait de cette menace diffuse, climatique, incolore, qui transforme instantanément l’ensemble du monde extérieur en champ de mort, et crée la terreur dans un nuage, dans la profondeur ou dans un souffle de vent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Du grand spectacle intimiste qui s’incarne constamment dans le mouvement. Mais passées les cinquante premières minutes, assez grandioses, le scénario débande légèrement et force ses personnages à l’immobilité. Le rythme d'Acide en prend un sérieux coup, jusqu’à une conclusion un poil roublarde qui aurait mérité d'être un peu plus fracassante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Par sa mise en scène tendue, traversée de séquences sidérantes (paysages rongés par l’eau empoisonnée, chevaux en sang, corps dissous...), le récit ne laisse de répit, ni aux héros, ni aux spectateurs, embarqués dans ce road movie apocalyptique qui, hélas, finit par se répéter, sans trouver de véritable conclusion.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Après l’impressionnant La Nuée, Just Philippot récidive dans un film à cheval entre le fantastique et le réalisme écologique, porté par un Guillaume Canet puissant et engagé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Just Philippot tente le film catastrophe écologique et peine à convaincre.
Critikat.com
par Josué Morel
Le problème principal du film tient à un simple constat : la menace climatique qu'il met en scène (les pluies corrosives) n’est pas très cinégénique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Si le sens de l’atmosphère et le savoir-faire visuel du réalisateur pallient les moyens limités et charrient quelques moments d’une efficace noirceur, la peinture grossière des tensions sociales post-« gilets jaunes », des péripéties de plus en plus improbables et l’antipathie que suscitent les personnages érodent comme l’acide notre intérêt pour le film. Rageant !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les personnages manquent de profondeur, ce qui prive d’émotion cette série B lorgnant du côté de "La Guerre des Mondes" (2005), de Steven Spielberg.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Malgré son joli casting, un survival fabriqué et paresseux. Après "La Nuée", Just Philippot déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Thriller fantastique impeccablement réalisé, aidé par le toujours solide Guillaume Canet, le film rate cette fois son mélange des genres, lesté par un scénario inabouti et des personnages en manque de nuances et de propos.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Just Philippot (La Nuée) définit mal les règles et les enjeux de son film catastrophe. Si bien que le sort de la famille dont il suit la fuite, tout comme ses motivations, nous échappent un peu.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
D'abord spectaculaire, "Acide" devient vite ennuyeux.
Voici
par La Rédaction
En dépit d'acteurs impliqués ou d'effets spéciaux réussis, on bute sur la narration, parfois incohérente et trop répétitive.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Hélas, tout ce qui fonctionnait dans La nuée – le mystère, la peur, la description d’un engrenage fatal – s’enraye dans Acide, une fiction qui, par peur du vide, semble vouloir tout traiter : le dérèglement climatique et ses conséquences, l’insoumission, les rapports père/fille…
La critique complète est disponible sur le site Marianne
CNews
La mise en scène nerveuse est très efficace, la musique rappelle parfois les partitions funestes d'un Vangelis, le montage est brillamment composé, et le casting (duquel surnagent Guillaume Canet et la jeune Prudence Muchenbach) juste parfait.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une fuite haletante, un cauchemar terriblement efficace : Just Philippot use habilement des tropes du film d’horreur.
Ecran Large
Un survival imparfait, mais étonnamment méchant, et la traduction bourrine d'une éco-anxiété qui contamine de plus en plus franchement le cinéma d'horreur.
Elle
Guillaume Canet excelle dans cette course contre la montre (...).
Filmsactu
Acide de Just Philippot joue la carte du survival catastrophe made in France et lanceur d'alerte écolo avec un réalisme terrifiant et désespéré. Le moindre nuage devient ici une source de terreur. Un vrai film d'horreur. Angoissant et cauchemardesque.
L'Ecran Fantastique
Just Philippot sait instaurer une tension dramatique des plus efficaces dans une ambiance cauchemardesque naturellement perturbante, aidé en cela par deux acteurs principaux convaincants et à contre-emploi [...].
L'Humanité
Acide propose un nouveau ton dans le paysage du cinéma français, celui de l’étrangeté révélée au cœur de la vie quotidienne et familiale face à la catastrophe.
LCI
Entre drame et intime, thriller catastrophe et mise en garde sur les questions environnementales, c’est un long-métrage intense (...).
La Voix du Nord
Mais l’ensemble est réaliste et tendu comme il faut. On apprécie aussi le soin apporté au casting (Laeticia Dosch aux abois), aux décors, aux ambiances, à ces séquences qui impriment la rétine, comme la cavale insensée de chevaux à la peau rongée par les précipitations létales ou cette séquence de foule paniquée sur un pont, qui rappelle La Guerre des mondes de Spielberg.
Le Dauphiné Libéré
Just Philippot use habilement des tropes du film d’horreur.
Le Parisien
C’est une course contre la montre parfaitement maîtrisée et un drame familial, qui interroge aussi sur les rapports sociaux et sur l’environnement.
Le Point
Un bon thriller écolo lanceur d'alerte, efficace et tendu comme une arbalète.
Libération
Efficacement flippant et désespéré.
Mad Movies
"Acide", pour sa part, fonctionne aussi bien par son traitement du conflit générationnel, des difficultés de communication entre classes et de la réaction face à l'urgence écologique que par sa façon d'appréhender le cinéma de genre. Plus fort encore, chaque lecture renforce l'autre.
Marie Claire
Course contre la montre, morts violentes, instinct de survie : du grand et beau spectacle biberonné au cinéma de Spielberg (La Guerre des mondes).
Public
Un climat post-apocalyptique fascinant.
Sud Ouest
Brillant et brûlant.
Télérama
Une pluie tueuse sème le chaos sur la France et met en fuite une famille. Effroi, suspense, fin du monde : un cocktail explosif.
Cahiers du Cinéma
D[’un] canevas tout spielbergien, Philippot tire des trouvailles à la croisée de l’épouvante et du drame familial, mais se libère des modèles par une logique du pire, une gradation sensorielle de visions traumatiques à même de percer le cœur.
La Croix
Moins réussi que La Nuée, le second film du réalisateur emprunte les chemins du classique film-catastrophe pour dépeindre un futur apocalyptique très sombre dans lequel seul surnage le lien entre un père et sa fille.
Le Figaro
Une trame dystopique convenue et balisée (La Guerre des mondes, La Route, The Last of Us). Rien de très neuf sous la pluie.
Le Monde
Habilement, le cinéaste louvoie entre les obstacles. Au lieu de bander les muscles, il s’en tient au minimalisme d’une mise en scène qui est le vrai cœur battant du film et ferait presque oublier les trous du scénario.
Les Inrockuptibles
Si le film est une réussite, c’est d’abord du fait de cette menace diffuse, climatique, incolore, qui transforme instantanément l’ensemble du monde extérieur en champ de mort, et crée la terreur dans un nuage, dans la profondeur ou dans un souffle de vent.
Première
Du grand spectacle intimiste qui s’incarne constamment dans le mouvement. Mais passées les cinquante premières minutes, assez grandioses, le scénario débande légèrement et force ses personnages à l’immobilité. Le rythme d'Acide en prend un sérieux coup, jusqu’à une conclusion un poil roublarde qui aurait mérité d'être un peu plus fracassante.
Télé 7 Jours
Par sa mise en scène tendue, traversée de séquences sidérantes (paysages rongés par l’eau empoisonnée, chevaux en sang, corps dissous...), le récit ne laisse de répit, ni aux héros, ni aux spectateurs, embarqués dans ce road movie apocalyptique qui, hélas, finit par se répéter, sans trouver de véritable conclusion.
aVoir-aLire.com
Après l’impressionnant La Nuée, Just Philippot récidive dans un film à cheval entre le fantastique et le réalisme écologique, porté par un Guillaume Canet puissant et engagé.
CinemaTeaser
Just Philippot tente le film catastrophe écologique et peine à convaincre.
Critikat.com
Le problème principal du film tient à un simple constat : la menace climatique qu'il met en scène (les pluies corrosives) n’est pas très cinégénique.
L'Obs
Si le sens de l’atmosphère et le savoir-faire visuel du réalisateur pallient les moyens limités et charrient quelques moments d’une efficace noirceur, la peinture grossière des tensions sociales post-« gilets jaunes », des péripéties de plus en plus improbables et l’antipathie que suscitent les personnages érodent comme l’acide notre intérêt pour le film. Rageant !
Le Journal du Dimanche
Les personnages manquent de profondeur, ce qui prive d’émotion cette série B lorgnant du côté de "La Guerre des Mondes" (2005), de Steven Spielberg.
Les Fiches du Cinéma
Malgré son joli casting, un survival fabriqué et paresseux. Après "La Nuée", Just Philippot déçoit.
Paris Match
Thriller fantastique impeccablement réalisé, aidé par le toujours solide Guillaume Canet, le film rate cette fois son mélange des genres, lesté par un scénario inabouti et des personnages en manque de nuances et de propos.
Télé 2 semaines
Just Philippot (La Nuée) définit mal les règles et les enjeux de son film catastrophe. Si bien que le sort de la famille dont il suit la fuite, tout comme ses motivations, nous échappent un peu.
Télé Loisirs
D'abord spectaculaire, "Acide" devient vite ennuyeux.
Voici
En dépit d'acteurs impliqués ou d'effets spéciaux réussis, on bute sur la narration, parfois incohérente et trop répétitive.
Marianne
Hélas, tout ce qui fonctionnait dans La nuée – le mystère, la peur, la description d’un engrenage fatal – s’enraye dans Acide, une fiction qui, par peur du vide, semble vouloir tout traiter : le dérèglement climatique et ses conséquences, l’insoumission, les rapports père/fille…