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patricia franck
1 critique
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0,5
Publiée le 5 février 2023
Je ne le recommande pas à ceux qui ont les pieds sur terre... Vues imprenables mais histoire très décevante et on appelle ça une romance... Pfff J'ai vraiment l'impression d'avoir perdu mon temps et mon argent en plus...
Les films de Thomas Salvadore sont envoutants et très intelligents. On pourrait les résumer par la question "qu'est-ce que peut mon corps dans la nature". Ici c'est la montagne qui fait réagir le corps et l'esprit de Thomas, hier c'était l'eau ("Vincent n'a pas d'écaille"), et demain le feu ? Ces films sont très actuels en fin de compte, ils nous interrogent sur notre rapport à la nature tout en étant divertissants et un brin surnaturel. Gageons que si Thomas salvadore était américain ou canadien, il serait aussi reconnu que Denis Villeneuve ou pourquoi Christopher Nolan. Il sait créer des univers à partir de peu de chose. Thomas salvadore est un magicien et ses films méritent d'être reconnus.
Film decevant si ce n est qq vues des Alpes pres du Mt Blanc. L histoire ne tient pas debout, j ai gaspillé 12 euros. Vous avez la même chose en documentaire sur Arte
un documentaire sans intérêt, nul, mal interprété, une purge ! et on me demande d'écrire 100 caractères minimum, mais je n'ai rien d'autre à ajouter, moi !
Pendant 1h30 , le film ne semble pas trop savoir où il veut aller. On attend, c'est très beau, plutôt bien joué. Et puis il prend une direction. Pourquoi pas. Mais encore une fois on a l'impression qu'il hésite s'il va plus loin ou non. Revient sur ses pas. On attend toujours. Le film se termine. Sourires vaguement gênés. Autre point; pitié , les fondus au noir ... il existe d'autres techniques, pas obligés d'en mettre 10 dans le film.
Personnellement je ne comprends pas les bonnes critiques C’est lent donc long , sans dialogues De belles images de film ne suffisent pas à faire un beau film
Un navet métaphysique...le debut semblait prometteur mais c était pour nous emmener vers un délire qui traine en longueur....... rien de bon finalement a part les superbes images de la montagne....
Un film étrange, sorte d'ovni du cinéma français. Difficile d'en parler sans en dévoiler la trame et l'objet. Une fois posés le scénario et le storyboard, on ne peut que louer la réalisation et les effets spéciaux. Thomas Salvador a un charisme très très léger mais qui se prête assez bien à l'ambiance du film. Louise Bourgoin est très juste et apporte une belle dose d'humanité et de chaleur humaine (en plus de son Indéniable charme). Pour les cinéphiles.
Décevant pour la fiction contrairement à Vincent n'a pas d'écailles. Très ès vite oublié dommage vu l'originalité et là rareté des films de ce cinéaste
L' histoire paraît terriblement étirée, un peu ennuyeuse et hélas assez vaine au final. Il reste quelques effets visuels un peu psyché assez jolis quand le film bascule dans le Fantastique, le temps d'une séquence. La durée d'un court-métrage aurait mieux convenu à ce scénario, le précédent film du réalisateur était plus modeste, léger et réussi.
Ce film, d’après son pitch, paraissait prometteur. Un gars qui plaque tout pour l’amour de la montagne, une petite romance au passage pour ajouter du sentiment, des images de montagne, tout semblait réuni pour un bon moment de cinéma. Hélas, des dialogues soporifiques ((quand il y a des dialogues…), des scènes décousues, une histoire qui devient abracadabrantesque et qui se veut être onirique, une fin bâclée… dommage.
Que dire… ce film propose de vraies belles images de montagne. Mais idéalise un peu trop le milieu. L’histoire demeure banale et un peu bancale. Mais la qualité des images aide un peu à passer le temps. C’est bien de le voir sur la tv. Au cinéma ça aurait été long. Et gâché.
Les paysages et les images sont magnifiques ! Mais qu'est-ce que je me suis ennuyée ! C'était beaucoup trop long pour moi, cela ne m'a pas intéressée. L'aspect science fiction, très peu pour moi, là on m'a totalement perdue !
La Montagne est un film lent et contemplatif, dans lequel on suit Pierre, qui n'a pas l'air d'avoir un travail passionnant, en tout cas pour lui. Un jour, il plaque tout et explore la montagne, il s'initie à l'alpinisme et rencontre une femme. A force d'explorer, il finit par trouver d'étranges lueurs qui lui font briller le bras. C'est tout.
J'ai beaucoup aimé les plans sur les paysages alpins, et je retrouve avec plaisir Louise Bourgouin (L'autre monde), mais La Montagne possède une structure aberrante (1h de réalisme, qui bascule dans 1h de fantastique). La partie fantastique du film ne va nulle part. Il n'a pas de pouvoirs, il n'en parle même pas autour de lui. Il est très réservé, ce qui limite l'intérêt de suivre ce personnage. Seule une scène romantique vient utiliser l'installation du concept fantastique: on voit une légère transmission de la lueur qu'il porte sur lui. Et c'est tout. La chose incroyable qu'il découvre dans la montagne a l'air de lui faire ni chaud ni froid, tant il est inexpressif. Quant à sa partenaire, elle ne réagit pas plus que lui, c'est à peine si elle lâche un léger sourire en voyant cette lueur surnaturelle. Le pire, c'est l'absence d'évolution du film. Une heure de montagne qui stagne, et une heure de fantastique qui stagne. C'et un beau film mais décevant dans son écriture. Il faut savoir que Thomas Salvador écrit, réalise et joue le rôle principal. Peut-être fallait-il répartir les tâches et laisser l'écriture, ou le jeu, à des personnes plus compétentes ? Quant on voit le résultat, difficile de ne pas parler d'égotrip.
Et comme c'est vaguement métaphorique, ce sera évidemment encensé par la presse et les festivals.