Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
En l'état, ces vielles recettes permettent peut-être au film d'être le meilleur de Schwarzy depuis True Lies, mais ce n'est qu'une maigre consolation vue la qualité des films proposés dans l'entre-deux (...).
Tout ça est tellement niais, tellement cousu de fil blanc (Schwarznegger la joue plus que jamais coeur tendre muscles en acier) que, à force de somnoler devant tant de platitudes, on est surpris de voir arriver in extremis un retournement de situation inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Et si Arnold Schwarzenegger était en train de devenir, avec vingt ans de retard, le nouveau Charles Bronson ? On ne veut pas y croire, et pourtant, ce Dommage collatéral pitoyable de bout en bout rend l'hypothèse possible.
Total invraisemblance. Gros dégâts. "Dommage colatéral", même s'il a été tourné avant les événements du 11 septembre, n'avait aucun droit à l'erreur. A sujet sensible, propos cohérent. Ici, on se vautre dans la caricature. C'est indécent.
Le film d'Andrew Davis semble (...) ne témoigner d'aucun humour particulier en mélangeant la caricature idéologique, un sentimentalisme répugnant et une accumulation de situations d'une absurde idiotie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Rien ne nous est épargné, jusqu'au retournement de situation final, d'une banalité sidérante. Morale abrutissante et ennui sont donc au rendez-vous. Il faut le voir pour le croire.
Un peu effondré par la teneur de l'entreprise, on n'a pas grand-chose à quoi se raccrocher, à part une prestation, courte mais remarquable, de John Turturro. Un film sinistre et sinistré.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Dommage que le héros, à 54 ans, ait passé l'âge de montrer ses biscotos et de courir dans la jungle. Le titre désigne donc le spectateur, évidemment, qui se demande ce qu'il est venu faire dans la salle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Peu crédible en papa pompier accablé par la mort de sa famille dans un attentat, Arnold Schwarzenegger semble à peine plus concerné par sa virée en Colombie, à la poursuite du chef de guérilla responsable du "dommage".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Mad Movies
En l'état, ces vielles recettes permettent peut-être au film d'être le meilleur de Schwarzy depuis True Lies, mais ce n'est qu'une maigre consolation vue la qualité des films proposés dans l'entre-deux (...).
Aden
Tout ça est tellement niais, tellement cousu de fil blanc (Schwarznegger la joue plus que jamais coeur tendre muscles en acier) que, à force de somnoler devant tant de platitudes, on est surpris de voir arriver in extremis un retournement de situation inattendu.
Cahiers du Cinéma
Et si Arnold Schwarzenegger était en train de devenir, avec vingt ans de retard, le nouveau Charles Bronson ? On ne veut pas y croire, et pourtant, ce Dommage collatéral pitoyable de bout en bout rend l'hypothèse possible.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Total invraisemblance. Gros dégâts. "Dommage colatéral", même s'il a été tourné avant les événements du 11 septembre, n'avait aucun droit à l'erreur. A sujet sensible, propos cohérent. Ici, on se vautre dans la caricature. C'est indécent.
Le Monde
Le film d'Andrew Davis semble (...) ne témoigner d'aucun humour particulier en mélangeant la caricature idéologique, un sentimentalisme répugnant et une accumulation de situations d'une absurde idiotie.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Rien ne nous est épargné, jusqu'au retournement de situation final, d'une banalité sidérante. Morale abrutissante et ennui sont donc au rendez-vous. Il faut le voir pour le croire.
Positif
Un peu effondré par la teneur de l'entreprise, on n'a pas grand-chose à quoi se raccrocher, à part une prestation, courte mais remarquable, de John Turturro. Un film sinistre et sinistré.
Première
Parfaitement convenu, bancalement scénarisé et mal réalisé, Dommage collatéral a tout du navet certifié conforme. [...] Simplement nul.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Dommage que le héros, à 54 ans, ait passé l'âge de montrer ses biscotos et de courir dans la jungle. Le titre désigne donc le spectateur, évidemment, qui se demande ce qu'il est venu faire dans la salle.
Télérama
Peu crédible en papa pompier accablé par la mort de sa famille dans un attentat, Arnold Schwarzenegger semble à peine plus concerné par sa virée en Colombie, à la poursuite du chef de guérilla responsable du "dommage".