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Pascal
1 critique
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2,0
Publiée le 7 avril 2024
Un film mou,avec un jean Paul rouve qui se noie dans ce film où les répliques sont plates.ce film c'est de la guimauve, heureusement que je ne suis pas allé voir ce navet au cinéma.devant ma télé,il a suffit de dix minutes pour comprendre que c'est un fiasco.
même la présence de jean paul rouve ne réussi pas a sauver ce truc . franchement , il faut pas avoir plus de 12 ans pour aimer ce film . il ne ce passe rien , a part peut être les 5 dernières minutes .
Le petit Nicolas vit dans les années 1960, il a tout pour être heureux : des parents aimants et attentionnés et une bande de copains unis : les invincibles. Mais son monde s’écroule le jour où son père lui annonce qu’il a obtenu une promotion à l’autre bout de la France et qu’ils doivent déménager. Voilà pour le cadre de cette gentille histoire dont le cadre temporel lui donne une vraie âme. Seulement, le niveau comique du film reste au premier degré et devrait satisfaire les enfants, mais il sera difficile de satisfaire les plus grands. En effet le scénario est un peu flottant et le dénouement alambiqué. C’est dommage, le précédent était meilleur.
J'avais presque oublié que j'avais vu ce film, et ce n'est pas du tout bon signe. Alexandra Lamy et Jean Paule Rouve jouent plutôt bien et encore, par contre l'acteur du petit Nicolas est une catastrophe, il ne joue pas bien. Scénario très mal écrit, on s'ennuie et ce n'est pas drôle. Une mauvaise adaptation du livre du même nom.
Pas évident de tourner des films aussi espacés avec des enfants-acteurs : c’est déjà le troisième petit acteur qui incarne le héros de Sempé et Goscinny (qui est, heureusement, un personnage “page blanche”) mais, sans aller dire que tous les mômes de dix ans se ressemblent, au moins a-t-on essayé à chaque fois de trouver des spécimens qui possédaient un air de famille. C’est moins évident au niveau des parents de Nicolas, Kad Merad et Valérie Lemercier ayant été remplacés par Jean-Paul Rouve et Audrey Lamy, et ce n’est pas un progrès. D’une manière générale, c’est tout le casting qui a fait peau neuve, heureusement avec parfois quelques améliorations substantielles (Grégory Gadebois et Jean-Pierre Darroussin en remplacement de François-Xavier Demaison et Francis Perrin). Sur le fond, outre un changement de réalisateur, c’est pour une fois d’un récit original “à la manière de” dont il s’agit : l’histoire d’un trésor à trouver pour empêcher un déménagement parental ne figure à ma connaissance dans aucun recueil des auteurs mais les scénaristes se sont acharnés, avec un certain succès, à respecter les motifs principaux des histoires du Petit Nicolas : humour et archétypes gentillets, critique du monde adulte à hauteur d’enfant, tendresse et mignonitude. Le résultat n’a certes rien d’extraordinaire mais la fidélité à l’esprit de Sempé et Goscinny a été respectée et cet épisode, quoique la lassitude envers les productions inspirées de bouquins ou BDs pour enfants se fasse clairement sentir, n’est certainement pas inférieur aux deux films précédents.
Pas si mauvais que le laissent entendre certains commentaires. Mon neveu et ma nièce ont adoré en tout cas. L'histoire, bien qu'un peu simplette, est remplie de jolis petits messages. Le petit Ilan Debrabant est excellent, et même meilleur que les 2 premiers Nicolas. Casting vraiment de choix avec Arditi, Daroussin, Rouve et Lamy entre autres. Bonne fin également. Dommage par contre de pas avoir un peu plus développé les autres personnages de la série, notamment Marie-Hedwige qui ne fait qu'une courte apparition. Les autres garçons étaient plus présents dans le 2ème film notamment. Mais dans l'ensemble, bon petit divertissement pour les enfants, je dirais entre 6 et 12 ans.
C'est fou ce que le petit Nicolas est assez mal noté et par la presse et par les spectateurs. A croire que ce n'est vraiment pas un bon élève ! Il est sympa, c'est déjà ça. Surtout sous les traits de Sempé et sous les lignes de Goscinny. Avec ces deux-là, il est plus que sympa : il est génial ! Incomparable ! Quel dommage que le cinéma n'arrive pas à restituer le génie de ses géniteurs : Sempé et Goscinny...
"Le trésor du Petit Nicolas" ? Tout le monde fait le job, c’est vintage, l’esprit de l’oeuvre est perceptible mais je préfère de loin le premier « Petit Nicolas » de Laurent Tirard qui rime avec Maxime Godart, l'interprète du petit Nicolas et grâce aussi à son scénariste, le plus goscinnien de tous : Alain Chabat.
Malgré une belle photographie, ce « Trésor du petit Nicolas » ne possède pas la tendresse ni la poésie des deux premières adaptations de Laurent Tirard. Trop propre, trop calibré, trop lisse...on n’embarque pas dans cette histoire. Les acteurs ne sont pas forcément mauvais mais ne sont pas terribles. On ressort forcément déçu quand on le découvre.
Troisième volet des "aventures" du petit Nicolas après 7 autres années. On revient au fondamental et c'est pas mal fait, tout en restant dans le style assez soigné des années 60, par exemple: le terrain vague, la Simca bleue, le voisin bavard, le directeur qui se veut avoir de l'humour, le patron vaniteux, l'instit gentille et l'autre autoritaire .. J'ai trouvé ce film pas spécialement original mais bien fait avec son lot de personnages diversifiés sur lesquels on insiste pas trop. Tout est de bon goût tout en respectant la saga, fi des amateurs d'excentricité et de vulgarité on est ici avec des enfants et c'est bien appréciable.
Si le casting des adultes est bien fourni (Rouve, Lamy, Lvovsky, Darroussin, Arditi, Morel), on pourra cependant regretter que celui des enfants soit un peu trop lisse car seuls Alceste, Clotaire et Agnan sortent du lot, les autres interprètes se ressemblant trop pour qu’on retienne ne serait-ce que leur prénom ! De plus, le film met environ une demi-heure à vraiment décoller ce qui pourra en faire décrocher certains ! S’il est également vrai que l’on retrouve certaines scènes du roman d’origine, on pourra être également déçu que les enfants ne jouent pas beaucoup au football voire ne se bagarrent pas assez, ce qui faisait tout de même le sel des aventures du Petit Nicolas ! Au lieu de cela, on a le droit à une interminable histoire de mutation du père à Aubagne alors que le récit du trésor est expédié en dix minutes ! Vous l’aurez compris, ce dernier opus souffre d’un gros problème d’écriture qui rend son rythme totalement inégal ! Heureusement, la fin sur la transmission intergénérationnelle est sympa comme tout et sauvera in extremis ce métrage que certains pourraient même trouver pénible à visionner !