Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le Pianiste, justement couronné par la palme d'or cannoise, est aujourd'hui un aboutissement. C'est le film de toute une vie et de toute une carrière.
Cinopsis.com
par Benjamin d'Aoust
Comment détacher son regard d'un écran à la fois si lourd de sens et si mélodieux ? Impossible. Merci Monsieur Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tié d'une histoire vraie, ce film à grand spectacle de Roman Polanski est tout simplement bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) le concert final résonne comme une prière, l'hommage presque apaisé d'un grand cinéaste qui continue de vivre avec ses mondes engloutis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Obejctif-Cinema.com
par Florence Pommery
Un Szpilman solidement interprété par Adrien Brody qui réussit, avec son regard triste et abattu, à faire passer toute l'émotion et la sensibilité du personnage.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Ouirock.com
par Sarah Beaufol
Un film troublant et bouleversant... à ne pas rater.
Positif
par Olivier De Bruyn
Taxé d'académisme par quelques critiques experts dans l'exercice de la mauvaise foi, Le Pianiste est un film d'une richesse rare dont la consécration, au sein d'une compétition (Festival de Cannes) de très haut niveau, n'est nullement usurpée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Avec les arguments que Roman Polanski utilise, son Pianiste est irréfutable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
(...) la Palme d'Or du dernier Festival de Cannes n'est ni une fresque unanimiste cherchant à faire pleurer les spectateurs américains sur la souffrance des juifs polonais exterminés par le régime nazi ; ni un pensum pompier et académique sur la Solitude de l'Artiste en Temps de Guerre. Dieu merci, Le Pianiste ets un film bien plus retors et bizarre que ça.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Le Pianiste puise ainsi sa force dans cette manière obstinée de cerner la solitude toute métaphysique du héros, son abandon et sa régénérescence. Il se défait enfin d'une mise en scène amidonnée pour atteindre une émotion plus intime, un humanisme plaintif et blessé, mais encore capable d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Matthieu Perrin
Deux questions se posent : soit Polanski n'a pas osé filmer de front son sujet, soit au contraire il a trouvé le regard juste pour filmer l'horreur. Une émotion retenue pendant une heure et demie qui finit par exploser lors de la rencontre entre le pianiste et le soldat allemand.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Libération
par Philippe Azoury
Polanski signe un film d'une grande sincérité, évocation kafkaïenne du nazisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Un plan du film est saisissant, lorsque Wladyslaw déambule dans le ghetto anéanti, au milieu des squelettes d'immeubles varsoviens. L'horreur s'engouffre dans cet espace dévasté. Un plan qui en dit beaucoup, peut-être même plus que le film entier qui pêche par sa longueur. Adrien Brody apporte cependant sa présence incandescente et son regard triste au film et à son personnage.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
L'histoire vraie d'un survivant du ghetto de Varsovie, sobrement magnifiée par Roman Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Hélas : (...) le film (...), incontestablement superbe sur le plan visuel, reste d'un grand clacissisme, pour ne pas dire académisme.
Les Echos
par Annie Coppermann
Alors, bien sûr, on pourra dire, avec raison, que l'on ne trouve pas dans ce film le Polanski bien plus audacieux de " Rosemary's Baby " ou du " Locataire ". Mais si c'était parce que, bien qu'à partir du texte d'un autre, celui-ci était, justement, son film le plus personnel ? A Cannes en tout cas, on l'a jugé digne de recevoir la palme d'or...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Humanité
par Vincent Ostria
Polanski revient en Pologne et il nous fait rire en disant : "J'ai voulu rester aussi proche de la réalité que possible et ne pas filmer à la manière de Hollywood." Il a un sacré culot, le bougre, qui ne se gêne pas pour faire parler ses Polonais en anglais, reconstitue son pays d'origine en Allemagne, et tourne en studio avec des lumières très artificielles. S'il ne filme pas "à la manière de Hollywood", que fait-il donc ? Où est la différence avec une reconstitution historique signée par un quelconque tâcheron américain ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout de deux heures et demie d'un film digne dans son refus presque systématique de la manipulation des émotions, mais aussi rebutant par sa réticence obstinée à tomber les masques, l'énigme reste entière. Qui saura jamais pourquoi, de l'histoire qui lui est sans doute la plus proche, Polanski a tiré l'un de ses films les moins personnels ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Aden
Le Pianiste, justement couronné par la palme d'or cannoise, est aujourd'hui un aboutissement. C'est le film de toute une vie et de toute une carrière.
Cinopsis.com
Comment détacher son regard d'un écran à la fois si lourd de sens et si mélodieux ? Impossible. Merci Monsieur Polanski.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Tié d'une histoire vraie, ce film à grand spectacle de Roman Polanski est tout simplement bouleversant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) le concert final résonne comme une prière, l'hommage presque apaisé d'un grand cinéaste qui continue de vivre avec ses mondes engloutis.
Obejctif-Cinema.com
Un Szpilman solidement interprété par Adrien Brody qui réussit, avec son regard triste et abattu, à faire passer toute l'émotion et la sensibilité du personnage.
Ouirock.com
Un film troublant et bouleversant... à ne pas rater.
Positif
Taxé d'académisme par quelques critiques experts dans l'exercice de la mauvaise foi, Le Pianiste est un film d'une richesse rare dont la consécration, au sein d'une compétition (Festival de Cannes) de très haut niveau, n'est nullement usurpée.
Première
Avec les arguments que Roman Polanski utilise, son Pianiste est irréfutable.
Cahiers du Cinéma
(...) la Palme d'Or du dernier Festival de Cannes n'est ni une fresque unanimiste cherchant à faire pleurer les spectateurs américains sur la souffrance des juifs polonais exterminés par le régime nazi ; ni un pensum pompier et académique sur la Solitude de l'Artiste en Temps de Guerre. Dieu merci, Le Pianiste ets un film bien plus retors et bizarre que ça.
Chronic'art.com
Le Pianiste puise ainsi sa force dans cette manière obstinée de cerner la solitude toute métaphysique du héros, son abandon et sa régénérescence. Il se défait enfin d'une mise en scène amidonnée pour atteindre une émotion plus intime, un humanisme plaintif et blessé, mais encore capable d'espoir.
Cine Libre
Deux questions se posent : soit Polanski n'a pas osé filmer de front son sujet, soit au contraire il a trouvé le regard juste pour filmer l'horreur. Une émotion retenue pendant une heure et demie qui finit par exploser lors de la rencontre entre le pianiste et le soldat allemand.
Libération
Polanski signe un film d'une grande sincérité, évocation kafkaïenne du nazisme.
MCinéma.com
Un plan du film est saisissant, lorsque Wladyslaw déambule dans le ghetto anéanti, au milieu des squelettes d'immeubles varsoviens. L'horreur s'engouffre dans cet espace dévasté. Un plan qui en dit beaucoup, peut-être même plus que le film entier qui pêche par sa longueur. Adrien Brody apporte cependant sa présence incandescente et son regard triste au film et à son personnage.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'histoire vraie d'un survivant du ghetto de Varsovie, sobrement magnifiée par Roman Polanski.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Hélas : (...) le film (...), incontestablement superbe sur le plan visuel, reste d'un grand clacissisme, pour ne pas dire académisme.
Les Echos
Alors, bien sûr, on pourra dire, avec raison, que l'on ne trouve pas dans ce film le Polanski bien plus audacieux de " Rosemary's Baby " ou du " Locataire ". Mais si c'était parce que, bien qu'à partir du texte d'un autre, celui-ci était, justement, son film le plus personnel ? A Cannes en tout cas, on l'a jugé digne de recevoir la palme d'or...
L'Humanité
Polanski revient en Pologne et il nous fait rire en disant : "J'ai voulu rester aussi proche de la réalité que possible et ne pas filmer à la manière de Hollywood." Il a un sacré culot, le bougre, qui ne se gêne pas pour faire parler ses Polonais en anglais, reconstitue son pays d'origine en Allemagne, et tourne en studio avec des lumières très artificielles. S'il ne filme pas "à la manière de Hollywood", que fait-il donc ? Où est la différence avec une reconstitution historique signée par un quelconque tâcheron américain ?
Le Monde
Au bout de deux heures et demie d'un film digne dans son refus presque systématique de la manipulation des émotions, mais aussi rebutant par sa réticence obstinée à tomber les masques, l'énigme reste entière. Qui saura jamais pourquoi, de l'histoire qui lui est sans doute la plus proche, Polanski a tiré l'un de ses films les moins personnels ?