Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télé 2 semaines
par Émilie Leoni
Ode à la liberté et au vivre-ensemble, Presque est un grand huit émotionnel dont on sort les yeux lourds de larmes et le cœur léger.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Le duo signe un road-movie solaire, initiatique et profondément humain, à l'écriture ciselée, où poésie et cocasserie s'entremêlent avec finesse et tendresse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Alexandre Jollien, le philosophe handicapé, joue un rôle parfait pour faire passer à sa manière, souriante, le message de la tolérance et l’éloge de la différence.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Né de l'amitié des deux auteurs, ce film a le mérite d'offrir un regard différent - tout en restant léger.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La tendre sincérité de Bernard Campan et la candeur espiègle d’Alexandre Jollien, épatant de naturel, font merveille pour nous offrir cette réjouissante échappée belle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Campan et Jollien mettent en scène leur vraie amitié dans la vraie vie, avec une évidente sincérité. Presque n’est pas du grand cinéma, la trajectoire du scénario est à peu près prévisible, mais Alexandre Jollien refait à l’écran le chemin qui fut le sien, de l’exclusion et de l’isolement à l’inclusion.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Une comédie délicate sur le handicap.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Pas mièvre et délicatement métaphysique, le film monte en puissance jusqu’à un final magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par François Forestier
Beau sujet, traité avec humour et respect, qui rend ce road movie éminemment sympathique. Alexandre Jollien, auteur d’« Eloge de la faiblesse », est un sacré personnage, mais on aimerait le voir s’échapper de ce scénario un peu convenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Peu de surprise, mais une véritable foi dans un récit optimiste et une courageuse démarche consistant à montrer le handicap avec justesse, en n’éludant ni le regard sur le corps ni les peurs face à la sexualité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
La verve et la poésie naturelles d'Alexandre Jollien touchent au coeur.
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Cette tendre comédie fait le pari plus subtil de la gémellité, assumant dès les premières minutes un terrain d'entente possible.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Le duo Campan/Jollien signe un sympathique plaidoyer humaniste qui parvient à éviter l’excès de sucre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un road movie initiatique, plein de bons sentiments, sur le vivre-ensemble : on connaît la chanson. Et pourtant, on se laisse vite séduire par les bonnes ondes inclusives et la belle complicité du tandem Campan-Jollien.
Télérama
par Hélène Marzolf
Difficile de ne pas adhérer au message de tolérance de ce feel good movie sur l’amitié et le vivre-ensemble, au ton sympathique, mais au scénario parfois désarmant de simplisme…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Cousu de fil blanc, prévisible dans son écriture et pauvre en cinéma. Mais il en ressort aussi un regard plutôt intelligemment posé sur la différence et les préjugés sur le handicap.
Première
par Thierry Chèze
Mais cet éloge du vivre ensemble et de l’acceptation de la différence souffre d’un aspect un peu trop programmatique et donc sans réelles surprises pour convaincre pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
Ode à la liberté et au vivre-ensemble, Presque est un grand huit émotionnel dont on sort les yeux lourds de larmes et le cœur léger.
Télé Loisirs
Le duo signe un road-movie solaire, initiatique et profondément humain, à l'écriture ciselée, où poésie et cocasserie s'entremêlent avec finesse et tendresse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Alexandre Jollien, le philosophe handicapé, joue un rôle parfait pour faire passer à sa manière, souriante, le message de la tolérance et l’éloge de la différence.
Femme Actuelle
Né de l'amitié des deux auteurs, ce film a le mérite d'offrir un regard différent - tout en restant léger.
La Croix
La tendre sincérité de Bernard Campan et la candeur espiègle d’Alexandre Jollien, épatant de naturel, font merveille pour nous offrir cette réjouissante échappée belle.
Le Dauphiné Libéré
Campan et Jollien mettent en scène leur vraie amitié dans la vraie vie, avec une évidente sincérité. Presque n’est pas du grand cinéma, la trajectoire du scénario est à peu près prévisible, mais Alexandre Jollien refait à l’écran le chemin qui fut le sien, de l’exclusion et de l’isolement à l’inclusion.
Le Figaro
Une comédie délicate sur le handicap.
Le Parisien
Pas mièvre et délicatement métaphysique, le film monte en puissance jusqu’à un final magnifique.
L'Obs
Beau sujet, traité avec humour et respect, qui rend ce road movie éminemment sympathique. Alexandre Jollien, auteur d’« Eloge de la faiblesse », est un sacré personnage, mais on aimerait le voir s’échapper de ce scénario un peu convenu.
La Voix du Nord
Peu de surprise, mais une véritable foi dans un récit optimiste et une courageuse démarche consistant à montrer le handicap avec justesse, en n’éludant ni le regard sur le corps ni les peurs face à la sexualité.
Le Journal du Dimanche
La verve et la poésie naturelles d'Alexandre Jollien touchent au coeur.
Le Monde
Cette tendre comédie fait le pari plus subtil de la gémellité, assumant dès les premières minutes un terrain d'entente possible.
Les Fiches du Cinéma
Le duo Campan/Jollien signe un sympathique plaidoyer humaniste qui parvient à éviter l’excès de sucre.
Télé 7 Jours
Un road movie initiatique, plein de bons sentiments, sur le vivre-ensemble : on connaît la chanson. Et pourtant, on se laisse vite séduire par les bonnes ondes inclusives et la belle complicité du tandem Campan-Jollien.
Télérama
Difficile de ne pas adhérer au message de tolérance de ce feel good movie sur l’amitié et le vivre-ensemble, au ton sympathique, mais au scénario parfois désarmant de simplisme…
Paris Match
Cousu de fil blanc, prévisible dans son écriture et pauvre en cinéma. Mais il en ressort aussi un regard plutôt intelligemment posé sur la différence et les préjugés sur le handicap.
Première
Mais cet éloge du vivre ensemble et de l’acceptation de la différence souffre d’un aspect un peu trop programmatique et donc sans réelles surprises pour convaincre pleinement.