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(...) Iain Softley nous revient avec cette drôle de fable qui met en scène deux monstres sacrés de la galaxie hollywoodienne dans un passionnant et brillant face à face drôle et émouvant qui parvient à nous tenir en haleine de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Seul le toujours sobre Jeff Bridges qui se demande bien ce qu'il fout dans cette galère s'en sort à peu près. Pour le reste on s'ennuie ferme devant ce gloubi-boulga new age mariant voyages interplanétaires et troubles psychiatriques. Au final, la seule réussite du film est son titre, bien que l'on soit qu'au mois de mai, on peut sans hésiter le qualifier de plus ringard de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Si le livre dont est tiré K-PAX est certainement plus intéressant (au vu des pistes ébauchées), le film se contente, lui, d'un seul atout pour fonctionner : Kevin Spacey. Jusqu'à l'écoeurement. Spacey mange des bananes avec la peau, Spacey qui pleure-Spacey qui rit dans un même plan de réveil hypnotique, Spacey à lunettes qui débite ses salades martiennes... Un grand Spacey show, objectivement impressionnant, mais, eu égard au résultat final, pas suffisant pour faire décoller le film. A déconseiller.
Le jeu de Kevin Spacey pèse dix-neuf tonnes, celui de Jeff Bridges dix-sept. Victoire du second aux points, mais défaite du spectateur par désintérêt poli.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La psychiatrie explore les frontières de l'être humain. Sans doute. Là, elles sont tellement repoussées dans la stratosphère de l'inconscient qu'on n'y croit pas une seconde... Bref, le nouveau long-métrage de Iain Softley (...) se prend trop au sérieux malgré son séduisant duo d'acteurs Kevin Spacey-Jeff Bridges. Une simple comédie aurait suffi.
Cinopsis.com
(...) Iain Softley nous revient avec cette drôle de fable qui met en scène deux monstres sacrés de la galaxie hollywoodienne dans un passionnant et brillant face à face drôle et émouvant qui parvient à nous tenir en haleine de bout en bout.
Le Figaroscope
Entre le conte philosophique et l'enquête psychanalytique, un film à suspense qui nous tient en haleine jusqu'à la dernière minute.
Aden
Le film est habile et rondement mené. Mais dans la famille Sixième Sens, l'original est encore loin d'être surpassé.
Cahiers du Cinéma
Mais, ces bases élegamment posées, ne reste bientôt plus qu'un récit messianique gentillet.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
Après un départ vertigineux, le film perd très vite de la vitesse et termine dans le halètement asthmatique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Seul le toujours sobre Jeff Bridges qui se demande bien ce qu'il fout dans cette galère s'en sort à peu près. Pour le reste on s'ennuie ferme devant ce gloubi-boulga new age mariant voyages interplanétaires et troubles psychiatriques. Au final, la seule réussite du film est son titre, bien que l'on soit qu'au mois de mai, on peut sans hésiter le qualifier de plus ringard de l'année.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
K-Pax parle d'origines, donc de finitude. C'est un navet fruité à la profondeur pas déplaisamment creuse. L'affiche est bien.
MCinéma.com
Si le livre dont est tiré K-PAX est certainement plus intéressant (au vu des pistes ébauchées), le film se contente, lui, d'un seul atout pour fonctionner : Kevin Spacey. Jusqu'à l'écoeurement. Spacey mange des bananes avec la peau, Spacey qui pleure-Spacey qui rit dans un même plan de réveil hypnotique, Spacey à lunettes qui débite ses salades martiennes... Un grand Spacey show, objectivement impressionnant, mais, eu égard au résultat final, pas suffisant pour faire décoller le film. A déconseiller.
TéléCinéObs
"K-Pax..." confirme que le cinéma américain n'est jamais aussi peu à son avantage que lorsqu'il se croit obligé de se donner un air intelligent.
Télérama
Le jeu de Kevin Spacey pèse dix-neuf tonnes, celui de Jeff Bridges dix-sept. Victoire du second aux points, mais défaite du spectateur par désintérêt poli.
Zurban
La psychiatrie explore les frontières de l'être humain. Sans doute. Là, elles sont tellement repoussées dans la stratosphère de l'inconscient qu'on n'y croit pas une seconde... Bref, le nouveau long-métrage de Iain Softley (...) se prend trop au sérieux malgré son séduisant duo d'acteurs Kevin Spacey-Jeff Bridges. Une simple comédie aurait suffi.