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    Bowling for Columbine
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    294 critiques spectateurs

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    Kestion
    Kestion

    17 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2010
    les méthodes de moore bof, le film pub à l'image du bourrage de crâne peu constructif de CNN je dis OUI
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mars 2011
    Après avoir critiquer le système de santé Américain, Michael Moore critique la vente d'armes à feu aux Etats-Unis. Ce cinéaste est quand même largement controversé dans son pays. A travers "Bowling for Columbine", il continue de passer au crible les travers de la société américaine. Mais effectivement ce documentaire est très intéressant : il comporte un bon sens implacable, il fait interroger la société et il défend sa thèse tellement bien que le spectateur est obligatoirement convaincu par ses arguments au final.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    165 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juillet 2010
    Ce film est pour moi la référence en film documentaire et révolutionne totalement le genre. M. Moore aurait plus mérité une récompense à Cannes pour ce film que pour "Fahrenheit 9/11" qui retombe dans le classique et académique documentaire (dans la forme j'entends). Bowling for Columbine tient un rythme effréné durant 2H sans nous laisser la moindre chance de nous assoupir ou de nous ennuyer. Les compléments vidéos, dessin-animés et autres sont très pertinents et l'ensemble de l'oeuvre dégage beaucoup d'humour très satyrique et ironique qui ridiculisent incroyablement tous les protagonistes très conservateurs interviewés ou présentés. La conduite des interviews et elle aussi très intelligente et est propre à monsieur Moore. A voir absolument.
    Appeal
    Appeal

    138 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2011
    Michael Moore signe ici son film qui démontre le plus clairement ses qualités comme ses défauts : a la fois un vrai sujet, très dérangeant, des révélations effroyables qui appellent à la consternation, mais aussi une narration qui perd d'un seul coup son souffle, on est pommé, et les démonstrations sont parfois hasardeuse. Mais au final, on trouve le film très intéressant.
    Sam R
    Sam R

    34 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2009
    Un documentaire génialissme sur la vente libre des armes en Amérique et son implication sur la population.Interressant et choquant, ce film à tout pour plaire!Un vrai coup de poing à ne pas manquer!Michael Moore a décidement de bonnes idées!
    Codger
    Codger

    36 abonnés 1 111 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 octobre 2007
    Excellent documentaire sur le port d'arme, la violence aux Etats Unis,et les attrocités que ca implique...
    rom1parker
    rom1parker

    28 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2008
    Le premier doc de Michael Moore restera dans les mémoires !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 octobre 2011
    Vu et revu, voilà un documentaire prenant affrontant la dure réalité : les dégats de l'utilisation de l'arme à feu aux Etats-Unis. Michael Moore est excellent, un grand talent. Le documentaire est touchant.
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    14 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2011
    2sur5 Porté aux nues il y a quelques années encore, Michael Moore ne fait désormais plus l'unanimité. Une décennie après son documentaire-référence Bowling for Columbine, l'enthousiasme autour du personnage s'est relativisé, son aura de mariole citoyen dégonflée. Le public a pris du recul sur ses méthodes et surtout interroge à l'occasion la crédibilité des propos de Moore, réalisant son absence pure et simple à plusieurs reprises, la faute à certains excès.
     
    En découvrant Bowling aujourd'hui, on réalise notamment comme l'homme est démagogue et narcissique. Démagogue, il l'annonce d'entrée de jeu, lorsqu'il va se munir d'une arme offerte par une banque pour chaque ouverture de compte. Il fait alors preuve d'une bien-penseance accablante culminant lorsqu'il remplit les fiches d'inscriptions : « caucasien, j'ai jamais su écrire ça moi » étant le must. Notre brave n'est pas branché ''race supérieure'', on a compris, on est très content pour lui. Narcissique aussi, parce qu'il s'impose comme l'ambassadeur de valeurs rationnels, mais il n'est en rien le héros progressiste et éclairé que sa posture souligne sans relâche ; c'est juste une grande-gueule ''de gauche'' qui ne fait que s'attribuer toutes les vertus morales à portée.
     
    Alors, pourquoi ferme-t-on autant les yeux ? Parce que Moore n'est ni Zemmour ni Larry King. Moore rassure parce qu'il pourfend des certitudes ancrées dans la conscience collective américaine ; ses déambulations indiquent qu'une autre voix existe au pays des libéraux-conservateurs/libéraux-progressistes, que ce n'est pas un bloc uniforme ou chacun jure sur la Bible. Le geste est donc salutaire et louable ; dans Bowling for Columbine, Moore s'en prend à l'obsession typiquement US des armes à feux, épingle les bien-fondés des prestations des USA en tant que ''gendarmes du monde'', remet en cause la dureté du système scolaire et le manque de soutien et d'empathie du personnel encadrant. Plus globalement, le massacre de Columbine permet à Moore de de pointer la paranoia maladive des Etats-Unis et ses contre-réactions aberrantes, qui prennent la forme d'oppression abusive. Comme si chaque fois qu'un drame survenait, le système pouvait en profiter pour enfermer plus encore dans des schémas de pensée vicieux la populace et l'inciter au repli.
     
    Alors bien sûr, l'existence d'un tel produit est réjouissante dans le fond, d'ailleurs le film est plaisant à suivre et les jokes de Moore font, parfois, leur petit effet. Mais ce pachyderme débonnaire est un peu le genre de personnage qui cumulerait les points Goldwin s'il se mettait à proférer ses bonnes paroles sur Internet. Moore simplifie toujours à l'extrême son travail d'investigation pour frapper les esprits par des arguments d'autorité, alors que pourtant l'argumentaire n'est pas très solide. Ainsi, Moore accuse les médias d'inciter à la violence, mais surtout pas la culture mettant en scène cette même violence (ça le rendrait moins cool, il faut comprendre). Il accuse les vendeurs de flingues et de munitions, mais surtout pas ceux du Canada (puisque là-bas tout le monde il est gentil tout le monde il est beau, n'est-ce pas, même que les gens ils ferment pas leur porte à clé). Au final, on ne sait pas plus ''pourquoi'' les Américains s'entretuent massivement (les chiffres comparatifs sont édifiants). Peut-être que la réponse était tout simplement la diffusion, voir la propagande, d'une fascination pour la violence ; peut-être que faire du crime et des interventions policières un show... peut-être, oui, oh... Moore rentre sur ce terrain, mais il n'évoque jamais la fascination, simplement le ''commerce'' du crime, qu'il ne met jamais en parallèle avec la réalité, sinon pour dire que le p'tit Américain moyen ne se soucie guère de ce sensationnalisme. Cet idéalisme confine à l'aveuglement ; Moore nage en plein contre-sens. Il cherche uniquement des bourreaux et ne comprend pas que cette catégorie n'est pas monolithique.

    Mon blog & la suite de la critique : http://videodrome.over-blog.net/
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    17 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2012
    Un très bon documentaire sur un sujet essentiel, des images fortes et un constat qui fait froid dans le dos. Certaines interviews décoiffent vraiment tellement les réponses sont inattendues et incroyables (Charlton Heston en tête de liste). Certes, Moore en fait des tonnes mais le fond de l'investigation est là. Malheureusement, je ne pense pas que le film ait eu beaucoup d'impact sur les mentalités de la plupart des ricains...
    Le-Droogie
    Le-Droogie

    16 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mars 2011
    Le casse-couilles de la sainte terre américaine, c'est bien le gros Moore. Et il n'a pas finit d'en faire voir de toutes les couleurs à quiconque ferait de belles boulettes. Définitivement d'extrême gauche, le réalisateur dénonçait déjà, dans ses premiers travaux politiques, l'embargo contre le régime de Fidel Castro à Cuba.
    Je vais vous parler ici d'un film qui a, tout de même, remporté un oscar du meilleur film documentaire, un césar du meilleur film étranger, et le prix du 55ème festival de Cannes. Bing !

    Monsieur Casse-Couilles (c'est ainsi, Droogie, que nous l'appellerons au sein du journal) se lance à l'assaut de la National Rifle Association et consorts, en s'appuyant sur le massacre de 12 adolescents et d'un professeur, au lycée de Columbine (20 avril 1999). Dénonçant catégoriquement le port d'armes aux US et la facilité avec laquelle il est possible de s'en procurer (cf. le début de la bande, lorsque Moore débarque dans une banque et ressort avec un fusil offert pour le simple fait d'avoir ouvert un compte...), monsieur Casse-Couilles entend bien répondre à une question. Pourquoi y a-t-il plus de meurtres par balles chaque année aux Etats-Unis que dans le reste du monde ?

    Et il faut bien dire que le garçon n'y va pas avec le dos de la cuillère. On se rappellera notamment de cette rencontre culte, où il provoqua Charlton Heston, grand gourou de la NRA, à même son domicile. Alarmant et déroutant, le film ne laisse rien traîner sur son passage et frappe à coups de pelles dénonciatrices des USA qui se remémoreront le nom de Moore. D'ailleurs, pour l'anecdote, Bush a voulu interdire le réalisateur pour des raisons, officielles, de bienséance. Officieusement, c'est évidemment à des fins politiques que l'ancien président ricain s'attaquait à Monsieur Casse-Couilles, surtout après Farenheit 9/11.

    La puissance de ce pamphlet tout bonnement délicieux réside, après la démonstration, dans l'humour sarcastique que maîtrise avec brio Moore. 2 heures inoubliables que nous a livré un réalisateur qui restera clairement dans les annales, à ne rater sous aucun prétexte. Ça faisait longtemps qu'un reportage n'avait pas été aussi virulent. Ça me fait aussi penser que j'ai bien envie de me faire un petit Jesus Camp, now !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 janvier 2011
    michael moore frappe avec ce documentaire trés bien fait,rien d'autre a dire
    leparrainz
    leparrainz

    10 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2008
    Pamphlet de Michael Moore, Bowling for Columbine est un documentaire traitant de la libre vente d'armes aux USA. A travers une enquête précise et détaillée, Moore en vient à un constat terrible sur le nombre de morts tués par balles aux USA, et au vue de ces chiffres, on en vient à se demander : comment cela est il possible.
    Longue réfléxion à ce sujet, Moore parvient à insérer une critique claire du gouvernement américain qui continue à vendre des armes sans véritables contrôle.
    Ce documentaire qui descend en flêche le gouvernement apporte de nombreux témoignages qui viennent accabler les charges déjà présentes contre ce gouvernement.
    Moralisateur, didactique et dénonciateur, ce film avait pour ambition je pense, une prise de conscience salvatrice de la part des Américains. Si cela n'a pas été le cas, coté européen je pense qu'il est arrivé au délà de ces éspérances.
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    11 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2007
    Bowling for Columbine, 2002, de Michael Moore, avec lui-même et…Charlton Heston. Film documentaire militant, nécessaire et effrayant, et pédagogique aussi, sur la libre vente des armes aux USA. En enquêteur bonasse et balourd, M. Moore mène une enquête implacable à partir du massacre dans le lycée de Columbine (Colorado) et du meurtre par un gosse d’une petite fille, à Flint (Michigan) où est né notre dérangeant cinéaste, ville appauvrie par la ruine des usines General Motors. L’ironie est ici utilisée comme un moyen de garder le recul salutaire devant des réalités effroyables. Le traitement des infos, interviews etc. est infiniment plus objectif et crédible que dans le brûlot Fahrenheit 9/11, parce qu’une large place est laissée à la parole des protagonistes. Jusqu’à la scène pitoyable de la rencontre avec le Président de la toute puissante NRA (National Rifle Association), le vindicatif Charlton Heston, qui défend clairement, malgré son gâtisme avéré, une Amérique blanche victime d’un excès de « métissage ». Astucieusement insérés, les propos de la rock star Marilyn Manson, donne une leçon de sagesse à cette Amérique au prise avec ses démons soigneusement et quotidiennement réactivés par les info en général et la télé en particulier, entraînant une peur irraisonnée, autour du terrorisme et surtout de « l’étranger », l’afro-américain, comme au temps du KKK dont le bouseux inculte, parano et manipulé est nostalgique ! Michael Moore est impertinent ? Certes, mais son propos est très, très pertinent. Au regard du Patriot Act de Bush Jr., de Guantanamo et autres « busheries », la liberté constitutionnelle, qui permet à tous citoyens américains de détenir des armes et d’acheter à profusion des munitions, est tout de même très inquiétante ! On voit même une banque qui offre une arme pour toute ouverture de compte…
    Hugo
    Hugo

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2021
    Documentaire sentimentaliste construit de tel sorte à faire culpabilisé en montrant des personnes victimes et des personnes possédant des armes mais débiles, il n'es en aucun cas impartial... Michel Moore aurai été un très bon maître de la propagande dans les années 30
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