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    Chien de la casse
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    4,0
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    321 critiques spectateurs

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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 293 abonnés 7 259 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2023
    Dog et Mirales sont deux potes d’enfance qui vivent tous les deux dans un petit village du sud de la France. Ils passent la majeure partie de leurs journées à zoner dans les rues de la vieille ville. Mirales, la grande gueule, a pour habitude de taquiner Dog, qui de son côté, a tendance à tout intérioriser et à ne jamais l’ouvrir. Mais tout ça va changer lorsqu’une fille va s’immiscer entre eux…

    Premier long-métrage pour Jean-Baptiste Durand qui nous entraine en plein cœur d’une amitié toxique entre deux amis dont la relation menace d’exploser à tout instant. Avec d’un côté, Mirales, une boule de nerfs qui ne cesse de rabaisser son acolyte et de l’autre, Dog, un taiseux qui va se sentir exister aux yeux d’Elsa. Une relation conflictuelle mais indéfectible, nourrie par un rapport amour-haine.

    A travers son film, le réalisateur met en lumière la jeunesse des communautés rurales dont l’absence de perspective et l’ennui les poussent dans la dépression ou dans la consommation de drogues. Bien que la ruralité représente 80% de la France, cette majorité reste encore sous représentée au cinéma. La jeunesse n’y est illustrée qu’à travers les grandes villes ou cités, mais rarement dans le milieu rural. Il montre avec beaucoup de brio le désœuvrement des jeunes, ainsi que la toxicité, l’amour et la solitude qui existe entre les deux héros.

    Bien évidemment, Chien de la casse (2023) ne serait pas ce qu’il est sans l’énorme apport que représente la prestation des deux protagonistes principaux. Ils électrisent de leurs présences, Raphaël Quenard (Je verrai toujours vos visages - 2023) est tout simplement brillant et déstabilisant, il n’est jamais celui que l’on pense être, face à Anthony Bajon (Teddy - 2021) tout en retenu mais au regard vif.

    Un drame social parfaitement maitrisé, l’écriture est d’une rare justesse et les personnages sont magnifiquement dépeints, il est difficile de ne pas s’attacher à eux. Jean-Baptiste Durand est un cinéaste à suivre de près.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    ffred
    ffred

    1 523 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2024
    Premier film de Jean-Baptiste Durand. Une histoire d’amitié mis à mal par l'arrivée d’une jeune fille. Le tout est extrêmement bien fait, de la mise en scène au scénario. L’interprétation est un must. Raphaël Quenard explose littéralement à l’écran. Après Je verrai toujours vos visages et avant Yannick, il s’impose ici comme la révélation de l’année. Il est formidable. A ses côtés Anthony Bajon et Galatéa Bellugi s’en sortent très bien aussi. Un film fort, légèrement ambigu, qui ne laisse pas indifférent. Un metteur en scène et un acteur à suivre de très près.
    Redzing
    Redzing

    954 abonnés 4 314 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2023
    Dans un petit village du sud, Dog et Mirales sont un tandem inséparable. L'un est introverti et suiveur, l'autre haut-en-couleur et meneur. Tous deux passent leur journée à glander, entre deux deals. Jusqu'à l'arrivée d'Elsa, jeune femme de passage...
    Ne vous attendez pas à une comédie romantique ou un drame plan-plan. "Chien de la casse" est un film qui fait rapidement transpirer le malaise.
    Déjà, il brosse une peinture sévère (mais juste) de la France rurale, où les jeunes s'ennuient à mourir, et traînent en petites bandes sans trop pouvoir rien faire. Le cadre hivernal renforçant l'aspect morne de la vie locale.
    Puis, c'est un film sur l'amitié toxique. Les deux acteurs, Anthony Bajon et Raphaël Quénard, sont à ce niveau excellents. Mais clairement, Quénard explose à l'écran. Entre "Chien de la casse" et ses autres rôles de l'année, il s'assure une rampe de lancement en béton armé en 2023.
    Il incarne cet individu plein de paradoxes. Gougnafier, agressif, n'hésitant pas à rabaisser son ami en public, glandeur... mais aussi très cultivé et intelligent, dominant sans mal sa bande d'amis. Et sachant rendre service ou éviter les embrouilles quand il le faut. Il ne s'agit pas d'un boulet façon "Withnail & I", mais d'une personnalité étouffante. Et l'arrivée d'une relation féminine sera le détonateur de cette amitié minée.
    Tandis que pour son premier long-métrage, Jean-Baptiste Durand fait fort, sachant parfaitement gérer la tension. Entre l'utilisation de ses acteurs et de ses cadrages, un simple dialogue devient rapidement très oppressant, ce dès les premières minutes. Et la pression en faiblira jamais sur 1h30.
    Du très bon.
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2023
    Un premier long métrage prometteur sur une amitié toxique, tout en nuances et ambiguïté. On pourra toutefois regretter le surjeu de Raphaël Quenard qui fait un peu trop son petit Pacino.
    evariste75
    evariste75

    115 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2024
    Magnifique prestation de Raphaël Quenard que j'avais pu apprécier dans Yannick de Quentin Dupieux...

    Langue extrêmement raffinée dans la bouche d'un semi-loubard (Montaigne !...), scène de jalousie entre hommes,...

    Atmosphère de village, piano, Chopin et Fauré, sans oublier le chien Malabar !

    Un délicieux cocktail...

    A voir absolument !
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    48 abonnés 744 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2023
    courrez voir ce premier film étonnant CHIEN DE LA CASSE, de JB Durand. Un thème délaissé, des jeunes sans avenir dans un village ordinaire dans la campagne française, ici au sud, mais on pourrait transposer ailleurs sans hésitation. Une amitié d'enfance, un couple dominant-dominé, mais surtout des fêlures dont on ne saura pas tout, mais qui amèneront les protagonistes vers le bord du gouffre, si près de la rédemption. Et surtout éclate à l'écran le trentenaire Raphael Quenard, déjà aperçu dans Je verrai toujours vos visages. Une présence et un sourire irrésistibles. Au passage je me suis même réconcilié avec Anthony Bajon, qui ne m'avait pas convaincu dans des précédents films (La prière/Paris-brest)
    cinéma - mai 23
    Roub E.
    Roub E.

    761 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2024
    Pour un premier film c est une sacrée réussite. Jean Baptiste Durand montre dans « Chien de la casse » des personnages peu représentés à l écran, de jeunes garçons ayant grandis et glandant dans un petit village. Son film traite d amitié toxique, des copains qu on se fait à l adolescence et qui le reste sans trop savoir pourquoi comme des couples dysfonctionnels. Le réalisateur montre un vrai intérêt pour ses personnages et nous intéresse à leurs mornes vie et à leur destin alors qu il sont au premier abord antipathiques et insignifiants. Un petit mot aussi pour le chien filmé comme un personnage à part entière et dont on jurerai qu il joue la comédie.
    Adrien
    Adrien

    70 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    Troisième et dernier films que je suis allé voir à l'occasion du festival Télérama. Je ne savais pas à quoi m'attendre, je n'avais même pas vu les bandes annonces donc j'y suis allé sans savoir ce qui m'attendais. Franchement, j'ai adoré. Un très bon film. Je finis bien le festival Télérama. Les acteurs sont excellents, je retiens surtout l'interprétation de Galatea Bellugi, Raphaël Quenard et Anthony Bajon qui sont formidables, les décors sont magnifiques, le scénario et les dialogues sont très bien écrits et la musique est superbe. Du drame et de l'humour sont présentés dans ce long-métrage. Aucune longueur, aucun temps mort. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Ce film est vraiment captivant. Bref, un très bon film que je vous conseillerais de voir ou revoir !!! Il vaut trop le coup !!!
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2023
    "Chien de la casse" est un film qui raconte l'histoire de jeunes hommes qui se sentent perdus dans leur vie, vivant dans un petit village avec peu de perspectives d'avenir. Leurs difficultés quotidiennes sont dépeintes de manière captivante et hypnotique, mettant en lumière la dure réalité de la vie dans les régions rurales. Le film explore l'amitié complexe entre Mirales et Dog, deux personnages intrigants ayant leurs propres démons intérieurs. Leur relation amour-haine crée de la tension et du conflit, mais il y a une profonde loyauté et un amour entre eux. L'arrivée d'Elsa perturbe leur équilibre fragile et expose la nature toxique de leur amour fraternel. Les performances dans le film sont exceptionnelles, avec Anthony Bajon offrant une interprétation intense de la tourmente intérieure de Dog, et Raphaël Quenard donnant vie à Mirales avec son dialogue magnifique. Cependant, la performance de Galatea Bellugi dans le rôle d'Elsa est en deçà des attentes, malgré l'importance de son personnage dans l'intrigue.
    mat niro
    mat niro

    308 abonnés 1 734 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2023
    Voilà un premier film d'auteur signé Jean-Baptiste Durand qui dénote dans le milieu actuel du cinéma français. Raphaël Quenard (Mirales) crève l'écran dans sa relation "spéciale" avec le mutique Anthony Bajon (Dog) qu'il considère comme un frère. Dans les faits , Mirales est un loser vivant de petits trafics qui n'a de cesse de rabaisser Dog et les autres, mais pas que...Son personnage est d'une rare complexité, cachant peut-être une homosexualité refoulée (sans faire le psy à deux sous ) quand il voit son ami tomber amoureux. C'est à la fois drôle et malaisant parfois (je pense à la scène du restaurant), mais ce film propose une façon originale de mettre en scène l'amitié, avec un Raphaël Quenard complétement bluffant.
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2023
    Un film majeur, d'une très grande originalité, sur des thèmes rarement traités au cinéma : comment échapper à l'ennui au fin fond d'un village, et la chronique d'une amitié assez déséquilibrée. Jean-Baptiste Durand fait preuve de beaucoup de finesse et d'une très belle qualité d'observation. Le petit village du Pouget dans l'Hérault est magnifiquement et intelligemment filmé ! C'était une lumineuse idée. De toute façon, ça fait toujours du bien de sortir de Paris, et surtout quand c'est ainsi ! La photo s'avère sublime, en plus.
    Durand montre bien le manque de perspectives dans ce genre de petits villages isolés de tout, et aussi le rapport au temps très particulier qu'on peut y développer spoiler: . Les parties de FIFA à la PlayStation, les jeux à gratter ou les discussions sur les ingrédients indispensables des pâtes Carbonara meublent les jours tant bien que mal
    . Durand échappe en même temps aux clichés en brossant de superbes portraits de personnages plus vrais que nature.
    Évidemment, ce film de portraitiste attentif acquiert toute sa valeur grâce à sa brochette d'acteurs exceptionnelle. On retrouve le beau et mutique Anthony Bajon, souvent indéchiffrable et mélancolique aussi, et qui continue à se construire, de film en film, une filmographie aussi solide que variée - d'Hafsia Herzi à Mouloud Achour en passant par Stéphane Brizé. Ensuite, bien sûr le film offre un rôle en or à l'ahurissant trublion qu'est Raphaël Quenard. Cet étonnant et rafraîchissant comédien, qu'on avait pu déjà apprécier dans la série "Family Business", campe ici un inoubliable Mirales, énervant, attachant, drôle volubile, cruel et loyal à la fois. Cet acteur sorti d'un peu nulle part apporte vraiment beaucoup de singularité. Son personnage intéressant contredit en plus totalement le cliché du plouc de campagne, spoiler: puisqu'expert d'Hermann Hesse en dépit de toutes les attentes.

    Ce personnage aussi est interprété par une actrice remarquable, Galatea Bellugi, révélée par Giannoli dans le bien nommé "L'apparition". Son mélange de douceur et de fermeté et son côté taiseux et photogénique se marient bien avec le personnage d'Anthony Bajon.
    Même s'il peut sembler anecdotique au premier abord, le film en dit long sur la léthargie dans laquelle sont plongés certains jeunes de villages, les petits riens dont leurs vies se nourrissent, et en même temps les petites épopées affectives qu'ils traversent souvent et, qui la plupart du temps, sont tues, et ne parviennent pas jusqu'aux écrans. Jean-Baptiste Durand répare cette injustice, et avec brio ! Qu'il en soit chaleureusement remercié !
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    22 abonnés 760 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2023
    Un beau film sur le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Dog et Mirales vivotent en jouant aux jeux vidéos, en trainant avec leurs potes, en buvant des bières et en fumant des joints. Mirales parlent beaucoup, Dog rarement. Mirales décide, et Dog le suit. Mirales se moque souvent de Dog, qui ne dit rien. Mais cette amitié est perturbée par l'arrivée d'une fille dont Dog tombe amoureux, ce qui l'éloigne de Mirales. Ce dernier, jaloux, va mal réagir, mais l'amitié reste, même dans les coups durs. Surtout dans les coups durs. Ceux qui peinent, qui font mal, qui font réfléchir et aussi grandir. Si ce film devait être résumé en un mot, ce serait celui-là : grandir.
    Julien C.
    Julien C.

    23 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2023
    Excellent surprise que ce beau film sur l'amitié, très bien écrit et porté par des acteurs d'une grande justesse, surtout évidemment le fascinant Raphael Quenard. Grande réussite !
    Hugo_lesc
    Hugo_lesc

    4 abonnés Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2023
    « Chaque jour mène à la mort, le dernier y arrive »

    Le cinéma français et sa mode du récit littéraire ne cesse depuis la nuit des temps de hanter les esprits et les scripts des jeunes cinéastes, de Renoir à Malle en passant par les pionniers de la Nouvelle Vague, l’espièglerie des années 80 en fut l’apogée. Nourrit de dialogues émouvants et intelligents, la réalisation française des Blier ou Berri se vit l’avènement d’une prouesse scénaristique et métaphysique dorénavant dépassée.


    L’époque actuelle si elle n’évolue pas dans l’ombre du passé, ne nourrit qu’une fade modernité où le culte du néant se fait maître. Malgré le fait que certains s’y soit avec succès essayés (Abdellatif Kechiche), le cinéma français souffre depuis la fin de l’ère Pialat d’une redondance narrative abondamment exploitée. Tandis que certains attendent avec impatience le prochain Maiwen, d’autres seront observés de plus près la richesse cinématographique manifestée dans Chien de la casse.


    Premier long métrage du cinéaste Jean-Baptiste Durand, la modestie est de mise, tout d’abord dans le choix du cadre, petit village de l’Hérault, reflet d’une ruralité d’un film de Brisseau, puis d’un casting rassemblant deux jeunes acteurs à suivre. L’histoire est emplie d’une simplicité permettant la mise en avant de ces personnages. Dans une isolation et un ennui expressif, l’humanité se fait entendre. Se calquant à la lenteur d’un Dumont, le jeune cinéaste laisse les silences et les mots s’entremêler à la violence citadine. Dans leur village, Mirales et Dog amis d’enfance occupent les jours qui passent à se voir entre amis, à sortir le soir dans un espace promis à l’échange et à la discussion.


    À la fois épris d’une résonnance au monde actuel par la sollicitation permanente des jeunes aux écrans provoquant la perte d’un contact humain ; Chien de la casse rend compte de l’espoir préservé par ces jeunes dans leur débrouillardise et leur réflexion rendues possible par la solitude les plaçant seule face à eux-mêmes.


    Laissé bouche bée par l’interprétation juste et touchante de Raphael Quenard, dont la violence intérieure se partage à l’amour pour la littérature, le film de Durand est une magnifique ode à l’amitié et à la lutte envers soi-même. C’est dans la lignée de L’esquive, que le cinéaste livre une dissertation sur la quête d’espérance, où maintenu dans une case, ces chiens de la casse rêves d’un ailleurs meilleur. Joignant des morceaux de vies semblables pour quelques-uns à une jeunesse retrouvée au travers des jalousies entre amis, lorsque l’un d’entre eux tombe amoureux, ou encore lors des discussions tardives sur un banc, Durand élargit en toute subtilité et humilité la réalisation d’une œuvre humaine et intelligente, ouvrant à une nouvelle génération le chemin de l’écriture et des croyances perdues.


    C’est dans les mots à la fois prononcés et aspirés par Mirales, que l’élèvement intellectuel agit sur son observateur. Figure d’un cinéma des sens et de l’art à jamais éternel, ce personnage dominateur et insatiable cherche à faire grandir son entourage dont il recherche l’intellectualité. Sur fond de cinéma populaire, l’œuvre de Durand peut se vêtir d’une étiquette de film d’auteur tant dans sa mise en scène que dans ses dialogues premièrement banalisés tout comme le décor, puis dans un second temps salué à sa juste valeur. Les graines ont été semées et la première récolte à fait grand succès reste à voir dorénavant la façon dont elle sera exploitée.
    Ciné-13
    Ciné-13

    94 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Récompensé "Meilleur premier film" aux Césars 2024, il laissera peu de gens indifférents : soit on aimera l'évocation de la déshérence de ces jeunes en galère en milieu rural, soit on s'agacera du jeu d'acteur de QUENARD finalement assez identique de film en film (cf. "Yannick" pour s'en rendre compte). BAJON est étonnamment profond dans ce gentil personnage de taiseux, docile, étouffé et encaisseur. Un peu de Beethoven et surtout du beau violoncelle en BO...
    Quelle grande gueule tout de même ce grand dadais!
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